LA COURSE À L’ÉCHALOTE
ionnier de l’ère GTI avec la sortie de la Golf éponyme en 1976, Volkswagen s’est vite fait rattraper voire dépasser en termes de performances. Certains ont adopté l’injection, d’autres sont passés à la suralimentation, mais tous ont conservé un poids contenu. Mais à Wolfsburg, dans un souci d’offrir à l’acheteur une sécurité accrue et un confort cossu, on a considérablement alourdi la Golf de deuxième génération apparue en 1984. À tel point qu’on la qualifierait plus de compacte que de citadine aujourd’hui. Mais les 112 ch de son 1,8 l, certes coupleux, sont à la peine pour mouvoir les quelque 50 kg supplémentaires en référence à la première génération. Pour corriger le tir, dès 1985, le constructeur coiffe le bloc d’une culasse à 16 soupapes, encore rare à l’époque. La puissance fait un bond de
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