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  • Génuflexion

    Un corps controlé, une beauté étouffée, une violence retranchée et qui la déborde.
    Une beauté rayée par une pulsion interne. Annihiler le lisse, et présenter au monde son petit grain de sable. D’ordinaire ma photographie s’attache a une beauté cachée; dans cette nouvelle série, l’interêt se porte sur la violence d’une beauté que la nécéssité impose a masquer pour ne pas y être réduite.
    Une défiance à la dimension autoritaire de la beauté .

  • GENITAL PANIC

    Un lieu dans l'entre-deux de lui-même. Un lieu écrin d'un corps qui lui fait echo, celui d'un hermaphrodite en milieu de vie, auto-castré par amour. L'envie d'un dialogue de pierre et de chair.
    Cette série tente de capter l'érrance d'un état d'entre-deux, en constante construction identitaire.
    Ce corpus d'images travaille en son sein le tiraillement du masculin et du féminin, la violence du paraître, les attributs et codes d'une féminité, des mécanismes de protection que l'on s'octroie…

    Un lieu dans l'entre-deux de lui-même. Un lieu écrin d'un corps qui lui fait echo, celui d'un hermaphrodite en milieu de vie, auto-castré par amour. L'envie d'un dialogue de pierre et de chair.
    Cette série tente de capter l'érrance d'un état d'entre-deux, en constante construction identitaire.
    Ce corpus d'images travaille en son sein le tiraillement du masculin et du féminin, la violence du paraître, les attributs et codes d'une féminité, des mécanismes de protection que l'on s'octroie pour être un peu plus que ce que l'on est ...

    co-production LA SAMARITAINE.

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  • De la violence de n'être que

    Un travail intimiste et qui n'a eu volontairement que peu de monstration (projection lors des voies off 2011). Une écriture en arrêt sur image au magnetoscope sur un moment de ma vie qui deraille. La tête de lecture vibre sur le visuel e suspens. Des tirages de tres petites tailles necessitant un rapprochement physique. L'ambiance lourde et triangulaire de la série fonctionne comme une mise en apnée où l'on quitte la lisère du noir et blanc par de vagues remontées dans des demies teintes. Une…

    Un travail intimiste et qui n'a eu volontairement que peu de monstration (projection lors des voies off 2011). Une écriture en arrêt sur image au magnetoscope sur un moment de ma vie qui deraille. La tête de lecture vibre sur le visuel e suspens. Des tirages de tres petites tailles necessitant un rapprochement physique. L'ambiance lourde et triangulaire de la série fonctionne comme une mise en apnée où l'on quitte la lisère du noir et blanc par de vagues remontées dans des demies teintes. Une mémoire liquide .

  • Avoid contact with eyes

  • Nina

    Nina est une ex-star du porno, anorexique, boulémique et au sortir d'une longue période de toxicomanie. Je la saisis dans ce changement de vie qui influe et fait autorité sur son corps en métamorphose. Un corps ECRIN- un corps ECRAN. La proposition platique affleure une vision post-documentaire. L'image, si elle documente ne se donne pas à voir d'emblée dans un excés de visible. Ma photographie tente de rendre compte de ce corps qui la déborde. Nina est un corps construit, une image qui est peu…

    Nina est une ex-star du porno, anorexique, boulémique et au sortir d'une longue période de toxicomanie. Je la saisis dans ce changement de vie qui influe et fait autorité sur son corps en métamorphose. Un corps ECRIN- un corps ECRAN. La proposition platique affleure une vision post-documentaire. L'image, si elle documente ne se donne pas à voir d'emblée dans un excés de visible. Ma photographie tente de rendre compte de ce corps qui la déborde. Nina est un corps construit, une image qui est peu à peu devenue une fiction d'elle-même. Un corps qui , dans sa surexposition lui est devenu étranger et qu'elle tente de réapprivoiser : notamment par l'abandon de ces extensions de cheveux , attribut d'une féminité factice qui marque son entrée dans le milieu pornographique, une cage capillaire à présent revolue, et qui achève une période de sa vie. Il s'agit d'une photographie granuleuse, tremblante et hésitante dans son écriture même, une photographie qui insiste sur la vérité d'un corps en évitant le surcodage glamour et sexy dont il est pourtant pleinement empreint. m.l.

  • La vanité des ecchymoses

    La vanité des ecchymoses est une série de portraits installés en sequences d'images, qui affleurent l'enfermement, la taisance et l'état de perte des relations humaines. Les personnes portraiturées apparaissent isolément dans le cadre, mais les images ne sont pas autonomes pour autant, elles dialoguent entre elles au sein d'un agencement sequentiel. Ma photograhie est granuleuse et vibratile. Cette grossièreté de grain donne une image aux portes du trouble, à distance d'un voir…

    La vanité des ecchymoses est une série de portraits installés en sequences d'images, qui affleurent l'enfermement, la taisance et l'état de perte des relations humaines. Les personnes portraiturées apparaissent isolément dans le cadre, mais les images ne sont pas autonomes pour autant, elles dialoguent entre elles au sein d'un agencement sequentiel. Ma photograhie est granuleuse et vibratile. Cette grossièreté de grain donne une image aux portes du trouble, à distance d'un voir précis.
    Dégagée d'une photograhie de l'instant, ma photographie est une remise en scène du perçu. Il m'importe de saisir en chaque personne sa difficulté propre à être. Le corps à lui seul capte l'attention et structure le visible, offrant à notre regard ce que Marguerite Duras nomme "la perfection indélébile de l'accident personnel".
    Cette série travail en son sein la notion de colorimétrie. L'étalonnage a suivi les teintes que l'on peut retrouver dans l'évanouissement d'une ecchymose. Les personnes représentées étant dans la réparation d'une douleur , dans un post-trauma.

  • Fictions Aptères

    Lorsqu’une personne s’offre à nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu’elle souhaite laisser transparaître d’elle-même. De même ne préjugeons-nous pas de cette personne ? Il me semble qu’apprendre à connaître un être c’est autoriser à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la vie nous autorise à croiser nos chemins et à approfondir nos rapports. A partir de ce postulat, je m’autorise une vision du portrait assez libre de personnes qui jalonnent ma vie en laissant…

    Lorsqu’une personne s’offre à nous ne se fictionne-t-elle pas en partie en cloisonnant ce qu’elle souhaite laisser transparaître d’elle-même. De même ne préjugeons-nous pas de cette personne ? Il me semble qu’apprendre à connaître un être c’est autoriser à la fictionnner et à la refictionner à mesure que la vie nous autorise à croiser nos chemins et à approfondir nos rapports. A partir de ce postulat, je m’autorise une vision du portrait assez libre de personnes qui jalonnent ma vie en laissant libre court à l’expression de ma fictionnalisation d’autrui .

    Fictions Aptères est une série à la photographie sombre et qui ancre sa reflexion autour de la genèse du relationnel et de la question du portrait. Elle s'organise en séquence de 3 à 5 images, ponctuées de quelques images célibataires. Un être, Nelson, personnage récurrent, ponctue le dispositif mural.

    ( Cette série à remportée la bourse du Talent en 2008, la Mission jeune artiste MJA en 2009 ...)

  • Autorité

  • n. ... à un empan

    L’idéale voisine. Celle dont on ignore / la présence, celle qui semble n’être jamais là, la voisine silence. Personne/ ne la voit, ne l’entend. (Elle meurt. On croit en l’épaisseur du mur et en sa capacité d’insonorisation. ). Elle se meurt, esseulée, derrière le mur à/ 12 cm de là.( En silence. Je ne la vois pas.) Le mur me protège : il délimite mon espace à vivre.
    Corpus de 5 images sur la question du voisinage de l’être. Le récit indiqué ci avant est relégué à la marge de l’image. L’empan…

    L’idéale voisine. Celle dont on ignore / la présence, celle qui semble n’être jamais là, la voisine silence. Personne/ ne la voit, ne l’entend. (Elle meurt. On croit en l’épaisseur du mur et en sa capacité d’insonorisation. ). Elle se meurt, esseulée, derrière le mur à/ 12 cm de là.( En silence. Je ne la vois pas.) Le mur me protège : il délimite mon espace à vivre.
    Corpus de 5 images sur la question du voisinage de l’être. Le récit indiqué ci avant est relégué à la marge de l’image. L’empan est cette vieille mesure , aujourd’hui inusitée mais qui correspond à l’ouverture d’une main. Une main tendue vers l’autre.

Langues

  • French

    Bilingue ou langue natale

  • English

    Capacité professionnelle générale

Organisations

  • STUDIO HANS LUCAS

    -

    - aujourd’hui

    http://hanslucas.com/mlahana/photo http://hanslucas.com/mlahana/multimedia

  • LINKS

    Photographe

    - aujourd’hui

    http://marikellahana.com/pages/ensemble-links/ www.ensemblelinks.fr

  • L'évadée

    artiste

    - aujourd’hui

    Fondé fin 2009, L’évadée est un collectif d’artistes, international et transdisciplinaire. L’évadée présente des travaux liés par la thématique de la dé/construction de la notion d’identité. L’évadée produit en juillet 2010 une exposition intitulée Identity Lab : présentée par le festival Voies-Off dans le cadre de la programmation de leurs 15 ans, co-commissionnée par Christian Gattinoni de la revue LaCritique.org, soutenue par l’ensp, et exposée dans la galerie La Vitrine.

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