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La gauche peine à se rassembler pour défendre les libertés publiques

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Plusieurs personnalités appellent à l’organisation d’un meeting unitaire pour protester contre ce qu’elles estiment être des atteintes à l’état de droit. Mais le contexte de la campagne des européennes rend toute démarche collective délicate.
publié le 26 avril 2024 à 12h58

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La gauche peut-elle se retrouver sur une même estrade pour dénoncer des atteintes aux libertés publiques, en pleine campagne des européennes ? L’idée a d’abord été lancée sur X le 20 avril par le porte-parole du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) Olivier Besancenot, suite aux annulations successives des conférences et réunions publiques de Rima Hassan et Jean-Luc Mélenchon à Lille. Certains élus de divers partis de gauche ont salué la démarche, en s’y disant favorables. Mais depuis une semaine, les états-majors sont de leur côté plutôt restés silencieux, à l’exception de La France insoumise, qui appelle à un rassemblement mardi prochain à 8h30 porte de Clichy, pour protester contre la convocation par la police de Hassan et de la cheffe de leur groupe parlementaire Mathilde Panot, pour «apologie du terrorisme». Avec toujours la même méthode pour prôner l’union : l’exiger derrière soi. «Nous avons proposé à toutes les organisati

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