Emmie Wesline > Quotes

“Parfois, la dernière chose à faire c'est essayer.
Essayer de paraître normale.
Essayer de paraître heureuse.
Essayer de rester soi-même.
Essayer de rester positive.
Essayer de se dire que tout ira mieux alors qu'au fond,
bien au fond, on sait que c'est faux.
Parfois, la dernière chose à faire,
c'est simplement essayer de vivre.”
― Emmie Wesline, Objectif Vancouver

“Toute ma vie, j'ai évité ce mot à cause de tout ce qu'il entraîne : le vide, le silence... Je suis seule. Je suis seule. Je suis seule. Je suis seule. Subitement, cette réalité est trop lourde pour moi. J'ai la sensation que quelque chose brûle en moi.”
― Emmie Wesline, Objectif Vancouver

“C'est drôle de constater que les gens en qui nous avons le plus confiance, ceux qui nous entourent, ne sont pas nécessairement ceux dont on a besoin. On peut passer des jours, voire des années avec ces personnes et ne rien recevoir en retour. Par contre, dans les instants les plus inattendus, un parfait inconnu peut nous accorder quelques minutes et nous dire quelques paroles qui ont le pouvoir de nous donner des ailes. En fin de compte, ces brèves minutes valent plus que tout le temps passé avec notre entourage. En fin de compte, ces minutes allument un feu brûlant au fond de nous. Ce feu brûlant, c'est l'espoir et avec l'espoir, tout est possible.”
― Emmie Wesline, Objectif Vancouver

“L'enfer, tout le monde cherche à le fuir. Et si l'enfer était autour de nous et que nous nous y enfermions sans nous en rendre compte ? Et si le seul moyen de nous en sortir était de fuir ? Serions-nous prêts à le faire ?”
― Emmie Wesline, Objectif Vancouver

“Je sais qu'il y a deux autres filles qui regardent aussi la lune en pensant aux mêmes choses que moi. Je pense à ma vie. Je suis comme une machine qu'on a programmée. J'envie terriblement les autres qui ont des vies normales, qui ont de vrais parents et qui savent ce qu'est l'affection.”
― Emmie Wesline, Objectif Vancouver

“L'athazagoraphobie, selon le dictionnaire, c'est la crainte d'être oublié. Ce n'est qu'un mot de seize lettres. Pourtant, quand je suis tombée dessus par hasard, j'ai tout de suite été intriguée. Je crois qu'on souffre tous un peu de ce mal. Certaines personnes passent leur vie à essayer d'y remédier et d'autres vivent avec. Je fais partie de la deuxième catégorie.”
― Emmie Wesline, Objectif Vancouver