ien ne semble à même de déstabiliser les constructeurs automobiles. Ainsi, malgré la période post-Covid marquée par des difficultés de logistique et de production, la crise des semi-conducteurs, la guerre en Ukraine, la hausse du prix des matières premières et l’effondrement des marchés (- 14 % pour le marché européen au premier semestre, - 12 % pour le marché mondial), les constructeurs affichent une belle santé financière. A l’image de Stellantis dont le résultat net a progressé de 34 % (à 8 milliards d’euros) au début de l’année. Et ce en dépit d’une baisse des ventes de 7 % ! Un constat que partagent presque tous les constructeurs, à l’exception de Renault qui a été très lourdement affecté par la
