Sous le haut patronage de l’église romane du XIIe siècle, la stature du château de Saint-Félix émerge derrière le mur d’enceinte, à l’ombre d’arbres à l’âge vénérable et aux branches desquels se languissent les cigales. Frédéric Patin, le maître des lieux, nous accueille avec simplicité et bonhomie, comme quelqu’un que l’on connaît depuis longtemps. C’est dans ce havre de paix, au charme aussi bucolique qu’antique, qu’il a décidé de conjuguer art de vivre et chasse au sein d’un même écrin.
Sur la terrasse du château, à l’ombre des glycines et de la tour de garde, ce « jeune chasseur