VERONA EN TÊTE, PICHON DOMINE
Il n’a pas gagné Andrea Verona. Ni sur son GP national en Italie, ni le week-end suivant au Portugal. Mais l’officiel GasGas repart de ces 3 et 4 rounds avec la plaque de leader en EGP. Ce classement scratch fait tourner toutes les têtes avant de les décimer une par une… sauf pour ceux qui savent la garder froide et rester sur leurs roues. Le rendez-vous italien tout d’abord qui a continué de chambouler la tête de course après les blessures d’Holcombe, Freeman et McDonald en début de saison. À Carpineti, c’est notamment Josep Garcia qui en fait les frais après avoir remporté la première journée. Devancé d’une vingtaine de secondes par Wil Ruprecht le dimanche, le missile sol-sol espagnol a tenté de remonter et s’est copieusement satellisé dans l’Enduro Test. Bloquant la course, nécessitant un point médical avant de finalement repartir et s’en recoller une grosse dans le chrono suivant. Résultat, celui qui avait repris la tête du scratch la veille a dû rentrer d’urgence se faire opérer à Barcelone d’un pouce cassé (et recoudre le dos au passage…). Pas de Portugal pour Garcia. Ni pour Alex Salvini, sérieusement secoué lui aussi en Italie. On voyait donc Wil, déclarait l’ex-crossman anglais à Coimbra. Le voilà 3 du classement EGP, supplantant Garcia sur ce podium provisoire derrière Verona et Ruprecht.
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