Tribune Article réservé à nos abonnés « La fin de vie est un dilemme devant lequel la morale est impuissante »
« Ne pas s’obstiner à apporter certaines réponses est parfois la plus grande preuve de sagesse », estime le philosophe Camille Riquier, qui regrette d’entrer dans un débat aussi vaste et complexe. Un débat sur la vie qu’il juge à contretemps et à contresens, face à l’urgence que constitue la santé mentale des jeunes.