PETITS FILS DE…
En 2007, la crise des subprimes débute, l’A380 fait son premier vol, Nicolas Sarkozy devient président, mais l’événement majeur, c’est Nissan qui remplace sa compacte Almera, concurrente des Golf et Mégane, par le premier Qashqai. Drôle d’idée à l’époque, devenue évidence aujourd’hui puisque les SUV représentent 40 % des ventes en Europe en 2020 : toutes les marques ou presque en comptent au moins un dans leurs gammes. C’est dans ce contexte qu’arrive la 3e génération de Qashqai, armée pour commencer d’un design tout nouveau puisqu’elle évoque un gros Juke. Notre modèle d’essai soigne sa mise avec une peinture biton, pour la première fois disponible sur le Qashqai, et à prendre en option (400 €) en plus de l’option peinture métallisée (650 ou 850 €).
“LE QASHQAI 1 A RENVERSÉ LA TABLE. LA 3e GÉNÉRATION RENTRE DANS LE RANG.”
Guy L’Hospital, rédacteur en chef adjoint
Nous n’allons pas refaire de présentations complètes : vous avez déjà pu faire connaissance avec cette nouvelle génération de Qashqai dans notre numéro précédent et dans n 1078, mais vite fait, nous avons droit à une nouvelle plate-forme, il n’y a plus de diesel, et toutes les versions sont électrifiées, au moins par une micro-hybridation. Notre modèle d’essai utilise un 1,3 l turbo
