Cela a donné le Speedster, avec sa carrosserie en matériaux composites très anguleuse et au style très personnel. A vrai dire, même s’il hérite bien du châssis en aluminium léger et rigide de l’Elise, le Speedster ne ressemble pas à la petite anglaise… et pas vraiment à une Opel, ce qui est heureux! Lancé fin 2000, le Speedster commence sa carrière en recevant un 4 cylindres 2.2 atmosphérique de 147 ch placé, comme sur l’Elise, en position centrale arrière. Ce moteur à distribution par chaîne issu de la banque d’organes d’Opel est réputé très fiable. Il suffit à procurer de bonnes performances et un vrai plaisir de conduite, le Speedster étant un poids plume de moins de 900 kg et doté de trains roulants précis et incisifs. Cette version sera bientôt rejointe par une « turbo », commercialisée dès 2003 et reconnaissable aux écopes latérales agrandies. Grâce à la suralimentation, la puissance fait un bond à 200 ch, ce qui transfigure la voiture. De petit roadster sympathique, on passe à un engin performant capable de tenir tête à des sportives prestigieuses. L’entretien,
