Le reporting de durabilité de la directive #CSRD, en imposant plus de transparence et de comparabilité des entreprises entre elles, et rien d’autre, serait-il la bonne porte d’entrée dans une dynamique de transition écologique des entreprises ? En commençant par l’analyse de « double matérialité » (fondamentaux des normes #ESRS de la CSRD), les entreprises doivent se demander ce qui est important au regard de l’impact de leur activité sur l’environnement et la société (« matérialité d’impact »), tout autant que ce qui est important au regard de l’impact de l’environnement sur leur performance financière (« matérialité financière »). Un exercice qui, au delà de la simple « compliance » à une norme de reporting, invite les entreprises à une réflexion stratégique sur leur modèle d’affaires dans un monde changeant et incertain, mais toujours compétitif. Une étude du cabinet PwC, rapportée ici par Novethic en juin dernier, montre que plus de la moitié des dirigeants des entreprises soumises au reporting de durabilité en 2025, voit dans la CSRD non pas une contrainte mais une opportunité. 👉 Une opportunité d’améliorer leur performance environnementale à 57% 👉 Une opportunité d’engager leurs parties prenantes externes et internes à 52% 👉 Une opportunité de s’outiller pour mieux gérer et atténuer les risques qui pèsent sur leurs activités pour 50% Pour les dirigeants qui ont intégré la nécessité de se transformer durablement, ce cadre réglementaire permet de se démarquer, notamment auprès des investisseurs. https://lnkd.in/dZpwczmp
