’histoire de BMW Motorsport avec les breaks n’est jamais apparue comme une évidence. Seulement deux déclinaisons de M5 (E34 en 1992 et E61 en 2007) ont eu droit à cette carrosserie avec à la clé des volumes de production anecdotiques. Ce qui poussa BMW à ne pas reproduire l’expérience de sitôt. Laissant ainsi le champ libre à Audi, spécialiste du secteur depuis 1994 avec sa RS 2 (sur base d’Audi 80 Avant) conçue en partenariat avec Porsche. Dès lors, les RS 4 et RS 6 se sont succédé, faisant le bonheur d’une clientèle exigeante, attachée aux performances, mais également à la polyvalence induite par la transmission intégrale Quattro. Pour sa nouvelle M3, BMW donne le choix entre propulsion et transmission intégrale, mais le break n’est disponible qu’en xDrive dans sa dernière définition, particulièrement performante, nous y reviendrons. Cette M3 Touring chasse donc directement sur les terres de sa rivale, en essayant d’offrir sa polyvalence “tous temps” additionnée d’une touche de dynamisme caractéristique des produits “M”. Pour tenter de se démarquer, elle n’est disponible qu’en version Competition, disposant d’un 6 cylindres en ligne de 510 ch, quand la RS 4, restylée l’an passé, conserve son
AU BONHEUR DES PÈRES
Jun 15, 2023
6 minutes
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