Le Journal du dimanche

Marathon de Paris Une course en capitale

Un grand frisson partagé ! À l’heure de s’élancer ce matin dans la fraîcheur printanière, ce même mélange d’excitation et d’appréhension aura saisi les meilleurs athlètes, qui attaquent dès 8 heures, et les derniers coureurs, qui partiront à 11 h 10, pour une longue traversée de Paris. On renseigne son objectif lors de son inscription : un quart des participants termine en plus de quatre heures et demie. Les « élites » ont de véritables « lièvres », les coureurs plus modestes, qui se sont aussi astreints à une préparation indispensable, peuvent suivre de plus rassurants « meneurs d’allure ». Au gré des différents « sas » où s’échelonnent, est au départ pour promouvoir son engagement contre le harcèlement scolaire et la sédentarité. Gaëlle, qui n’avait jamais dépassé les vingt minutes de footing il y a encore un an, s’aligne avec deux collègues, aux couleurs de leur entreprise. Audrey Lopez, jeune pâtissière guérie d’une grave maladie qui l’avait privée de la course l’an dernier, vise raisonnablement un statut de « finisher » au goût de revanche, mais, bien entraînée, elle garde en tête la barre des quatre heures, si tout se passe bien…

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