Mercedes France
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Classe A 180 AMG Line
Toujours chic
Forte de son succès, la compacte se relance avec un timide restylage. L’essentiel se passe surtout sous le capot, où prend place un moteur à hybridation légère 48 V. Le 4 cylindres 1,3 l se montre alors plus sobre qu’auparavant, avec jusqu’à 0,9 l/ 100 km de moins sur route. Un terrain où la compacte est plaisante à mener, avec un châssis bien équilibré. En ville, la suspension secoue les occupants. Un phénomène amplifié par les jantes 18’’ de cette finition AMG Line. A bord, les changements sont moins nombreux. L’équipement est correct, mais l’indispensable est en option. La note grimpe vite !
Présentation / finition
Consommations en baisse
Tarif élevé
Confort à basse vitesse
Classe A 200 AMG Line
Economique à l’usage
En s’adjoignant les services d’un dispositif de micro-hybridation 48V, le 1.3 turbo de cette version a gagné en couple (+ 20 Nm), ce qui lui permet d’offrir des accélérations plus franches. Il a surtout vu son appétit baisser notablement (-0,9 l / 100 km). De quoi compenser une facture d’achat plutôt indigeste, d’autant que la dotation de série n’embarque rien de trop. Sauf à se plonger dans la loooongue liste des options. En finition AMG Line, la A 200 pèche par un confort trop ferme, notamment à cause de ses sièges baquets. Quant au comportement routier, il marie habilement sécurité et vivacité.
Qualité de fabrication
Sobriété
Rapport prix / équipements
Sièges baquets très fermes
Classe A 250 e AMG Line
En prise directe
La Classe A se décline également en version hybride rechargeable ! Son 1.3 turbo essence de 163 ch est associé à un moteur électrique de 109 ch, et sa batterie d’une capacité de 15,6 kWh lui permet de parcourir une soixantaine de kilomètres sans consommer une goutte de carburant, et d’atteindre 140 km / h dans ce mode. Lorsque les deux moteurs travaillent de concert, la A 250 e affiche 218 ch et 450 Nm, pour une belle réactivité sur route. Reste que la régénération, qui varie selon les conditions de circulation, complique le dosage du freinage. Enfin, la technologie hybride “plug-in” reste coûteuse...
Autonomie électrique
Douceur et vivacité
Surcoût élevé
Freinage difficile à doser
Classe A 35 AMG 4MATIC
Numéro d’équilibriste
Avec “seulement” 306 ch, cette A 35 AMG cible clairement la BMW M135i et distille de viriles accélérations. Et le boost électrique du système micro-hybride renforce les performances. Certes, son moteur manque de voix, mais l’échappement compense ce défaut en générant des déflagrations bien méchantes à la coupure des gaz. Dotée d’office d’une transmission intégrale et d’une boîte auto. à double embrayage, l’A35 jouit d’un comportement joueur mais reste aisée à conduire : l’arrière décroche en tout progressivité. Dernier détail : elle est plus de 15 000 € moins chère que la A 45 S...
Efficacité
Facilité de conduite
Postérieur joueur
Sonorité du 4 cylindres
Classe A 45 AMG S 4MATIC+
Arme de destruction massive
Ce monde est fou. La preuve ? Cette A 45 AMG S affiche 421 ch, soit... 21 de plus qu’une Ferrari 360 Modena des années 2000 ! Évidemment, avec une telle cavalerie, la “petite” Mercedes décoiffe. Mais si elle sait aller (très) vite en ligne droite, ce n’est pas son seul talent. En effet, sa transmission intégrale intelligente sait marier facilité de conduite et agilité exacerbée. Elle propose même un mode “Drift” pour ceux qui veulent jouer ! Cette AMG a donc un sacré sens de l’humour... sauf en termes de tarif. En comptant le malus et quelques options, on atteint sans peine la barre des 150 000 € !
Performances démentes
Facilité de conduite
Agilité
Tarif délirant
Classe A 180 d 8G-DCT Progressive Line
On change tout !
Fini la boîte de vitesses Renault, Mercedes propose désormais en série sa 8G-DCT aussi sur son entrée de gamme diesel. Un bon point pour la consommation et la réactivité de l’ensemble. A l’intérieur, on retrouve une qualité de fabrication digne du blason Mercedes et une habitabilité en hausse par rapport à la précédente génération. Ce n’est pas le cas du confort, encore trop ferme. Sous le capot, là aussi tout change, Mercedes propose son bloc 2 litres “dégonflé” qui remplace l’ancien dCi. D’une puissance modeste, il fait bien le boulot. Mais les prix ne cessent d’augmenter.
Qualité de fabrication
Espace à bord en augmentation
Sobriété
Tarifs
Classe A 200 d 8G-DCT AMG Line
Origine contrôlée
Si les 116 ch de la 180 d vous semblent un peu justes, la version 200 d propose 150 ch. Par ailleurs, ce bloc profite d’une transmission à 8 rapports dernier cri en série, ce qui représente un surcoût de seulement 2 000 €. La puissance est suffisante pour être à l’aise sur les grands trajets, et l’agrément monte d’un cran. Tout comme la consommation, un peu plus élevée que son homologue d’entrée de gamme. La finition AMG Line, qui coiffe la gamme, met en valeur le design de la Classe A avec un kit carrosserie musclé et un habitacle raffiné (microfibre, sièges sport). Mais à quel prix !
Diesel très disponible
Boîte auto. moderne
Style soigné
Tarif pour une compacte
Classe A Berline 180 Progressive Line
Les bagages sont à la fête
Même si elles ont peu de succès chez nous, les berlines compactes trois volumes ne manquent pas d’intérêt. Ne serait-ce que par leur volume de coffre, bien plus conséquent que sur la variante 5 portes dans le cas de cette Classe A (+ 57 dm3). Pour le reste, cette A 180 rend les mêmes services que sa soeur à hayon., à savoir des performances correctes, une consommation mesurée, une habitabilité aux places arrière qu’il l’est tout autant et un rapport prix/équipement peu favorable. Cette finition Progressive Line gagne toutefois notablement en confort comparée à l’AMG Line.
Coffre adapté à un usage familial
Consommations basses
Rapport prix / équipement
Accès à la malle compliqué
Classe A Berline 180 d AMG Line
Une entrée de gamme à prix d’or
Alors qu’elle avait initialement recours à un moteur et une transmission issus de la banque d’organes Renault, cette Classe A fait désormais appel à des éléments mécaniques 100 % Mercedes. Au menu, un 2.0 diesel un peu mollasson mais très sobre, et une boîte robotisée à double embrayage, ne comptant pas moins de 8 rapports, douce et réactive. Dommage que l’ensemble se fasse un peu trop entendre, que le confort souffre des suspensions sèches de cette finition AMG Line, que l’équipement soit limité au strict nécessaire et que le tarif atteigne des sommets.
Présentation soignée
2.0 diesel peu porté sur la gazole
Dotation limitée
Manque de confort
Classe A Berline 200 AMG Line
Association originale
Ses lignes classiques n’empêchent pas la Classe A Berline d’être compatible avec la finition haut de gamme AMG Line. Chacun jugera, en fonction de ses goûts personnels, de la pertinence des évolutions esthétiques, mais tout le monde s’accordera sur le manque de confort de l’amortissement, dû à une suspension raffermie. Sous le capot, c’est toujours le bloc 1.3 Turbo, d’origine Renault, qui officie et sui est associé à la boîte à double embrayage 7G-DCT. Malgré sa cavalerie plutôt élevée, ce 4 cylindres se distingue davantage par sa sobriété, surtout depuis qu’il reçoit une micro-hybridation, que par ses performances.
Consommation
Volume de coffre
Suspension trop ferme
Tarifs hauts perchés
Classe A Berline 200 d Progressive Line
Sur la bonne voie
Dans sa livrée Progressive Line, la Classe A Berline a presque tout de la
