24 Heures Motos L’endurance à grande vitesse
On le voyait venir dès les essais. Avec le chrono supersonique de Karel Hanika au guidon de la Yamaha du YART en qualification et un temps de 1’34’’878 qui aurait largement suffi à le qualifier sur la grille du Grand Prix de France, les 24 Heures Motos 2022 sentaient la poudre. Mais personne n’imaginait – à commencer par les pilotes – que l’épreuve mancelle allait se disputer à un tel rythme. En approchant la barre des 1’35 en fin de nuit, Gregg Black a non seulement éteint tous les espoirs de retour du YART mais il a aussi assuré un deuxième succès consécutif à domicile pour le SERT, tenant du titre. Un relais héroïque du pilote français qui restera dans les mémoires. « On a bouclé des relais avec des chronos incroyables, décrit Xavier Siméon. Et Gregg a vraiment asséné le dernier coup de massue à la YART en bouclant un dernier relais de nuit stratosphérique. La nuit a été très longue, très intense. » Un effort que le principal
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