’est jour de chasse au grand gibier sur le lot numéro deux de la forêt d’Orléans. Le rendez-vous a été fixé à 10 h Chez Hubert, dans ce bistro tenu d’une poigne d’acier par l’épouse de l’ancien piqueur Hubert Collet. Comme à notre habitude, nous sommes peu nombreux, moins d’une douzaine de carabines. Lorsque je pénètre dans la salle du restaurant, je constate que“ mes compères, comme Michel Mamalet, Jean-Pierre Renaudat, Pierrot German et Yves Bertrand, sont déjà attablés, en train de discuter. Je salue mes amis les uns après les autres, puis je vais m’asseoir à côté de Patrick Bossant et de son invité… Face à lui, je ressens une impression de déjà-vu, sans arriver à me souvenir exactement à
