UN QUATRE-CYLINDRES, oui, mais un quatre-cylindres de course, s’il vous plaît!
ien des puristes amateurs de la firme à l’hélice vous le diront: une vraie béhème, c’est d’abord un sixen-ligne. Avant d’ajouter que la plus sportive parmi elles reste la toute première M3. On imagine alors logiquement que l’instigatrice d’une lignée aussi mythique accueille six pistons affûtés sous son capot noir. Raté, il s’agit là d’un simple quatre-pattes. Avant de crier au sacrilège, une explication s’impose. À cette époque, BMW s’intéresse de très près à la compétition sur circuit ou en rallye Groupe A. La seule chose à faire est de fabriquer 5000 exemplaires d’un véhicule de série pour pouvoir homologuer les dérivés pour la course. La griffe Motorsport est alors chargée de mettre au