Post de Fondation Abbé Pierre

Vis Pace (groupe anti-Macron) - Parce qu'il faut battre le Macron tant qu'il est à l'Elysée... : Réflexion inverse : "L'heure est grave"... ou, plutôt, "importante", faudrait-il dire... Car, si, hier, j'ai fait part de mon enthousiasme à nous voir rejoints, dans les jours qui viennent, par les agriculteurs en colère, il est -bien sûr- plus prudent de se préparer à l'éventualité que cette convergence n'arrive pas ; il existe plusieurs raisons à cela... Déjà, parce que, forte de l'expérience des "Gilets Jaunes", l'Administration Macron saura, cette fois, lâcher plus que les "miettes" qui nous ont été données ; il faut dire que, pour le coup, le corps de métier en question est particulièrement redoutable, avec un matériel encombrant (tracteurs, etc...) : aussi, les dirigeants actuels ont intérêt à ne pas se rater, car, avec cette révolte, il ne "suffirait" pas d'envoyer des CRS et des canons à eau... Par ailleurs, à eux seuls, les travailleurs concernés constituent un levier à part entière de la puissance de notre pays, c'est-à-dire que, sur leurs productions de type alimentaire, toute la société repose A voir, aussi, sur https://lnkd.in/eHTXvBZp, et sur https://t.me/survivantsGJ

Pétition utile et nécessaire pour la dissolution des Soulèvements de la Terre

Vis Pace (groupe anti-Macron) - Parce qu'il faut battre le Macron tant qu'il est à l'Elysée... : Ouverture prochaine : Qu'est-ce c'est que d'être complotiste ? C'est, par exemple, d'imaginer que l'accident qui a endeuillé, aujourd'hui,le mouvement de grogne des agriculteurs était, en fait, voulu par -je ne sais- qui. Pourquoi cette suspicion ? Parce que, à travers la révolte de travailleurs, qui se présentent - eux aussi - comme de "petites gens" ayant des difficultés à finir les fins de mois,il est évident qu'il existe une filiation entre les dénonciations faites par ceux qui assurent (en théorie) la souveraineté alimentaire de notre nation et le mouvement des "Gilets Jaunes"; j'ai utilisé l'expression "en théorie", car c'est un des motifs de la rébellion: ceux qui, actuellement, bloquent les routes sont "court-circuités" par des importations qu'eux-mêmes devraient produire... Bref, je donne la priorité à ce sujet, car, selon moi, le voilà, l'éclatement que tout le monde, parmi mes amis GJ, espère voir à chaque rentrée; enfin, nous y sommes, à l'élargissement de notre mouvement ! La convergence arrive A voir, aussi, sur https://lnkd.in/eHTXvBZp, et sur https://t.me/survivantsGJ

« Sainte-Soline, autopsie d’un carnage » : le film en accès libre Une répression d’une ampleur démesurée, des centaines de blessés et traumatisés... Le documentaire « Sainte-Soline, autopsie d’un carnage », coproduit par Off Investigation et Reporterre, est désormais en accès libre. Un documentaire réalisé par Clarisse Feletin et Maïlys Khider, une co-production Off Investigation et Reporterre. Enquête — Mégabassines Synopsis Le 25 mars 2023, près de 20 000 manifestants convergeaient vers le chantier de la mégabassine de Sainte-Soline (Deux-Sèvres) pour protester contre l’accaparement de l’eau par une poignée de gros céréaliers soutenus par l’État. Interdite, la manifestation était violemment réprimée. Équipés « d’armes de guerre », parfois montés sur des quads, 3 200 gendarmes tirent plus de 5 000 munitions (grenades explosives ou assourdissantes, balles de LBD 40…) sur des militants et militantes déterminées, mais aussi sur des familles, des élus et même des blessés. Un « usage disproportionné et indiscriminé de la force », selon la LDH. Plus grave : les autorités ont interdit l’accès aux secours durant plusieurs heures. Résultat : plus de 240 blessés, dont certains entre la vie et la mort. Un an après, Off investigation et Reporterre, deux médias libres des actionnaires, du pouvoir et des annonceurs publicitaires, retracent minutieusement de l’intérieur et en toute indépendance l’une des plus graves répressions de civils organisées sous la Ve République depuis octobre 1961. https://lnkd.in/exFPdDri Ce sont deux médias libres qui ont produit cette enquête : libres de la pression d’actionnaires, libres du pouvoir, libres de la publicité. Et c’est pourquoi, financés uniquement par les internautes, nous pouvons mener des enquêtes, avec pour seule contrainte la recherche de la vérité. Pour nous soutenir, c’est ici. Aidez-nous à faire émerger un autre récit ! Pour continuer notre travail demain, nous avons besoin de vous aujourd’hui.
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Le 7 avril 2024 marque le triste anniversaire des 30 ans du génocide rwandais, une période sombre où un million de Tutsis et de Hutus modérés furent sauvagement assassinés. En l'espace d'une génération, le Rwanda s'est métamorphosé, sous la houlette du président Kagame et sa vision d'un "Nouveau Rwanda". L'accent est mis sur l'unité nationale et la réconciliation, effaçant toute référence aux identités ethniques d'antan dans la sphère publique. Trois décennies plus tard, le défi de vivre côte à côte avec les anciens génocidaires est relevé au quotidien par les Rwandais. Plus de 60.000 prisonniers ont été libérés et doivent désormais coexister avec ceux qu'ils ont meurtris. Ce "génocide de proximité" impliquait des connaissances, des voisins, voire des membres de la famille, rendant la réconciliation non seulement essentielle mais aussi complexe. Les Rwandais se trouvent devant l'impératif de partager un Rwanda unifié. Arte Reportage a exploré l'un des huit "villages de la réconciliation", des communautés rurales transformées en expérimentations de la politique de réunification. Ces projets sont le fruit de l'initiative de l'ONG chrétienne "Prison fellowship Rwanda", avec l'appui des autorités. Cependant, cette image d'unité cache des réalités plus nuancées. Des questions demeurent quant à la capacité des Rwandais à véritablement se réconcilier avec leur passé et à faire leur deuil face à une histoire si traumatisante. Le Rwanda continue donc sa marche vers la paix et la stabilité, tout en jonglant avec les complexités d'une réconciliation nationale et les cicatrices d'un passé encore à vif. La recherche d'un avenir commun reste un travail de chaque instant dans ce pays résilient, qui s'efforce de se redéfinir au-delà des tragédies qu'il a vécues.