Deux philosophies bien différentes. Le roadster est presque discret sur la forme, en se rapprochant d’un SL, alors que le coupé donne résolument dans le spectaculaire, avec ses portes papillon, clin d’oeil à son ancêtre, le fameux 300 SL de 1954. Dans les deux cas, c’est AMG qui s’est penché sur le berceau de la SLS. Question puissance, le V8 atmosphérique de 6,2 litres délivre a minima 571 ch. Ce moteur à 32 soupapes, sonore et bien né, est un poème mécanique. C’est une entrée en la matière sur la SLS, puisque Mercedes gonfle sa puissance à partir de 2012. D’abord sur la version GT, qui monte le curseur à 591 ch grâce à une distribution et une injection modifiées, puis sur la variante Black Series limitée à 400 exemplaires, allégée de 70 kg et poussée à 630 ch! En mars 2014, Mercedes commercialise, à seulement 350 exemplaires, une série limitée AMG GT Final Edition, délivrant comme la GT 591 ch. Au-delà d’une ligne classique et intemporelle, la SLS offre une conduite proche d’une muscle car. Il ne fait aucun doute que la SLS est d’ores
