i le début de saison de WEC avait été difficile pour l’équipe Toyota, battue à Sebring et affectée par une panne à Spa, la marque japonaise a parfaitement su redresser la barre à l’occasion des 24 Heures du Mans. La défaillance de Spa ayant été rapidement identifiée (un problème de qualité sur un convertisseur haut voltage), le tenant du titre abordait la course avec une relative sérénité. Les deux voitures ont pris le départ avec des réglages assez différents (un peu plus agressifs sur la n° 8) et elles se sont tiré la bourre en toute liberté pendant près de 17 heures. , confie Sébastien Buemi. , confirme Pascal Vasselon, le directeur technique de l’équipe. Si, explique Pascal Vasselon. Dès lors, la messe était dite. Sauf coup de théâtre, la victoire était une nouvelle fois promise à la n° 8, l’équipage Conway-Lopez-Kobayashi terminant, quant à lui à la deuxième place.
