Son nom vient du grec ancien , « feuille », et , « sec ». S’il peut être prononcé*, les viticulteurs charentais n’en demeurent pas moins toujours inquiets de voir un jour réapparaître le fléau! Il faut dire que la bestiole a marqué un coup d’arrêt brutal à entame son invasion du continent, investissant toute la moitié sud de la France du milieu des années 1870 aux années 1880. Le mal est terrible. Si d’autres maladies comme le mildiou ou l’oïdium posent de graves problèmes aux vignerons, la « peste des vignes » tue tout simplement les ceps qu’elle infeste.
