Post de Serge-Eric DURMAN

La compassion de VINCI Autoroutes ira t elle jusqu’à réclamer le classement de la profession de patrouilleur autoroutier comme métier à risque et une revalorisation conséquente des salaires sur les 3 milliards € de bénèfice de vinci ? C’est ce que demandent leurs syndicats. Un patrouilleur par semaine percutée en France. Un problème rencontré sur toutes les autoroutes du monde. L’agent décédé avait échappé à la mort déjà en 2013, dans des circonstances similaires. Une pluie torrentielle, une voie de gauche neutralisée, des conditions d’intervention périlleuses avec les moyens dédiés. L’entière responsabilité portée par le conducteur, puisque roulant trop vite. Cela permet d’éluder toutes les questions sur les moyens d’intervention de la société autoroutière, le nombre de personnels intervenants pour sécuriser, ou les pratiques mises en place. C’est bien pratique!

Je recommande à chacun de lire la lettre de Pierre Coppey de Vinci.

(bis) Décès de Shamseddine : Une tragédie pour notre société: La CFDT exprime ses condoléances à la famille et aux proches de Shamseddine, collégien de Viry-Châtillon, dont nous avons appris avec stupeur le décès hier après-midi. Face à une telle tragédie les mots sont toujours durs à trouver. Nous exprimons notre solidarité, notre soutien à ses parents et leurs proches ainsi qu'à l'ensemble de la communauté éducative et technique. Nous avons confiance dans les services d'enquête et dans la justice pour établir les faits, les responsabilités, définir les sanctions à prendre contre les auteurs de ces violences inqualifiables. L'heure est au recueillement et à la compréhension des faits. Il nous faudra ensuite, collectivement, nous interroger sur les causes de cette violence aux abords des établissements scolaires qui nous bouleverse toutes et (...) - Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT) / Partenaires sociaux / Paritarisme / Syndicalisme / Association professionnelle, réservé aux abonné.e.s, Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT)

(ter) Décès de Shamseddine : Une tragédie pour notre société: La CFDT exprime ses condoléances à la famille et aux proches de Shamseddine, collégien de Viry-Châtillon, dont nous avons appris avec stupeur le décès hier après-midi. Face à une telle tragédie les mots sont toujours durs à trouver. Nous exprimons notre solidarité, notre soutien à ses parents et leurs proches ainsi qu'à l'ensemble de la communauté éducative et technique. Nous avons confiance dans les services d'enquête et dans la justice pour établir les faits, les responsabilités, définir les sanctions à prendre contre les auteurs de ces violences inqualifiables. L'heure est au recueillement et à la compréhension des faits. Il nous faudra ensuite, collectivement, nous interroger sur les causes de cette violence aux abords des établissements scolaires qui nous bouleverse toutes et (...) - Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT) / Partenaires sociaux / Paritarisme / Syndicalisme / Association professionnelle, réservé aux abonné.e.s, Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT)

Les associations féministes doivent alerter sur une probable augmentation des actes qui pavent l'escalade de la violence: - menaces -intimidation - violences verbales et physiques - contrôle coercitif - persécution economique et financière etc..... Les pouvoirs publics ne se basent que sur les plaintes (or peu de femmes vont jusque là, sachant qu'elles n'aboutissent pas). Nous n'en pouvons plus de COMPTER NOS MORTES! Cela devrait pouvoir s'arrêter AVANT l' execution fatidique! Et, s'il y'a augmentation, il faudrait aussi comprendre pourquoi, quelles en sont les raisons? L'impunité notoire qui accompagne l'escalade de la violence, peut-être? #JustAsking

Le roman s'ouvre sur une scène de crime dans une ferme, en présence d'enfants : ce premier chapitre est fondateur pour arriver jusqu'au dénouement, mais aucun indice pour vraiment comprendre ce qui s'est joué là … d'autant plus que tout le reste de l'action se déroule en 2019, trente ans après, avec une série de meurtres de mères de famille horriblement mutilées ( main coupée pour la première ) qui rebondit sur une autre affaire, classée, celle de la disparition d'une fillette quelques années auparavant : le meurtrier de cette dernière, emprisonné, a avoué mais il n'a jamais été capable d'indiquer où se trouvait le corps. Et voilà que les empreintes de la fillette sont retrouvées sur des petits bonhommes en marron posés à proximité des corps suppliciés des mères de famille. La course contre la montre pour savoir si la fillette est toujours vivante, pour comprendre le lien entre sa disparition et les féminicides, et éviter de nouveaux meurtres, est passionnante. le scénario, tortueux quand le lecteur est plongé dedans, limpide une fois la lecture achevée, sait jouer de différents tempos, plus lent notamment pour apprendre à découvrir un duo d'enquêteur atypique qui fonctionne parfaitement ( elle, cash et intelligente, sur le départ du département criminel pour le service de Cyber sécurité ; lui, acharné et instinctif, chien fou viré d'Europol, purgeant sa punition sur cette enquête ) ainsi que la mère de la fillette disparue, la ministre des Affaires sociales. Et comme souvent dans les polars scandinaves, le contexte sociétal est bien posé et apporte de façon pertinente profondeur et émotion autour des thématiques fortes : de vengeance - fabrique d'un tueur en série - enfance meurtrie - dysfonctionnements des services sociaux. J'ai également apprécié de ne pas deviner précocement les ressorts des crimes ni l'identité du tueur en série ; il faut aller très loin dans l'intrigue pour y parvenir, et lorsque c'est le cas, la révélation est brillamment amenée. Un excellent polar, palpitant avec son scénario complexe et ingénieux. Un auteur à suivre. Venez vite lire ce roman à suspens!

Merci Véronique BECHU pour ce partage de votre parcours, de votre métier, de votre combat. Notre société a besoin d'enquêteurs et enquêtrices de votre envergure pour déjouer les stratagèmes des prédateurs et protéger les enfants. Nous devons tous, citoyens, apprendre à développer cette hypervigilance que vous décrivez, pour détecter dans le quotidien les signaux faibles des situations à risque. Sans verser dans la paranoïa, nous avons toutes et tous notre rôle à jouer, être attentifs et ne pas regarder ailleurs. Témoigner, alerter, signaler, est de notre responsabilité à chacun.e face à une situation alarmante. Et, dans le doute, croire les enfants : le principe de précaution doit, toujours, prévaloir sur la présomption d'innocence, dans le questionnement de savoir s'il faut signaler ou non. Face à un enfant qui parle, ce sera aux enquêteurs spécialisés de déterminer si les faits sont établis.

En ce mois de juillet ensoleillé sur la côte catalane, un drame est venu assombrir l’ambiance estivale à Canet-en-Roussillon. Florence, mère d’un jeune homme de 20 ans, a raconté avec émotion l’agression ultra-violente dont son fils a été victime en protégeant sa petite amie d’une bande de délinquants. Une affaire choquante qui suscite l’indignation et met en lumière la violence gratuite qui gangrène certains quartiers. Un couple pris pour cible par une bande violente Début juillet, après une soirée en boîte de nuit, le jeune couple croise la route d’un groupe d’une dizaine d’individus. L’un d’eux s’en prend alors à la jeune fille, l’aspergeant de vodka et lui tirant les cheveux. Le jeune homme intervient pour protéger sa compagne et tenter de la mettre en sécurité. C’est alors que la situation dégénère. Après quelques invectives, le groupe s’en prend violemment au jeune homme de 20 ans. Il reçoit d’abord un coup de bouteille en verre à la tête avant de se faire lyncher pendant de longues secondes une fois au sol par une dizaine d’agresseurs déchaînés. Bilan : 10 jours en fauteuil roulant et des séquelles Les conséquences de ce lynchage d’une rare violence sont terribles pour la victime. Florence, sa maman, raconte les blessures subies par son fils : Mon fils va mieux, mais il a été en fauteuil roulant pendant dix jours. Il a eu deux fractures des vertèbres et de nombreuses plaies à la tête. À deux centimètres, on lui cassait la colonne vertébrale. Florence, mère de la victime Un acte de violence gratuite selon la maman, qui décrit son fils comme un jeune homme sans histoires, fraîchement diplômé comme agent de sécurité. Il venait de passer une super soirée avant de voir son quotidien basculer pour avoir voulu défendre sa petite amie. Une enquête en cours mais pas d’interpellations Une plainte a été déposée quelques heures après les faits, mais un mois après l’agression, Florence est sans nouvelles de l’enquête. Contactée, la gendarmerie des Pyrénées-Orientales confirme qu’une enquête est en cours et qu’elle est prise très au sérieux par les enquêteurs de la brigade de Canet-en-Roussillon. À ce stade, la priorité est d’identifier les agresseurs sur la base des images de vidéosurveillance et des témoignages recueillis. Mais malgré ces moyens mis en oeuvre, aucun suspect n’a pour l’instant été interpellé ou placé en garde à vue. Une affaire symptomatique d’une dérive inquiétante Cette agression ultra-violente commise en réunion et a priori sans autre motif que la violence gratuite illustre une dérive inquiétante. Les agressions de ce type, souvent le fait de bandes, se multiplient partout en France, notamment pendant la période estivale. Les victimes et leurs proches, comme Florence, se retrouvent souvent démunies et en attente de réponses face à la lenteur des enquêtes. Cette impunité apparente ne fait qu’aggraver le sentiment d’insécurité et d’injustice des citoyens. Il est urgent que des moyens supplémentaires soient dépl...