Il y a un an, les spectateurs français assistaient à ce qui risque d’être le dernier Grand Prix de France de Formule 1 avant longtemps. L’Hexagone ne semble plus exister dans les plans de Liberty Media, le propriétaire-exploitant des droits de la F1, qui a la mainmise sur l’aménagement du calendrier du championnat du monde. C’est une grande déception, et une frustration, pour les deux pilotes français du peloton, Pierre Gasly et Esteban Ocon, qui n’ont pas le plaisir de se produire devant leur public. Le président de la République Emmanuel Macron a récemment donné son imprimatur aux anciens acteurs qui ont fait revenir le Grand Prix de France au Ricard, pour qu’ils explorent les pistes possibles au retour d’une épreuve française au calendrier. Mais il ne s’agit là que de belles intentions et de paroles d’encouragement qui n’intéresseront les décideurs de Liberty Media, et donc aussi de la Fédération internationale de l’automobile (FIA), que si elles sont converties en plusieurs millions de dollars.
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