Salon de Lyon Le plein de super
e bruit et surtout – comme disait l’autre – l’odeur. Vu l’épaisseur du programme, on s’attendait à en prendre plein les yeux et pas mal aussi dans les tympans. Seulement, pour les narines, on n’avait pas anticipé. à notre décharge, deux ans de coercition sanitaire et de mises sous masques. à force, on oublie ce que c’est que de respirer autre chose que de la ouate ou, pour les moins chanceux, les effluves d’une haleine chargée. Mais début mars, reflux de l’épidémie, changement de péril mondial et – à l’horizon –, arrivée à terme du bail élyséen: hasard ou coïncidences, les masques commencent à tomber dans les lieux de « grands rassemblements ». On arrive donc à Lyon le tarin à l’air libre. Et vous savez quoi? On l’avait oublié mais les salons moto, eux aussi, ont une odeur. Et pas seulement celle laissée par les aisselles de Bruno, notre photographe, au terme d’une journée de
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