DES CHEVAUX ET DU CHIEN!
LES AILES DE LA MACH 1 EFFLEURENT LES CORDES DES VIRAGES QU’ELLE SE PLAÎT À ALIGNER COMME DES PERLES. NON QUE SA DIRECTION SOIT D’UNE PRÉCISION PARFAITE, MAIS ON S’EN SATISFAIT TANT L’ENSEMBLE EST SAIN ET LA MOTORISATION FORMIDABLE.
e smartphone se connecte à l’Apple CarPlay, qui se met à jouer, directement, de Jimi Hendrix. Le hasard fait parfois bien les choses tant ce morceau s’accorde avec les mélopées gutturales du V8, et sort une infinité de Fender sauvages, comme la Mustang ses poneys. En revanche, la sono, pourtant signée B&O, sonne franchement mal. Trop de graves, des aigus brouillons… on attendait mieux de la part de l’américaine, d’autant que l’on profite d’un environnement sportif sympathique. La finition est acceptable, le tarif raisonnable, et le design met l’accent sur les petits mustangs galopant un peu partout là-bas, signée Mach 1 et, rien que pour ça, on est bêtement contents, avec un rictus aux lèvres qui ne donne pas l’air intelligent. Le plaisir est parfois d’une simplicité déroutante. Heureusement, il n’y a pas que cela. Pour rester pragmatique et avant d’entrer dans la dimension surréaliste de l’engin, la Mustang Mach 1 (pas très éloignée de ses soeurs Bullitt et Shelby GT350) est accueillante, l’espace à bord est généreux malgré deux places arrière riquiqui, et le coffre de 408 l fera plus que dépanner sur un long trajet.
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