“Après un Grand Prix d’Argentine totalement raté, René Arnoux réussit à pro-longer au Grand Prix d’Afrique du Sud le samedi 1 er mars 1980 le redressement de l’équipe Renault-Elf, amorcé au Grand Prix du Brésil, avec un réel brio autant qu’avec la complicité de la chance. Ou plutôt de la malchance: celle qui frappa impi-toyablement à deux reprises son équipier Jean-Pierre Jabouille tant au Brésil qu’en Afrique du Sud. À deux reprises, les Renault avaient dominé toute oppo-sition grâce à leurs moteurs à turbocompresseurs. Les Renault V6 français avaient tiré gros avantage de leur conception grâce à l’altitude où sont situés les circuits de São Paulo (400 m)
