“En annonçant son retour en compétition à l’approche de la saison 1982, Niki Lauda produisit une sensation presque aussi forte que, deux ans plus tôt, au Grand Prix du Canada 1979. Quand, après la première séance d’essais, il avait pris tout le monde de court – jusqu’à Brabham, sa propre équipe de course – en quittant tout à trac le circuit de l’île Notre-Dame de Montréal, destination l’aéroport pour embarquer dans le premier vol, direction son Autriche natale. Sans regret apparent, il laissait derrière lui, outre le monde stupéfait des grands prix, sa propre carrière de pilote de course pourtant glorieusement ornée de deux titres de champion du monde (1975 et 1977). Il
