Annal Tle D Kepler Konaté
Annal Tle D Kepler Konaté
Organisation du document :
Rappels de cours
Méthodes pratiques
Exercices résolus
Exercices d’approfondissement
Correction d’exercice
Sujet type BAC entièrement corrigé
Page 1
Tapez une équation ici.
En posant : = − = √ ,
Nombres complexes
Module : | | = √ . ̅ = +
Propriétés :
Pour tous nombres complexes ′ :
| | = | |̅ ; | . ′| = | |. | ′|
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Tapez une équation ici.
| |
Si ′ ≠ 0, = et =
| | | |
∀ ∈ ℕ, | | = | | .
Affixe et module d’un vecteur
et ont pour affixes respectives alors ⃗ a pour
affixe − et = | − |.
Forme trigonométrique d’un nombre complexe non nul
Définition :
Soit un nombre complexe non nul de module et d’argument . On
appelle forme trigonométrique de l’écriture : = (cos + sin )
cos <0
= − ′
sin >0
cos <0
= + ′
sin <0
cos > 0
=− ′.
sin < 0
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Tapez une équation ici.
Formule de Moivre :
Pour tout nombre réel et pour tout entier relatif , on a :
(cos + sin ) = cos( ) + sin( )
Notation exponentielle d’un nombre complexe
Définition :
Soit un nombre complexe non nul de module et d’argument . On
appelle forme exponentielle de l’écriture = .
Formule d’Euler
Pour tout nombre réel , on a : cos = et sin =
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Tapez une équation ici.
( + ) =
( − ) = (−1)
Linéarisation de et ( ∈ ℕ)
Méthode :
Pour linéariser et ( ∈ ℕ) on peut utiliser le procédé
suivant, mettant en jeu les formules d’Euler et du binôme de Newton :
Développer et réduire =( ) et =
( ) ;
Regrouper deux à deux les termes d’exposants opposés et
exprimer chacun d’eux en fonction de termes de la forme
cos ou sin .
Résolution des équations dans ℂ :
Soit , ′ ∈ ℂ :
. = 0 ⇔ = 0 = 0.
. ≠ 0 ⇔ ≠ 0 ′ ≠ 0 .
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Tapez une équation ici.
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Rotation de centre Ω( ) et Ω =Ω − = ( − )
d’angle (Ω ⃗, Ω ⃗′) ≡ [2 ]
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−
∈ (Г) /(Г) est le cercle de diamètre mes ⃗; ⃗ = + = ( ∈ ℝ∗ )
[AB] privé des points A et B −
−
∈ (Г) /(Г) est le demi-cercle de mes ⃗; ⃗ = +2 = ( ∈ ℝ∗ )
diamètre [AB] privé des points A et B −
tels que soit direct.
La droite perpendiculaire à ( ) −
mes ⃗; ⃗ = + = , ∈ ℝ∗
passant par privé du point −
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∈ à la couronne de rayon et . ≤ ≤ ≤| − |≤
Quadrilatère
Soit ( ), ( ), ( ) ( ).
est un parallélogramme ⇔ − = − .
est un losange ⇔ est un parallélogramme qui à deux
côtés consécutifs égaux.
est un rectangle ⇔ est un parallélogramme et à un angle
droit.
est un carré ⇔ est un rectangle qui à deux côtés
consécutifs égaux.
est un trapèze ⇔ ( )// ( ) et ( ) ( ) non parallèle.
est un trapèze isocèle ⇔( )// ( )et ( ) = ( ).
est un trapèze rectangle ⇔( )// ( ),
( ) ⟘ ( ) ( ) ⟘( ).
Exercices
Exercice 1 :
1) Déterminer la forme algébrique de :
= ( 1 − 2 )(4 + 5 ) ; = ; = (1 + ) ; = × ; =
2) a. Calculer , . En déduire et
b. Calculer 1 + + + , puis en déduire + + +
Exercice 2:
Soit les nombres complexes : =1+ , =2, = 5 = 1 − √3
1. Déterminer le module et un argument des nombres complexes ci-dessus.
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Exercice 11:
1. calculer (1 − ) et (1 + )
2. soit (E) : + 8 + 48 = 0.
Montrer que si est solution de (E), − l’est également.
3. Développer le produit ( + 12 )( − 4 )
4. Résoudre (E)
Exercice 12:
Le plan est muni d’un repère orthonormé direct ( , ⃗, ⃗). Unité graphique
2cm.
On considère dans ℂ le polynôme P définie par :
( ) = + 4(1 − ) − 2(2 + 7 ) − 16 + 8 .
1.a)Démontrer que l’équation ( ) = 0 admet une unique solution
réelle .
b) Déterminer les nombres complexes a et b tels que : ∀ ∈ℂ
, ( ) = ( − )( + + ).
c)Résoudre dans ℂ l’équation ( ) = 0.
2. A, B et C sont les points d’affixes respectives −1 + 3 , 1 + − 4.
a) Quel est la nature du triangle ABC ? Justifier.
b) Déterminer l’affixe du barycentre G des points pondérés (A ;
4), (B ; 3) et (C ; 5).
c)En déduire les affixes des vecteurs ⃗, ⃗ ⃗ .
Exercice 13:
Soit A, B et C trois points d’affixes respectives , / =2+
6, = 4 + 2 = 6 .
1) Placer les points A, B et C dans le plan.
2) a. Déterminer la forme algébrique de = où est l’affixe de
l’origine du repère.
b) Ecrire Z sous forme trigonométrique.
c)déterminer une mesure de l’angle orienté ( ⃗ , ⃗ ).
3) Soit r la rotation de centre B et d’angle − .
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Exercice 14
Exercice 15
√ ( √ )
1) On donne le nombre complexe =
√
a) Ecrire sous la forme algébrique et sous la forme exponentielle.
b) Déterminer l’ensemble des entiers naturels tels que soit un réel.
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Inéquation du type :
( )≤ ( )
( ) ≥ 0 ( )
⇔ ( ) ≥ 0 ( ) idem pour < où on remplace
( ) ≤ ( )( ) (3)
dans (3)seulement .
ℝ = ∩ ∩
( ) ≥ 0 ( )
( ) ≤ ( ) ⇔ ( ) ≥ 0 ( ) idem pour
( ) ≤ ( ( )) ( ) (3)
< où on remplace dans (3)seulement .
ℝ = ∩ ∩
( ) ≥ ( ) ⇔
( ) ≥ 0 ( ′ )
( ) < 0 ( )
( ) ≥ 0 ( ′ )
( ) ≥ 0 ( )
( ) ≥ ( ( )) ( ′ )
Soit = ∩ = ′ ∩ ′ ∩ ′
ℝ = ∪
( ) > ( ) ⇔
( ) ≥ 0 ( ′ )
( ) < 0 ( )
( ) ≥ 0 ( ′ )
( ) ≥ 0 ( )
( ) ≥ ( ( )) ( ′ )
Soit = ∩ = ′ ∩ ′ ∩ ′
ℝ = ∪
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Propriété 3 :
1
lim = +∞ , ∀ ∈ ℕ∗ ,
→
Produit
≠0 0 ∞
′ ∞ ∞ ∞
× × ′ ∞ F.I ∞
Règle des règle des
signes signes
Quotient
≠0 0 ≠0 ∞ ∞
′≠0 0 0 ∞ ′ ∞
∞ F.I 0 ∞ .
′
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Continuité
Continuité en un point :
Soit définie sur et ∈ .
est continue en si et seulement si lim → ( )= ( )
o Si lim → ( ) = ( ), on dit que est continue à
gauche de .
o Si lim → ( ) = ( ), on dit que est continue à
droite de .
Remarque :
( ) = ⋯; ≠
Si est telle que : alors est
( )=
continue en si et seulement si lim → ( )=
lim → ( )= .
Continuité sur un intervalle
Une fonction est continue sur si elle est continue en tout
point .
Proposition importante :
o Toute fonction constante, polynomiale, rationnelle,
irrationnelle, trigonométrique, comportant des valeurs
absolues sont continue sur leurs ensembles de définition.
o Si est continue sur alors elle est continue sur tout
intervalle ⊂ .
Image d’un intervalle par une fonction continue et strictement
monotone
Proposition :
L’image d’un intervalle par une fonction continue
et strictement monotone(i.e strictement
décroissante ou(exclusif) strictement croissante)
est un intervalle de même nature.
Dérivabilité
Nombre dérivée en
Définition :
Soit une fonction définie sur un intervalle ouvert
contenant .
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( ) ( )
On dit que est dérivable en si la quantité
admet une limite finie quand x tend vers . Cette limite
est appelée nombre dérivé en et notée ′( ).
Remarque :
Il est équivalent de dire que est dérivable en si
( ) ( )
la quantité admet une limite finie
quand ℎ tend vers 0.
Lien avec la continuité
Si f est dérivable en , alors elle est continue en .
ATTENTION : la réciproque n’est pas vérifiée.
Nombre dérivé à droite, nombre dérivé à gauche
( ) ( )
Si lim → existe et est finie, on dit que est dérivable
à droite en .
On note ( ) cette limite, appelée » nombre dérivé à droite »
en .
On définit de façon similaire le nombre dérivé à gauche ( ).
Théorème important :
est dérivable en si et seulement si ( ) et ( )
existent et sont égaux.
Interprétation graphique :
Propriété :
S’il existe, le nombre dérivé est le coefficient directeur
de la tangente à la courbe représentative de f au point
( ; ) ou encore au point d’abscisse = .
Si ( ) = 0, on a une tangente horizontale.
L’équation de la tangente ( ) au point d’abscisse à
( ) est : ( ): = ( )( − ) + ( )
Remarques :
Si ( ) = et ( ) = avec , ∈ ℝ ( ≠
) : on dit n’est pas dérivable en .
Interprétation : la courbe représentative de f
admet deux demi-tangentes de pentes respectives
respectivement à droite et à gauche de .
On dit que le point d’abscisse = est un point
anguleux.
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1 − ℝ∗
∗
( ∈ℕ )
√ 1 ℝ∗
2√
cos − sin ℝ
sin cos ℝ
. − .
√ ′
2√
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( ∈ ℕ∗ ) . .
1 − . ′
( ℎ)′( ) ℎ ( ). ′(ℎ( ))
cos( ) − . sin( )
sin( ) ′. cos( )
les primitives
définition :
soit f une définie sur un intervalle .
On appelle primitive de f toute fonction définie sur telle que
= .
Propriété :
Toute fonction définie et continue sur un intervalle
admet des primitives sur .
Soit une fonction définie et continue sur un
intervalle , une primitive de f sur I et ∈ ℝ.
La fonction définie sur I par ( ) = ( ) + est
encore une primitive de .
Parmi toutes les primitives d’une fonction sur un
intervalle I, il existe une et une seule prenant une
valeur donnée pour une valeur de la variable.
Formules sur les primitives
Primitives de fonctions usuelles
( ) ( )
0 , ∈ℝ
1 +
+
+
2
+
3
+
+1
1 −1
+
1 −1
+ , ≠1
( − 1)
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1 2√ +
√
cos sin +
sin −cos +
1 tan +
= 1 + (tan )
(cos )
cos( + ) 1
sin( + )+
sin( + ) 1
− cos( + )+
1 ln| | +
+
1
+
Opérations et compositions
F et G sont des primitives respectives de f et g ;
, sont 3 réels quelconques.
+ +
+
( + ) 1
( + )+
. cos sin +
. sin − cos +
′ −1
+
′ 2 +
.
+
+1
′ −1
+
( − 1)
′ ln| | +
. +
. [1 + (tan ) ] ou tan +
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↦ (− ) ; ↦ − ( ); ↦ (| |); ↦ | ( )|; ↦
( − ); ↦ ( ) + ↦ ( − ) + .
Connaissant la courbe ( ) de la fonction , on en déduit celle de :
↦ (− )en construisant le symétrie de ( ) par rapport à l’axe des
ordonnées.
C’est-à-dire , si on pose ℎ( ) = (− ) alors ( ) = ( )(( ))
↦ − ( )en construisant le symétrie de ( ) par rapport à l’axe des
abscisses.
C’est-à-dire , si on pose ( ) = − ( ) alors ( ) = ( ) (( )).
↦ (| |) . on définit ainsi respectivement , la partie ( ) tel que
resp. > 0 ; < 0. La courbe de la fonction : ↦ (| |)s’obtient en
faisant la réunion de et sa symétrie par rapport à l’axe des
ordonnées.
C’est-à-dire , si on pose ( ) = (| |) alors ( ) = ( ) (( )) ∪ .
↦ | ( )| . on définit ainsi respectivement , la partie ( ) tel que
resp. ( ) > 0 ; ( ) < 0. La courbe de la fonction : ↦
| ( )|s’obtient en faisant la réunion de et de la symétrie de par
rapport à l’axe des abscisses.
C’est-à-dire , si on pose ( ) = | ( )| alors ( ) = ( ) (( )) ∪ .
↦ ( − )en construisant l’image ( ) par la translation de vecteur
⃗ .
C’est-à-dire , si on pose ( ) = ( − ) alors ( ) = ⃗ (( )).
↦ ( ) + en construisant l’image ( ) par la translation de vecteur
⃗ .
C’est-à-dire , si on pose ( ) = ( ) + alors ( ) = ⃗ (( )).
↦ ( − ) + en construisant l’image ( ) par la translation de
vecteur ⃗ .
C’est-à-dire , si on pose ( ) = ( − ) + alors ( ) = ⃗ (( )).
Bijection (important)
Si est une fonction continue et strictement
monotone(croissante ou décroissante) de dans ( ) alors
réalise une bijection de dans ( ) et par suite l’équation
( ) = avec ∈ ( ) admet de façon unique une solution
unique dans .
Théorème des valeurs intermédiaires(utilisé pour encadrer ) :
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1
∀ ∈ ]0; +∞[, ( )=
est strictement croissante sur ]0; +∞[.
o Signe de ( )
∀ ∈ ]0; 1[, ln < 0
∀ ∈ ]1; +∞[, ln > 0
o Comme est continue sur ]0; +∞[(car dérivable) et
strictement monotone(car strictement croissante) sur
]0; +∞[, alors elle réalise une bijection sur ]0; +∞[ et par
suite ∀( ; ) ∈ (ℝ ∗ ) , ln = ln ⇔ = et
∀( ; ) ∈ (ℝ ∗ ) , ln ≤ ln ⇔ ≤ .
Propriété fondamentale:
Pour tous réels , dans ℝ ∗ :
ln( × ) = ln + ln
Autres propriétés :
∀( ; ) ∈ (ℝ ∗ ) ,on a :
1
ln = − ln
ln = ln − ln
ln = ln .
Le nombre
L’équation ln = 1 admet une solution unique dans ℝ ∗ , et cet
réel est noté et donné par ≅ 2,7182818 …
Ainsi ln = 1.
Limites
ln
lim ln = +∞ lim =0
→ →
lim → ln = −∞ lim → ln =0.
L’équation de la tangente au point d’abscisse 1 :
( ): = − 1
Dérivées
Soit une fonction.
Si est dérivable et strictement sur un intervalle ℝ, la
( )
fonction ln est dérivable sur et : (ln ( ))′ = .
( )
Observation :
( )
Si est une fonction dérivable et non nul, (ln| ( )|)′ = .
( )
Limites usuelles :
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ln
lim = 0 lim ln = 0 ( > 0)
→ →
( ) ( )
lim = 1 ; en général : lim = , ∈ ℝ∗ +.
→ →
Les primitives :
Si est une fonction dérivable et non nulle alors la fonction :
( )
↦ admet pour primitive toute fonction / ( ) =
( )
ln| ( )| + , ∈ ℝ.
Logarithme de base :
Définition :
On appelle logarithme de base , la fonction définie de ℝ ∗
dans ℝ, qui à tout , on associe log ù ∈ ℝ ∗ − {1} telle
que : log = .
Logarithme décimal :
Définition :
On appelle logarithme décimal, la fonction logarithme de base
10.
ln
log =
ln 10
log se note aussi log .
Fonction exponentielle de base :
Définition et conséquences
Définition
On appelle fonction exponentielle de base notée la
bijection réciproque de la fonction logarithme népérien.
Conséquences immédiates :
Comme la fonction est une bijection de ℝ ∗ dans ℝ,
alors la fonction est définie de ℝdans ℝ ∗ .
Ainsi :
exp ( )existe∀ ∈ ℝ
exp( ) > 0, ∀ ∈ ℝ
exp(0) = 1 ln 1 = 0
exp (1) = ln = 1
Représentation graphique , variations
Représentation graphique
La représentation graphique de la fonction est le symétrique
par rapport à la 1ère bissectrice des axes de coordonnées de la
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lim → = +∞
lim → =0
lim →
Exponentielle de base
Définition
On appelle fonction exponentielle de base , ∈ ℝ ∗ − {1}, la
bijection réciproque de la fonction logarithme de base notée
↦ .
Fonction puissance
Définition
On appelle fonction puissance toute fonction notée
ù ∈ ℝ ∗ définie par :
: ℝ ∗ → ℝ
↦
Croissances comparées ( → ; → ; → ln )
ln
lim =0
> 0, →
lim ln = 0
→
On dit que les fonctions puissances l’emportent (dominent) sur les
fonctions logarithmes népériens.
lim = +∞
> 0, →
lim =0
→
On dit que les fonctions exponentielles l’emportent sur les fonctions
puissances.
CALCUL INTEGRAL
Intégrale d’une fonction continue
Définition et notation
Soit une fonction continue sur un
intervalle , ( ; ) un couple d’élément de .
On appelle intégrale de entre et le
nombre réel ( ) − ( ) où est une
primitive de sur . Elle est notée :
∫ ( ) = [ ( )] = ( ) − ( ) , se lit
intégrale de à de ( )sur .
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Remarque :
- Dans la notation ∫ ( ) , peut être
remplacé par , , , , (toute
lettre).
On dit que est une variable muette.
sont des valeurs finies parlantes.
- On peut aussi définir une fonction
ℎ: →∫ ( ) ou est continue sur .
Donc ∀ ∈ , ℎ( ) = [ ( )] = ( ) −
( ) ù est une primitive de .
∀ ∈ , (ℎ( ))′ = ( ( ))′ − ( )
= ( )−0= ( )
Lien entre intégrale et primitive
Soit une fonction continue sur un intervalle et
∈ .
L’unique primitive de sur prenant la valeur
0 est la fonction définie par, ∀ ∈
, ( )=∫ ( ) .
Intégrale et Aire
Définition : l’aire d’un domaine
Soit une fonction continue et positive sur
un intervalle [ ; ]( < ).
Soit le domaine plan défini par :
≤ ≤
=
0≤ ≤ ( )
= { ( ; )/ ≤ ≤ 0 ≤ ≤ ( )}
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= | ( )| . = ( ) .
Remarque :
Si ( ) ≤ 0 sur [ ; ], | ( )| =
− ( ) [ ; ]
Si de plus est continue sur [ ; ] alors :
= −∫ ( )
. .
− Si est telle que ( ) = ( ) − ( ).
étant continue sur [ ; ]. la courbe de
et celle de .
≤ ≤
Soit = 0≤ ( )≤ ≤ ( )
= ∫ ( ( ) − ( )) . et
≤ ≤
=
0≤ ( )≤ ≤ ( )
= ∫ ( ( ) − ( )) . alors
= ∪ = +
Interprétation graphique de l’intégrale
Si est une fonction continue et positive sur
[ ; ]( < ) alors ∫ ( ) est interprété
dans le plan comme étant en unités d’aire
l’aire du domaine plan délimité par les
droites d’équations = ; = , la courbe
de et la droite d’équation = 0 (l’axe des
abscisses).
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Propriétés de l’intégrale
Soit deux fonctions continues sur un
intervalle [ ; ]( < )
:∫ ( ) = −∫ ( ) .
: ∀ ∈ ℝ, ( ) = ( )
: ∫ ( ( ) + ( )) =∫ ( ) +∫ ( ) .
traduisent la linéarité de l’intégrale.
Soit ∈ [ ; ], ∫ ( ) =∫ ( ) +
∫ ( )
C’est la relation de Chasles.
: si ∀ ∈ [ ; ], ( ) ≥ 0 ∫ ( ) ≥ 0.
:∀ ∈ ; , ( ) ≤ ( )
∫ ( ) ≤∫ ( ) .
Inégalité de la moyenne
Soit une fonction continue sur [ ; ]( < ). S’il existe
( ; ) ∈ ℝ tels que ≤ ( ) ≤ alors
( − )≤ ( ) ≤ ( − )
Autrement , − >0
≤ ∫ ( ) ≤ est appelé inégalité de la
moyenne. De même si | ( )| ≤ ( > 0) alors
( ) ≤ | − |
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( ) =0
( ). ′( )
= [ ( ). ( )] − ′( ). ( ) ∗
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- Si
( ) = ( ) = sin cos
( )= ( )
alors on pose
( )= ( )
- Si ( ) = ( ) =
( )= ( )
Alors on pose
( )= ( )
- Si ( ) = ( ) = ln alors on
pose
( )= ( )
( )= ( )
Pour la double intégration par parties, on
effectue l’intégration par parties de fois de
suite.
- Pour le cas sin cos , on
pose :
( )= ( ) = sin
( ) = sin ( )=
Volume de révolution
Volume de révolution
L’espace est muni d’un repère orthonormé ( , ⃗, ⃗, ⃗) .
une fonction dans le plan ( , ⃗, ⃗), on considère le
domaine = { ( ; )/ ≤ ≤ ; 0 ≤ ≤ ( )} défini
voir figure.
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EXERCICE 1:
Dans chacun des cas suivants :
a) Déterminer l’ensemble de définition de f.
b) Calculer les limites de f aux bornes de .
c) En déduire l’existence d’asymptotes à la courbe de f, parallèles aux axes des
coordonnées, et indiquer leurs équations.
1. ( )= 2. ( ) = 3. ( ) = 4. ( ) =
EXERCICE 2:
Soit les fonctions f et g définies respectivement par :
∀ ∈ ℝ − {2} ( ) = ∀ ∈ −∞ ; 2 ( ) = − 1
;
(2) = 4 ∀ ∈ [2; +∞[ ( ) = 2
Etudier la continuité de f et g en 2.
EXERCICE 3:
Etudier la dérivabilité f en a dans chacun des cas suivants :
a. ( ) = + 1 = 1
b. ( ) = | | = 0
( ) = 2 + 1 ≤ 0
c. =0
( )= + 1 ≥ 0
d. √ − 2 = 2
EXERCICE 4:
( )= − 1, ≤ 1
Soit la fonction définie par :
( )= , >1
1. Démontrer que f est continue en 1.
2. Etudier la dérivabilité de f en 1.
3. Interpréter graphiquement le résultat.
EXERCICE 5:
On considère la fonction définie par ( ) =
1) Déterminer l’ensemble de définition de la fonction .
2) Montrer que le point Ω (2 ; 3) est un centre de symétrie pour la courbe
représentative de .
3) Justifier que la droite (D) d’équation = + 1 est asymptote oblique à la
courbe de à l’infini.
Problèmes :
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PROBLEME 1 :
1. On considère la fonction numérique f définie par : ( ) = − +1+
√ +1
On désigne par ( ) la représentation graphique de f dans le plan muni d’un
repère orthonormé (O, I, J).
a. Calculer les limites de f en +∞ − ∞ .
b. Etudier le sens de variation de f et dresser son tableau de variation.
2. Montrer que les droites (D) et (D’) d’équations respectives = 1 = − +
1 sont asymptotes à ( ).
3. Construire ( ).
4. a. Montrer que f est une bijection de □ sur un ensemble K que l’on précisera.
b. Donner les caractéristiques de la bijection réciproque de f.
c. Calculer (0) et en déduire ( )( )
d. Représenter graphiquement
PROBLEME 2 :
Soit la fonction définie de ℝ vers [0; +∞[ par : ( ) =
1. Trouver l’intervalle tel que : = ([0; +∞[).
2. Montrer que est une bijection de[0; +∞[ .
3. a. Étudier le sens de variation de et dresser son tableau de variation.
b. Représenter graphiquement ( ) la courbe de dans le plan muni
d’un repère orthonormé.
4. sans expliciter l’application réciproque
a. Représenter graphiquement ( ) la courbe de .
b. Calculer ( )( ) .
PROBLEME 3 :
Soit h la fonction définie de ℝ dans ℝ parℎ( ) = | |
. Soit (C) sa courbe
représentative dans un repère orthonormé (o ;⃗ ; ⃗).
1) Déterminer le domaine de définition de h.
2) Ecrire h(x) sans le symbole de la valeur absolue.
3) Calculer les limites aux bornes du domaine de définition de h.
4) Etudier la dérivabilité de h en 0 et en -1.
5) a)Montrer que la droite (D1) d’équation y=x est asymptote à (C) en+∞.
Etudier la position de (D1) par rapport à (C).
b) Montrer que la droite (D2) d’équation y=-x-2 est asymptote à (C) en -∞.
Etudier la position de (C) par rapport à (D2).
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PROBLEME 7 :
A. soit g la fonction définie ℝ par ( ) = −1 .
√
1. Calculer les limites de aux bornes de son ensemble de définition.
2. Etudier les variations de sur ℝ, puis dresser son tableau de variation.
3. Montrer que ∀ ∈ ℝ, ( ) < 0.
B. On considère la fonction définie sur ℝ par ( ) = − + 1 + √ + 1. (C)
sa courbe représentative dans le repère orthonormé (O, I, J) unité 2 cm.
1. Calculer lim → ( ) (interpréter le résultat) et lim → ( ).
2. Montrer que ∀ ∈ ℝ, ( ) = ( ).
3. Déterminer le sens de variation de f puis dresser son tableau de
variation.
4. a)Montrer que (C) admet une asymptote oblique (D) : = − + 1à −∞.
b)Etudier les positions relatives de (C) par rapport à (D).
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Tapez une équation ici.
Fonctions trigonométriques
EXERCICE 1 :
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Tapez une équation ici.
Page 42
Tapez une équation ici.
EXERCICE 7
Page 43
Tapez une équation ici.
Exercice 1 :
1. Déterminer des primitives sur ℝ des fonctions suivantes :
: ↦0; : ↦ ; ℎ: ↦ −3 ; : ↦ 8 − 2 ; : ↦ −7
2. Déterminer toutes les primitives sur ]0 ; +∞[ de chacune des fonctions
suivantes: : ↦ + ; : ↦ − √2 ;ℎ: ↦
√
3. Déterminer deux primitives sur ]0 ; +∞[ de la fonction :
3 +2 +1
: ↦
Déterminer deux primitives sur ℝ de : ↦ 5(4 − 1) et deux primitives
sur ]1; +∞[de : ↦ .
( )
h. ( ) = i. ( ) = j. ( ) = k. ( ) = √3 − 2
( ) ( )
l. ( ) = ( − 1)√ − 2 − 3 o. ( ) = ( − 1) p. ( ) = √
q. ( ) = r. ( ) = s. ( ) = ( ) t. ( ) = ( )
√ ( )
Exercice 2 :
Déterminer la primitive de la fonction vérifiant la condition indiquée :
1. ( ) = − − 1 = ℝ (0) = 7
2. ( ) = − = ]0; +∞[ (1) = 0
√
3. ( ) = (2 − 3)( − 3 − 6) = ℝ (−1) = 9
4. ( )= = ℝ √2 = −2
( )
5. ( )= − − 1 = ℝ (0) = 7
6. ( )= = ]−∞; 3[ (0) = 0
( )
7. ( )= = ]−∞; 1[ (0) = √5
√
8. ( ) = sin(3 + ) = ℝ ( ) =
9. ( ) = sin ( ) = ℝ ( ) = 0
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Tapez une équation ici.
10. ( ) = = 0; ( ) = 7
( )
Exercice8
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Tapez une équation ici.
a. ( )= ; . ( ) = ; . ( ) =
√ ( )√ ( )
Exercice9
Exercice12
m. ∫ . n. ∫ . p.∫ 2 − . q.∫
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Tapez une équation ici.
Exercice 3
Soit ( ) = sin
1. Calculer ′( )
2. En déduire valeurs de :
a. = ∫ (sin + cos )
b. = ∫ ( cos )
Exercice 4
Calculer les intégrales suivantes à l’aide d’une intégration par parties :
a.∫ sin b. ∫ cos c.∫ ln d.∫ ln e.∫
f.∫ (2 + 1) g. ∫ ( + 1) ln h.∫ i.∫ √1 −
j.∫
√
Exercice 5
Calculer les intégrales suivantes à l’aide d’une de deux intégrations par parties :
a.∫ sin b.∫ ( + 1) c.∫ sin d.∫ sin
e. ∫ sin f.∫ ( + 1) g.∫ √1 −
Exercice 6
1. Soit l’intégrale =∫ cos 2
A l’aide de deux intégrations par parties, montrer que : =
2. Soit = ∫ et = ∫ .
a. Calculer + −
b. En déduire les valeurs de .
Exercice 7
L’objectif de cet exercice est de calculer les intégrales suivantes :
1
= ; = = + 2
√ +2 √ +2
1. Calculer .
Soit la fonction définie sur [0; 1] par ( ) = ln( + √ + 2)
a. Calculer la dérivée de la fonction → √ + 2
b. En déduire la dérivée ′ de f.
c. Calculer la valeur de .
2. Calcule de et de .
a. Vérifier que : 2 + = .
b. A l’aide d’une intégration par parties portant sur l’intégrale ,
démontrer que : = √3 −
c. En déduire les valeurs de et de .
Exercice 8 :
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Tapez une équation ici.
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Tapez une équation ici.
+ = 25 ln +3ln =1 − = 700
1. 2. 3.
ln + ln = 2ln 12 3ln −2ln = ln −ln = 2ln
EXERCICE 5 :
a. Exprimer plus simplement possible les expressions suivantes :
A= ; = 3 ln(ln ) + C=( + 1). ( − 1) ; = ×
; =
b. Vérifier les égalités suivantes :
A. ( ) − = 1 ; . =
c. Factoriser et simplifier les expressions suivantes : =
; =
×
d. Démontrer pour tout réel , les relations suivantes :
ln( + ) = + ln(1 + ) ; + ln(1 + ) = ln( + 1) ;
− 1 − 1−
− = ; =
+ 1+
. Calculer les limites suivantes :
lim (
→
− −1
− ) ; lim ; lim ; lim ; lim ; lim
→ −1 → −1 → 3 +2 → →
lim ; lim ; lim − ; lim −
→ → → →
( + 1)
lim ; lim ; lim ; lim ;
→ → +1 → →
EXERCICE 6
1. Déterminer puis ′( ) dans chacun des cas suivants :
( )=( +5 ) ; ( ) = ln ; ( ) = ; ( ) =; ( ) = sin .
−
( )= . ; ( )= √ ; ( ) = ; ( ) = ln( ) ; ( ) = −
2. Déterminer sur ]0; +∞[ , une primitive de :
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Tapez une équation ici.
( )=3 ; ( ) = sin . ; ( ) = + + 1 ; ( ) = ; ( )
1+
+2
=
1+
EXERCICE 7
Résoudre dans ℝ chacune des équations et inéquations suivantes :
= ; = ; = ; = 3; = −5 ; − =0
| | | |
= 5 ; = 4 ; ≤ ; > ; ≤ 0; ≥
Problèmes
Problème 1
Partie A
Soit la fonction définie sur ℝ par : ( ) = ( − 1) − 1 + ln| − 1|
1. Déterminer .
2. Etudier le sens de variation de et dresser son tableau de variation.
3. Calculer (0) (2) et en déduire le signe de ( )∀ ∈ .
Partie B
| |
Soit la fonction définie sur ℝ par : ( ) = − de courbe (C) dans
un repère orthonormé ( , , ).(unité :1,5 cm).
1. a. Déterminer et calculer les limites à gauche et à droite de 1 de .
Interpréter graphiquement les résultats.
b. Ecrire ( ) sans le symbole de la valeur absolue.
c. Déterminer les limites de en −∞ + ∞.
( )
2. a. Démontrer que ∀ ∈ , ( ) =
( )
b. En déduire le sens de variation de et dresser son tableau de
variation.
3. a. Justifier que la droite (D) d’équation = est asymptote à (C).
b. Etudier la position relative de (C) par rapport à (D).
c. Démontrer que A(1 ;1) est un centre de symétrie de (C).
4. Construire (C) et (D).
Problème 2:
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Tapez une équation ici.
Partie A
Soit la fonction définie par : ( ) = ln −
1. Déterminer .
2. Calculer les limites aux bornes de .
3. a. Calculer ′( ) et justifier que ∀ ∈ , ( )=
( )
b. Etudier le sens de variation de et dresser son tableau de
variation.
4. a. Démontrer que l’équation ( ) = 0 admet une unique
solution dans ]−2; 0[ et que −0,44 < < −0,43.
b. Déterminer que :
∀ ∈ ]−2; [, ( ) < 0 ; ∀ ∈ ] ; 0[ ∪ ]0; +∞[, ( ) > 0.
Partie B
Soit la fonction sur ]−2; +∞[ de représentation (C)
( )= ln ≠ 0
Par :
(0) = 0
1. a. Démontrer que ∀ ∈ ]−2; +∞[ − {0}, ( ) = ln| + 2| − ln| | , en
déduire que est continue en 0.
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Tapez une équation ici.
PARTIE A:
Soit la fonction numérique dérivable sur ]0; +∞[ et définie par :
( )=− + ln .
1. –
a. Calculer lim → ( )
b. Calculer lim → ( ).
2. –
a. Démontrer que ∀ ∈ ]0; +∞[, ( ) =
b. En déduire le sens de variation de .
c. Dresser le tableau de variation de .
3. –
a. Démontrer que ∀ ∈ ]0; +∞[, l’équation ( ) = 0, admet une
solution unique .
b. Justifier que 2,55 < < 2,56.
∀ ∈ ]0; [, ( ) < 0
c. Démontrer que
∀ ∈ ] ; +∞[, ( ) > 0
PARTIE B:
On considère la fonction dérivable sur ]0; +∞[ é : ( )=( −
ln ) .
On note (C) la courbe représentative de dans le plan muni d’un repère
orthonormal (O, I, J).
(unité : OI= 2 cm et OJ= 10 cm).
1. –
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Tapez une équation ici.
Partie A
Soit la fonction définie par ( ) = − | | + 1 − ln| |.
1a) Déterminer .
b) Etudier le sens de variation de et dresser son tableau de variation. On ne
demande pas de déterminer les limites aux bornes de .
2a) Déterminer le signe de ( ) sur ] − ∞; 0[
b) Calculer (1)
c) Déterminer le signe de ( ) ]0; +∞[
Partie B
| |
Soit la fonction définie de ℝ∗ vers ℝ par ( ) = −| | + . Soit ( ) sa
courbe représentative dans un repère orthonormé ( , , ). Unité 1 cm
1.a) en utilisant les résultats de la partie A, étudier le sens de variation de .
b) Calculer les limites de aux bornes de son ensemble de définition.
c) Dresser le tableau de variation de .
2) Déterminer le signe de ( )sur ]0; +∞[.
Page 53
Tapez une équation ici.
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Tapez une équation ici.
( )
5) montrer que pour tout ∈ ℝ − {0; 1}, ( )=
( )
6)a) déterminer le signe de ′( ) et le sens de variation de .
b) Dresser le tableau de variation de .
Partie C
1) Soit ( ) la droite d’équation = − 1. Montrer que cette droite est
asymptote à ( ) − ∞ + ∞.
2) Calculer (−2); − ( ).
3) Construire ( ) et la courbe ( ). On prendra = 1,3.
Partie D
Soit ℎ la fonction définie sur ]1; +∞[ ℎ( ) = ( − 1) ln( − 1) − ln .
1) Calculer ℎ′( )
2) En déduire une primitive ]1; +∞[
3) Déterminer la primitive ]1; +∞[ qui s’annule en 2.
Problème 7
Page 55
Tapez une équation ici.
Partie A
( )
On considère la fonction définie par : ( ) = ( )
.On
désigne par (C) sa représentation graphique dans le plan
muni d’un repère orthonormé (O, I, J).
1. –
a. Déterminer l’ensemble de définition de .
b. Calculer les limites de aux bornes de .
Interpréter les résultats graphiquement si possible.
c. On suppose que est dérivable sur , calculer la
fonction dérivée ′( ).
Etudier les variations de et dresser son tableau de
variation.
∀ ∈ ]−∞; 1[, ( ) < 0
d. En déduire que :
∀ ∈ ]1; +∞[, ( ) > 0
2. –
a. Démontrer que le point Ω(1 ;1) est un centre de
symétrie de (C).
Page 56
Tapez une équation ici.
Page 57
Tapez une équation ici.
On désigne par (C) la courbe représentative de dans le plan muni d’un repère
orthonormé (O, I, J).(unités : 2cm sur l’axe des abscisses et 5cm sur l’axe des
ordonnées).
Partie A
Soit la fonction dérivable et défini sur ℝ par : ( ) = − ln(1 + )
1. Etudier les limites de − ∞ + ∞.
2. Etudier le sens de variation de , puis dresser son tableau de variation.
3. a.Montrer que est une bijection de ℝ sur un intervalle K que l’on
déterminera.
b.En déduire le signe de ( ).
Partie B
1.a. Calculer la limite de en −∞.
b. Donner une interprétation graphique du résultat.
( )
2.a. Montrer ∀ ∈ ℝ, a : ( ) = (1 + )
b. En déduire le calcul de la limite de en +∞. Donner une interprétation
graphique du résultat.
3. a. Montrer que ∀ ∈ ℝ, on a ( ) = ( ).
b. En déduire le sens de variation de , puis dresser son tableau de variation.
4. Construire la courbe (C) dans le repère (O, I, J).
Partie C
Soit la fonction ℎ dérivable et définie sur ℝ par : ℎ( ) =
1.a. Déterminer les nombres réels tels que ℎ( ) = +
b. En déduire une primitive ℎ ℝ.
2. Calculer à l’aide d’une intégration par parties, l’intégral. ∫ ln(1 + )
3. Calculer l’aire A en de la partie du plan limité par la courbe (C), l’axe des
abscisses et les droites d’équation = 0 = ln 2.
Problème 10
Page 58
Tapez une équation ici.
Page 59
Tapez une équation ici.
Exercice 1
7. ( ) = sin 8. ( ) = . cos 9. ( ) = .
Exercice 2
Page 60
Tapez une équation ici.
m. ∫ . n. ∫ . p.∫ 2 − . q.∫
Exercice 3ok
Soit ( ) = sin
3. Calculer ′( )
4. En déduire valeurs de :
c. = ∫ (sin + cos )
d. = ∫ ( cos )
Exercice 4ok
Exercice 5ok
Calculer les intégrales suivantes à l’aide d’une de deux intégrations par parties :
Exercice 6ok
Exercice 7ok
Page 61
Tapez une équation ici.
1
= ; = = + 2
√ +2 √ +2
3. Calculer .
Soit la fonction définie sur [0; 1] par ( ) = ln( + √ + 2)
d. Calculer la dérivée de la fonction → √ + 2
e. En déduire la dérivée ′ de f.
f. Calculer la valeur de .
4. Calcule de et de .
d. Vérifier que : 2 + = .
e. A l’aide d’une intégration par parties portant sur l’intégrale ,
démontrer que : = √3 −
f. En déduire les valeurs de et de .
Exercice 8 :ok
1. Vérifier que ∀ ∈ 0; , ( )= −2 .
( ) ( )
2. En déduire la primitive de 0; qui s’annule en 0.
Exercice 10:
1. Calculer ( ) ( ), ∀ ∈ ℝ.
2. Trouver les deux réels tels que ∀ ∈ ℝ, ( )= ( )+ ′( ) .
3. En déduire une primitive de sur ℝ.
Exercice 11 :
K= 2(sin ) (cos )
Page 62
Tapez une équation ici.
1. Calculer − + +
2. a. Exprimer cos 4 en fonction de cos sin .
b. En déduire la valeur de + − 3 , puis celle de , .
Exercice 12 :
Exercice 14 :
On pose = ∫ , =∫ = +
1. Calculer .
2. En déduire .
Exercice 15 :
1.
b. Calculer = ∫
( )
Page 63
Tapez une équation ici.
Exercice 16 :
Exercice 17
4) On pose = ∫ =∫
Calculer I+J et I-J puis déduire I et J
Exercice 18
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Tapez une équation ici.
Exercice 19(OK)
Soit = ∫
Page 65
Tapez une équation ici.
Exercice 24
Exercice 25
Exercice 26
Exercice 27
Page 66
Tapez une équation ici.
Exercice 30ok
Exercice 32
On pose = ∫ , =∫ , =∫ cos 2 .
1) Calculer + .
2) A l’aide d’une intégration par parties, démontrer que = .
3) En déduire la valeur de − .
4) Calculer et .
Exercice 33
Page 67
Tapez une équation ici.
∫ cos
1) Calculer .
2) On suppose ≥ 1
a) En intégrant par parties , puis , montrer que :
+ =1
− + =
b) En déduire les expressions de et en fonction de .
3) Déterminer lim → et lim → .
Exercice 34
2. A.Montrer que + =
b.montrer que − = 0
c.En déduire les intégrales et .
( )
B) On pose pour tout entier naturel ; = ∫ sin
1. A)A l’aide d’une intégration par parties calculer .
b)Montrer que ( ) est une suite géométrique dont on déterminera le
premier terme et la raison.
2. A.Calculer = ∫ sin
b.Calculerlim → .
EQUATIONS DIFFERENTIELLES
Equation différentielle linéaires et homogènes
Définition
Page 68
Tapez une équation ici.
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Tapez une équation ici.
caractéristique de ( ) est : + + =
0.
Th2 :
Soit ( ): + + = 0 une équation
nde
différentielle linéaire du 2 ordre. Si les
fonctions : ↦ ( ) ↦ ( ) sont
solutions de ( ), alors la fonction
: ↦ ( )+ ( ), ( , ) ∈ ℝ est
aussi solution de ( ).
La réciproque est aussi vraie.
Méthode de résolution des . . . du 2nde
ordre
− Théorème 3
Soit ( ): + + = 0 une
équation différentielle linéaire du 2nde
ordre.
( ): + + = 0est son
équation caractéristique.
Soit ( ) = + +
= −4
Si > 0, l’équation
caractéristique ( )
admet deux solutions
réels distinctes et
la solution générale de
( ) est donnée par :
( )= + ,
( , )∈ℝ .
Si = 0, ( ) admet
une solution double réel
et la solution générale
de ( ) est donnée par :
( )=( + ) ,
( , )∈ℝ .
Si < 0( ) admet
deux solutions
complexes conjuguées :
Page 70
Tapez une équation ici.
= +
= −
Et la solution générale de
de ( ) est donnée par :
( )
= ( cos( )
+ sin( ))
( , )∈ℝ .
Equations différentielles du 2nde ordre aux
conditions initiales
Th :
l’équation différentielle du 2nde ordre du
type ( ≠ 0) aux conditions initiales :
+ + =0
( )=
( )=
admet une solution unique.
− Application
+2 −3 = 0
(0) = −1
(0) = 7
Page 71
Tapez une équation ici.
On aura :
( )=√ + ( cos( )+
√
sin( )). On vérifie que :
√
( ) +( ) = 1 . donc il existe
√ √
cos =
√
∈ ℝ, tel que :
sin =
√
( ) = (cos cos( ) + sin sin( ))
D’où : ( ) = cos(ω − ).
Exercice 6
On considère l’équation différentielle : 9 + 4 = 4√3 (E).
1. Résoudre l’équation différentielle sans second membre (E’) : 9 + 4 = 0.
2. Déterminer la fonction constante solution particulière de (E).
3. Montrer que est solution de (E) si et seulement si − est solution de (E’).
4. En déduire les solutions de l’équation différentielle (E). donner parmi ces
solutions la fonction ℎ telle que : ℎ = ℎ = .
Page 73
Tapez une équation ici.
Exercice 10
1. Donner la solution générale de l’équation différentielle : + 2 = 0.
2. On a constaté qu’après une injection intraveineuse de glucose, la glycémie
décroît à partir d’un certain instant choisi comme origine des temps selon la loi :
+ 2 = 0 où désigne la fonction glucémique dépendant du temps et de
une constante positive appelée coefficient d’assimilation glucidique.
a. Déterminer la fonction telle que à l’instant = 0, (0) = 2.
b. Sachant qu’à l’instant , ( ) = , exprimer en fonction de , étant le
taux de glycémie à l’instant .
c. La valeur moyenne de chez un sujet normal varie de 1,06. 10 à 2,42. 10 .
Sachant qu’à l’instant = 30, le taux de glycémie de Samuel est de 1,20 et
celui de Bintou est de 0,22 préciser si les résultats sur les deux sujets sont
normaux ou non.
Exercice 11
Un bloc de céramique est posé dans un four, dont la température constante de
1000° .
La température du bloc est une fonction du temps (en heures) qui vérifie
l’équation différentielle : ( ) = (1000 − ( )) (E).
1. On pose = − 1000. Ecrire une équation différentielle (F) satisfaite par .
Résoudre (F), puis (E).
2. Le bloc initialement à 40° est déposé dans le four au temps = 0. Si la
température du bloc au temps = 1est 160° . Calculer sa température au
temps = 3.
Exercice 15
on considère l’équation différentielle : (EL) : +2 + = 0 ù ∈ ℝ.
1. Déterminer la solution de l’équation (E0) vérifiant
(0) = −1 (0) = √3.
2. Soit la fonction de la variable réelle définie sur l’intervalle [− ; ] par :
( ) = √3 sin − cos .
. Etudier les variations de et construire sa courbe représentative (C) dans le
plan muni d’un repère orthonormé ( , ⃗, ⃗)(unité 2 cm).
Page 74
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SUITES NUMERIQUES
Rappels
Définition
On appelle suite toute fonction
: ⊆ℕ→ℝ
↦ ( )
=
C’est donc une application d’une partie de ℕ
dans ℝ. Sauf précision contraire est infinies. La
suite est notée ( ) ou encore ( ) ∈ , ⊆ ℕ.
Le terme général est noté .
Suites explicites, suites récurrentes
Suite explicite
On appelle suite explicite toute suite
entièrement définie par la donnée d’une
fonction et de la relation : = ( )
Exemple : = + 3 + 1avec
( )= + 3 + 1.
Suite récurrente
On appelle suite récurrente toute suite
définie par la donnée de la relation :
= ( ) où fixée et d’un de ces 1er
terme.
Observation : le terme d’un rang donné
d’une suite récurrente dépend de celui qui le
précède.
Suites particulières
Suite géométrique
Définition :
On dit qu’une suite ( ) ∈ , ⊆ ℕ
est géométrique si ∀ ∈ , + 1 ∈
= où est une
constante réelle appelée raison de la
suite ( ) ∈ .
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Terme général :
( ) ∈ℕ est une suite géométrique de
1er terme et de raison signifie
que ∀ ∈ ℕ, = . Ainsi
=
=
…
=
En multipliant membre à membre et
après simplification, on obtient :
= appelé terme général de
la suite ( ). En général pour tout
∈ ℕ/ 0 ≤ < , on a : =
.
Conséquences :
1) Si ; sont trois termes
consécutifs d’une suite
géométrique alors : = .
2) Si ( ) est géométrique alors
∀ ≥ 1, ( ) = × .
Somme des termes consécutifs d’une
suite géométrique
Soit ( ) une suite géométrique de
raison et de 1er terme (0 ≤ <
)
= + + ⋯+ =∑ .
− Si ≠ 1, alors =
( )
où ( − + 1)
est le nombre de terme de la
somme et le 1er terme de la
somme.
− Si = 1, alors
= ( − + 1) .
Sens de variation
Soit ( ) une suite géométrique de
raison et 1erterme (0 ≤
< ).
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− Si >0
1) Si > 1 alors ( ) est
croissante.
2) Si = 1 alors ( ) est
constante.
3) Si 0 < < 1 alors ( ) est
décroissante.
4) Si < 0 alors on ne peut
rien dire.
− Si <0
1) Si > 1 alors ( ) est
décroissante.
2) Si = 1 alors ( ) est
constante.
3) Si 0 < < 1 alors ( ) est
croissante.
4) Si < 0, on ne peut rien
dire.
Convergence
Soit ( ) une suite géométrique de
raison et 1erterme (0 ≤
< ).
− Si −1 < < 1 c’est-à-dire
| | < 1, alors la suite converge
vers 0.
− Si < −1ou > 1, c’est-à-
dire | | > 1 alors la suite
diverge.
− Si = 1, alors la suite
converge.
− Si = −1, alors la suite
diverge.
Suite arithmétique
Définition
On dit qu’une suite ( ) ∈ , ⊆ ℕ
est arithmétique si ∀ ∈ , + 1 ∈
= + où est une
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Si ≤ 1 alors ( ) ∈ est
décroissante(strictement
décroissante si < 1 ).
− Suite périodique
Soit ( ) ∈ une suite. ( ) est
périodique de période ∈ ℕ∗ signifie
que ∀ ∈ , ( + ) ∈ et
∀ ∈ , = (1) où est le
plus petit entier naturel non nul
vérifiant (1). Si ( ) est périodique
de période alors elle est périodique
de période , ∈ ℕ∗
− Suites majorées, suites minorées
Une suite ( ) ∈ est dite majorée
(resp. minorée) s’il existe ∈
ℝ ( . ∈ ℝ) tels que ∀ ∈
, ≤ ( . ≥ ).
Observation :
1) Toute suite majorée et
minorée est dite bornée.
2) Toute suite croissante et
majorée (resp. décroissante
et minorée) est
convergente.
Enoncés admis sur les limites
Comparaison
Soit ( ), ( ) ( ) trois suites.
1) Si à partir d’un certain rang, ≤ et
lim → = +∞alors,
lim → = +∞. (Enoncé analogue, si
lim → = −∞alors lim → =
−∞ ).
2) Si à partir d’un certain rang, | − | ≤
et
lim → =
0 lim → = .
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Travaux Pratiques
TP1
Soit / ( ) = + 1 et la suite ( )
=1
définie par :
= ( ), ∀ ≥ 0
1) Représenter ≥ 0 .
2) Représenter les trois premiers termes de
( ) sur l’axe des abscisses.
TP2
on pose ( ) = , ∀ ∈ ℕ, =
( ) = 1.
1) Etudier et représenter graphiquement
pour > 0.
2) Représenter les quatre premiers termes
de ( ) sur l’axe des abscisses.
3) a)Montrer que ∀ ∈ = ;3 ,
| ′( )| ≤
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Tapez une équation ici.
b)Montrer que ∀ ∈ , ( ) ∈ et en
déduire que ∀ ∈ ℕ∗ , ∈ .
4) a) Montrer que l’équation ( )=
admet une solution unique ∈ .
Déterminer .
b)Montrer que : ∀ ∈ ℕ∗ , | − |≤
| − | et en déduire que | − |≤
() | − | et que ( ) converge
vers α. c) A partir de quelle valeur de
a-t-on| − | ≤ 10 .
Exercice 1 :
Etudier la convergence de la suite ( ) définie par :
1. = ; 2. = −4 + 5 ; 3. = + 16
Exercice 2 :
Soit la suite ( ) définie par : = 0et =2+ .
1. Démontrer par récurrence que, pour tout , ≥ 2, on a : 2 < < 4.
2. Prouver que la suite ( ) est strictement croissante.
3. En déduire que ( ) est convergente.
Exercice 3 :
Soit la suite ( ) définie par : = 0et =1+ .
1. Représenter graphiquement sur la droite (OI) les 6 premiers termes de la
suite( ).
2. Démontrer que pour tout entier , ( ) est bornée.
3. Démontrer que la suite ( ) est croissante.
4. En déduire que ( ) est convergente.
Exercice 4 :
( )
Soit la suite ( ) définie sur ℕ∗ par = .
( )
1. Démontrer que, pour tout entier naturel , on a : 0 < ≤ 1.
2. Etudier le sens de variation de la suite( ).
3. En déduire que ( ) est convergente
4. Déterminer lim →
Exercice 5 :
Soit la suite arithmétique ( ) telle que = 13 = 25.
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Tapez une équation ici.
=0
On considère la suite ( ) définie par : =
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Tapez une équation ici.
Exercice 10 :
Soit ( ) la suite définie par : = et =( ) pour ≥ 1.
1. Calculer ; ; ;
2. Montrer que la suite de terme général = est géométrique.
3. En déduire les expressions des suites et en fonction de n.
Exercice 12 :
Soient ( )et ( ) deux suites numériques définies par :
= 12 =1
+2 +3
∀ ≥ 1, = ∀ ≥ 1, =
3 4
1. ∀ ≥ 1, on pose = − .
a. Démontrer que ( ) est une suite géométrique.
b. Exprimer en fonction de n.
c. Démontrer que ( ) est convergente et déterminer sa limite.
2. Démontrer que la suite ( ) est décroissante et que la suite ( ) est
croissante.
3. Démontrer que ∀ ≥ 1, on a : ≤ ; en déduire que ≥ ≥ ≥ .
4. Déduire que les suites ( )et ( ) convergent vers la même limite.
5. ∀ ≥ 1, on pose = 3 + 8 .
a. Démontrer que ( ) est une suite stationnaire.
b. en déduire la valeur de la limite commune des suites ( )et ( ).
Exercice 13 :
Soit la suite ( ) définie sur ℕ∗ par : = 0 = − .
∗
On considère la suite ( ) définie sur ℕ par : = − (1)
1. Exprimer en fonction de n.
2. En déduire la somme = + +⋯+ .
3. a. Utiliser (1) pour trouver une autre expression de .
b. En déduire une expression de en fonction de n.
4. Calculer lim → .
Exercice 14 :
On considère la suite numérique U définie par : = 7 ∀ ∈ ℕ, =
1. calculer ;
2. soit V la suite numérique définie par : ∀ ∈ ℕ, = − 2.
a. Démontrer que V est géométrique. Préciser la raison et le premier terme.
b. Exprimer en fonction de n.
c. En déduire que = 5( ) + 2
d. Quelle est la limite de la suite U ?
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Tapez une équation ici.
Exercice 17 :
On considère l’application f de ℂ dans ℂ qui à tout complexe associe le
complexe ′ tel que : ( ) = = .
√
On pose = 1; = ( ); = ( ) et de façon générale, pour tout entier
naturel n, = ( ).
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Tapez une équation ici.
Exercice 18 :
On définit ∀ ∈ ℕ, > 0 la suite ( ) de nombres réels strictement positifs par :
= .
1. ∀ > 0, on pose : = .
b. Montrer que ≥ 5, ≤ [1 + + + ⋯+ ( ) ]
c. En déduire que ≥ 5, ≤ 4 .
3. Montrer que ( ) est croissante et en déduire qu’elle converge.
Exercice 19
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Tapez une équation ici.
a) Prouver que cette suite est géométrique. Préciser sa raison et son premier
terme
b) Exprimer , puis en fonction de n.
c) Calculer lim → et lim →
Exercice 20 : On définit la suite ( ), ∈ ℕ par : = 1 et la relation
1
=
2 ∈ ℕ
=1+
1. Calculer
2. Soit les ( ) et ( ) définies par les relations :
=2− = 1 − ; ∈ ℕ
a. Montrer que les suites ( ) et ( ) sont deux suites géométriques de
raison .
b. Exprimer et en fonction de . La suite ( ) est-elle
convergente ?
3. On donne =∑ ; ′ =∑ et ′′ = ∑ .
Déterminer , ′ et ′′ en fonction de .
Exercice 21: Soit pour tout entier naturel ∈ ℕ∗ , la somme = sin + sin +
( )
⋯ + sin .
1. Posons = cos + sin
a. Donner une expression simple de la somme : = 1 + + +⋯+ .
b. Calculer la partie réelle et la partie imaginaire de .
c. En déduire l’expression de en fonction de .
2. Quelle est la limite de la suite ( ) ∈ ℕ∗ ?
Exercice 22 : Soit une suite géométrique à termes positifs de premier terme
telle que :
= 729 .
. = 72
1. Déterminer la raison et le premier terme .
2. Calculer =∑ et étudier lim → .
3. Déterminer le plus petit entier ∶ − ≤ 10
4. On pose = ∏ = × × …× .
a. Soit = ln( ). Calculer , , . Quelle est la nature de la suite ( ).
b. Calculer ′ = ∑ . En déduire et lim → .
Exercice 23 :
Soit une suite numérique définie par : = 2et ∀ ∈ ℕ, = .
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STATISTIQUES A DEUX
VARIABLES
1. Tableau d’effectifs
Exemple
On relève la taille et le poids de chacun des 20 élèves d’un établissement et on note
chaque relevé
sous la forme ( ; )où et représentent respectivement la taille et le poids du
ième élève. On obtient la liste suivante :
(162; 55) ; (159; 58) ; (178; 74) ; (166; 62)
(158; 56) ; (163; 61) ; (171; 66) ; (178; 79)
(168; 64) ; (168; 62) ; (156; 58) ; (161; 68)
(172; 66) ; (166; 63) ; (185; 84) ; (179; 73)
(166; 64) ; (177; 72) ; (166; 63) ; (166; 62).
Ce relevé constitue une série statistique quantitative double c’est-à-dire d’une série
statistique à deux caractères quantitatifs qui sont la taille et le poids.
Si on note la variable "taille" et la variable de "poids".
Les réels ( ) des couples ( ; )sont les valeurs de la variable ( ).
Remarque : Si les valeurs sont trop nombreuses, on peut les regrouper en classe de
taille et de poids comme ceci :
Ce tableau est un tableau d’effectifs de la série dont les valeurs sont regroupées en
classe. A
partir de ce tableau on peut obtenir un tableau d’effectifs d’une série à une variable à
caractère quantitatif(taille ou poids). Une telle suite extraite s’appelle une
distribution marginale. Les effectifs correspondants s’appellent les effectifs
marginaux.
2. nuage de points, point moyen
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EXERCICE 1 :
Lors d’un déménagement de cette mairie, les registres de naissances des années
1990 et 1996 ont été égarés, de sorte que le nombre de naissances de ces années
reste introuvable.
Mais un stagiaire qui y était affecté avant la perte des documents avait permis
d’obtenir par la méthode de Mayer par regroupement des trois premiers points et
des trois derniers points du nuage, la droite d’ajustement de d’équation :
= −22 + 397.
EXERCICE 2 :
le tableau suivant donne les résultats d’une étude réalisée sur un produit ;
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Tapez une équation ici.
en 30 35 45 60 80 100
en 12,5 13 13 15 15,5 16
milliers
On considère l’ensemble des points de coordonnées ( ; ), où 1 ≤ ≤ 6.
1)
On prendra pour premier sous nuage les trois premiers points et pour deuxième les
trois derniers.
EXERCICE 3 :
I)Une entreprise veut prévoir le nombre d’articles qu’elle aurait en stock en l’an
2004. L’évolution du stock de ses articles au cours des sept dernières années 1990
est donnée par le tableau statistique ci-dessous :
Ordre 1 2 3 4 5 6 7
des
années
Nombre 3810 3860 3940 4020 4100 4180 4220
d’articles
en stock
1. A partir de quelle année l’entreprise s’est –elle intéressée à ses stocks ?
2. Représenter graphiquement le nuage de points de la distribution
statistique définie par le tableau précédent dans le plan muni du repère
orthogonal (O, I, J).(on prendra pour unité 2cm en abscisse et 200 articles
pour 1 cm sur la droite des ordonnées).
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EXERCICE 4
Le tableau suivant donne l’évolution de 1985 à 1994 du prix moyen en francs d’un
kilogramme d’un produit fabriqué par une entreprise.
Année 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994
Rang 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
de
l’année
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EXERCICE 5
Une entreprise fabrique des vêtements. Dans le tableau suivant, on a indiqué
pour les sept premiers mois de l’année 2008 la production journalière
moyenne de pulls.
Mois janvier février mars avril mai juin Juillet
Rang du 1 2 3 4 5 6 7
mois
Production 200 210 260 265 270 300 315
journalière
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; ⃗; ⃗; ⃗ ; ; ⃗; ⃗; ⃗ ; ( ; ⃗; ⃗; ⃗ )sont
indirects.
Produit vectoriel
Déf
Soit ⃗ ⃗ deux vecteurs d’un même espace
V. on appelle produit vectoriel de ⃗ ⃗, le
vecteur noté ⃗⋀ ⃗ et défini par :
− ⃗⋀ ⃗ = 0⃗ si ⃗ ⃗ sont colinéaires.
− si ⃗ ⃗ ne sont pas colinéaires alors
⃗⋀ ⃗ est orthogonal à ⃗ ⃗ tel que
( ⃗; ⃗; ⃗⋀ ⃗) soit directe et
‖ ⃗⋀ ⃗‖ = ‖ ⃗‖. ‖ ⃗‖. |sin( ⃗; ⃗)|
Expression analytique
( )= ⃗⋀ ⃗
: distance d’un point à une droite
Soit ( ) une droite, un point du plan.
Soit le projeté orthogonal de sur ( ).
On note ( ; ( )) la distance de
à ( ), la distance .
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Calcul de volume
Base triangulaire
Soit le tétraèdre de base
et de sommet . On a :
= ( ) × ℎ;
⃗⋀ ⃗
avec ( )= et
⃗. ( ⃗⋀ ⃗)
ℎ= ;( ) =
⃗⋀ ⃗
D’où = ⃗. ( ⃗⋀ ⃗)
Base : un parallélogramme
Soit le tétraèdre de base
et de sommet . On a :
= ( ) × ℎ;
avec ( ) = ⃗ ⋀ ⃗ et
⃗.( ⃗ ⋀ ⃗ )
ℎ= ;( ) = ⃗⋀ ⃗
D’où = ⃗. ( ⃗⋀ ⃗)
Volume un parallélépipède
Page 99
Tapez une équation ici.
Complément
Comment montrer qu’un point appartient à
un plan :
Connaissant l’équation du plan :
On vérifie si les coordonnées du
point vérifient l’équation du plan ;
Ne connaissant par l’équation du
plan :
On vérifie si la distance de ce point
au plan est égale à 0.
Dans le cas contraire ce point
n’appartient au plan.
Comment déterminer l’équation du plan :
On déterminer un vecteur normal au plan ⃗
(par exemple pour le plan ( ), ⃗ =
⃗ ⋀ ⃗ ).en suite soit ( ; ; ) ∈ ( ), on
a:
⃗ ⟘ ⃗ ⇔⃗ . ⃗ = 0.
Comment montrer que des points sont
coplanaires :
Cela revient à montrer qu’il appartiennent à
un même plan.
Page 100
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Exercice 1 :
L’espace est rapporté à un repère orthonormal ( ; ⃗ ; ⃗; ⃗). On donne
(1; 0; 2); (0; 2; 1); (2; 1; 0); (2; 4; 3).
Exercice 2 :
L’espace est rapporté à un repère orthonormal direct ( ; ⃗ ; ⃗; ⃗).
Calculer l’aire du triangle ABC dans les cas suivants :
a. A(2 ; -1 ; 1), B(0 ; -3 ; 2), C(6 ; 3 ; -1).
b. A(2 ; -1 ; 1), B(0 ; -3 ; 2), C(2 ; -3 ;4).
Exercice 3 :
Exercice 4
Page 101
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Exercice 5 (ok)
1. Calculer la longueur .
2. Déterminer une équation du plan ( ) passant par et orthogonal à la droite
( ).
3. On donne les points : (−6; 1; 1), (4; −3; 3) (−1; −5; −1).
a. Démontrer que les points B, C et D appartiennent au plan ( ).
b. Calculer les coordonnées du produit vectoriel ⃗ ∧ ⃗ .
c. Démontrer que l’aire du triangle BCD est égale à 5√29.
d. Démontrer que le volume du tétraèdre ABCD est égal à .
4. a. Calculer l’aire du triangle ABC.
b.Calculer la distance du point D au plan (ABC).
Exercice 6 :
Page 102
Tapez une équation ici.
Page 103
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3. a.Calculer( ⃗ ∧ ⃗ ). ⃗
b.En déduire que les points A, B, C et D sont coplanaires.
4.Déterminer une équation cartésienne du plan ABC.
5. Soit (2; 1; 2) calculer la distance du point au plan ABC.
6. En déduire en unités de volume, le volume du tétraèdre BACI.
Exercice 10 :
On considère l’espace muni du repère orthonormal direct ( ; ⃗ ; ⃗; ⃗) où ⃗ = ⃗ ∧ ⃗ .
on considère les points (3; 1; 0), (1; 2; 0), (3; 2; 1) (0; 0; ) où désigne un
réel positif non nul. On a ainsi un tétraèdre .
1. On pose ⃗ = ⃗ ∧ ⃗
a. Calculer les coordonnées de ⃗.
b. En déduire l’aire du triangle ABC.
2. Déterminer une équation cartésienne du plan (ABC).
3. On note le projeté orthogonal du point D sur le plan (ABC) :
a. Expliquer pourquoi il existe un réel tel que ⃗ = ⃗.
b. Calculer en fonction de .
c. En déduire l’expression de la distance .
d. Montrer que le volume du tétraèdre ABCD est = .
4. Déterminer pour quelle valeur de la droite (DB) est perpendiculaire au plan
(ABC).
5. On suppose que = 0. Calculer la distance de A au plan (OBC).
Exercice 11 :OK
On considère l’espace muni du repère orthonormal direct ( ; ⃗ ; ⃗; ⃗) ; les
points (0; 2; 3); (3; 3; 3); (−3; 0; 1) ; (0; 1; 1); (3; −1; 1).
1. Montrer que ABDC est un parallélogramme.
2. –
a. Ecrire l’équation cartésienne du plan (ABC)
b. E appartient- il au plan (ABC) ?
3. Calculer, en unité de volume, le volume de la pyramide de sommet E et de
base ABDC.
Exercice 12 :
On considère l’espace muni du repère orthonormal direct ( ; ⃗ ; ⃗; ⃗) .
Soit les points , tels que ⃗ = 3⃗ + 2⃗ − ⃗, ⃗ = −⃗ + 4⃗ − 2 ⃗ et
⃗ = −2⃗ + ⃗ + ⃗.
a) Déterminer une équation cartésienne du plan ( ).
b) Calculer la distance de (3; 1; 1)au plan ( ).
Page 104
Tapez une équation ici.
= ( ( ) ⃗ + ( )⃗)
= ( ) ⃗ + ′( )⃗
Page 105
Tapez une équation ici.
′( )
⃗( ) =
′( )
− Théorème
Soit ( ) la courbe de représentation
paramétrique :
( )
( ): ∈ ⊆ ℝ
()
Et ( ) ∈ ( ). On appelle vecteur
directeur de la tangente à la courbe
au point ( ) le vecteur non nul
⃗ ( ) = ( ) ⃗ + ′( )⃗
′( )
⃗( ) =
′( )
Périodicité
le plan muni d’un repère
orthonormaldirect ( , ⃗, ⃗). Soit ( )
la courbe de représentation
paramétrique :
( )
( ): ∈ ⊆ ℝ
()
− : si a pour période et a pour
période , alors et ont pour
période commune = ( ,
) strictement positif qui est la
( )
période du système : :
()
La courbe ( ) est entière pour tout
intervalle d’amplitude (de largeur
).
− : si vérifient l’un des
éléments de symétrie et ont pour
période commune , alors on étudie
sur 0; et la courbe est
entièrement obtenue en utilisant la
symétrie.
Elément de symétrie
On considère le plan muni d’un
( , ⃗, ⃗)
Page 106
Tapez une équation ici.
Si
Alors les points ( ) (− ) sont
symétriques par rapport à l’axe des
ordonnées.
Page 107
Tapez une équation ici.
(− ) = − ( )
(− ) = − ( )
Page 108
Tapez une équation ici.
Formule importante :
+ −
cos + cos = 2 cos( ) cos( )
2 2
+ −
cos − cos = −2 sin( ) sin( )
2 2
+ −
sin + sin = 2 sin( ) cos( )
2 2
+ −
sin − sin = 2 cos( ) sin( )
2 2
− Tracer de la courbe
Dresser un tableau de
coordonnées de points
particuliers et des vecteurs
directeurs des tangentes à ces
points.
Placer ces points sur le
graphique ; tracer les
tangentes en ces points.
Tracer enfin la courbe sans
oublier de la compléter par
symétrie.
Complément
Equation de la tangente ( ) en un point
( ( ); ( )).
( )
⃗( ) = ( )
est un vecteur directeur de
( ). Soit ( ; ) ∈ ( ), on a :
⃗ ( ) ( )
( )
é ⃗( ) ( )
⇔ ( ) − ( ) − ( ) − ( )
=
( )
⇔ = − ( ) + ( )avec
( )
( )≠ .
Applications :
Page 109
Tapez une équation ici.
Exo1 : soit
( ) = sin
( ): ∈ ℝ
( ) = sin 3
Comparer les positions de (− ) ( ),
puis ( + ) ( ).
Exo2 :
Le plan est muni d’un repère orthonormal ( , ⃗, ⃗) d’unité : 3 cm
On considère le point ( ) de coordonnées ( ( ); ( )) où
1
( ) = (cos 2 + 2 cos )
3 ∈ ℝ
1
( ) = sin 2
3
1. Pour tout réel , étudier la position des points
( + 2 ) ( ); (− ) ( ).
2. Etudier les variations des fonctions : → ( ) → ( ) sur l’intervalle
[0; ].
3. On appelle (C) l’ensemble des points ( ) lorsque décrit ℝ et (C1) la partie
de la courbe (C) correspondant aux valeurs de appartenant à l’intervalle
[0; ].
Expliquer comment on peut obtenir (C) de (C1).
Tracer (C). préciser les points où la tangente est parallèle à l’un des axes de
coordonnées.
Page 110
Tapez une équation ici.
Exercice 2
Le plan est muni d’un repère orthonormal, l’unité graphique étant 1 cm.
1. Soit (C) la courbe dont une représentation paramétrique est :
( )= ( + 2)
∈ℝ
( )= ( +2 )
a. Montrer que (C) est symétrique par rapport à l’axe des abscisses.
b. Etudier conjointement les variations des fonctions sur [0; +∞[.
c. Préciser la tangente au paramètre = 0.
d. Tracer (C).
2. Soit (P) la parabole d’équation : =4
a. Tracer (P) dans le même repère que (C).
b. Vérifier qu’une représentation paramétrique de (P) est :
( )=
∈ℝ
( )=2
Exercice 3
Soit la courbe (C) dont la représentation paramétrique est donnée par le système
suivant :
= 3 cos
∈ [0; ]
= 2 sin
1. Etudier les variations de .
2. Montrer que la courbe est inscrit dans un rectangle de longueur 6 et de
largeur 2.
3. Tracer la courbe ainsi que les tangentes aux points d’intersection de la courbe
avec les axes du repère ; unité 4 cm.
4. Montrer que vérifient la relation : + = 1 et en déduire que
l’équation cartésienne de la courbe est : = √9 −
5. Soit (P) la plaque homogène, mince, limité par l’axe des abscisses et la courbe
(C).
Calculer le volume du solide engendré par la rotation de (P) au tour de l’axe
des abscisses.
Exercice 4
Le plan est muni d’un repère orthonormal ( , ⃗, ⃗) d’unité : 3 cm
On considère le point ( ) de coordonnées ( ( ); ( )) où
1
( ) = (cos 2 + 2 cos )
3 ∈ ℝ
1
( ) = sin 2
3
Page 111
Tapez une équation ici.
Exercice 5
( )
( )=
(C) la courbe dont la représentation paramétrique est : ∈
( )=
[−1; 1]
2. Tracer (C)
Exercice 6
Page 112
Tapez une équation ici.
Exercice 7 (ok)
Le plan est muni d’un repère orthonormé , (C) est l’ensemble des points M(t) de
coordonnées
( ) = 3 sin + sin(3 )
∈ ℝ
( ) = 2 cos + cos(2 )
Exercice 8
( ) = sin(3 )
Soit (C) la courbe définie dans un repère orthonormé par : ∈ ℝ
( ) = cos( )
1.a.Comparez M(t+2 ) et M(t) ; M(-t) et M(t) ; M(t+ ) et M( -t). En déduire qu’il
suffit d’étudier la courbe (C) pour ∈ 0; .
b. Etudier les variations des fonctions 0; puis dresser le tableau de
variation conjoint.
2. placer les points de (C) correspondant aux valeurs 0; ; et les tangentes
parallèles à ses points.
3. Tracer la partie de (C) correspondant à ∈ 0; puis achever la construction de
(C) pour ∈ ℝ.
Exercice 9 :
tracer dans le plan muni d’un repère orthonormal, l’ensemble (Г) des points de
coordonnées ( ( ); ( )) tels que :
( ) = cos 3
∈ ℝ
( ) = sin + cos
Exercice 10 :
1. Soient , , et les nombres définis pour tout réel par :
Page 113
Tapez une équation ici.
1 2 2
⎧ = − sin 2 + cos +
⎪ 2 3 3
1 2
= sin 2 − cos +
⎨ 3 3
⎪ 1 1 2
⎩ = − sin 2 − cos +
2 3 3
. Démontrer que pour tout réel , il existe un barycentre, noté ( ), du
système de points pondérés {( , ); ( , ); ( , )}.
c. Montrer que, pour tout réel , les coordonnées du point ( ) sont :
( ) = cos
d.
( ) = sin(2 )
Lorsque le paramètre varie, ce barycentre décrit une courbe Г, que l’on
se propose d’étudier.
2. Etude des symétries de la courbe Г.
a. Etudier les positions relatives des points ( ) ( + 2 )
b. Etudier les positions relatives des points ( ) (− )
c. Etudier les positions relatives des points ( ) ( − ).
d. Déduire de ce qui précède, en justifiant la démarche, un intervalle d’étude
approprié pour les fonctions et .
3.a Etudier le sens de variation de chacune des fonctions sur
l’intervalle 0; et les faire apparaître dans un même tableau.
b. Placer les points de Г correspondants aux valeurs du paramètre 0,
et tracer les tangentes à la courbe Г en ces points.
c. Tracer la partie de Г obtenue lorsque appartient à l’intervalle 0; puis
tracer Г.
Exercice 11 :
soit (Г) la courbe paramétrée définie par le système :
( ) = cos(2 ) − 2 cos( )
∈ℝ
( ) = 3 sin( )
1) Etudier la parité et la périodicité de et .
2) En déduire qu’il suffit d’étudier la courbe (Г) sur = [0; ] pour avoir
toute la courbe.
3) Etudier les variations de et sur = [0; ] et étudier un tableau de
variations conjoints.
4) Tracer la courbe (Г) entièrement dans un repère orthonormé ( , ⃗, ⃗)
d’unité graphique 1 cm.
Page 114
Tapez une équation ici.
Exercice 12
Dans le plan muni d’un repère orthonormé ( , ⃗, ⃗), on se propose de tracer la
courbe (C), ensemble des points du plan de coordonnées :
( ) = cos
( ) = sin( )
3
1) Etudier les positions relatives de ( ) , ( + 6 ), (− ) , (3 −
). En déduire le domaine d’étude de (C).
2) Faire l’étude conjointe des variations de et .
3) Tracer (C) pour élément de l’intervalle 0; .
Exercice 13
Le plan est rapporté à un repère orthonormé ( , ⃗, ⃗) (unité 2cm). On désigne par (C)
la courbe de représentation paramétrique :
( ) = sin (cos + 2√2)
( ) = sin( )(cos − 2√2)
a. Calculer ( + 2 ) ( + 2 ); (− ) (− ); ( − ) ( − ). En
déduire que la courbe C admet un centre de symétrie et un axe de symétrie
que l’on précisera.
b. Soit Г l’arc de la courbe C correspondant à 0; . Montrer que l’on peut
construire C à partir de Г à l’aide de transformations géométriques simples.
c. Etudier les variations de 0; . Tracer Г, puis C. on précisera les
tangentes à Г aux points de paramètres respectifs = 0 = .
Exercice 14
Le plan est rapporté à un repère orthonormé ( , ⃗, ⃗) (unité 2cm). On désigne
par (C) la courbe définie par ses équations paramétriques:
( ) = 2 cos + cos(2 )
t∈ ℝ .
( ) = 2 sin − sin(2 )
a. Comparer les positions des points ( ) ( + 2 ). Comparer les positions
des points ( ) (− ). En déduire une symétrie de la courbe. En déduire
un intervalle d’étude .
b. Etudier les variations de sur .
c. Donner les coordonnées du point de la courbe pour = . Donner les
coordonnées d’un vecteur directeur de la tangente en ce point.
Tracer la courbe C. on admettra qu’aux points de vecteur de dérivé nul, la tangente
passe par O.
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Tapez une équation ici.
Exercice 1:
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Tapez une équation ici.
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Tapez une équation ici.
= − .
. Montrer que ( ) est une suite géométrique dont précisera la raison et
le premier terme.
b. En déduire, pour tout entier naturel n non nul, puis en fonction de
n.
c. calculer la limite de quand n tend vers +∞.
Exercice 5 :
1. On considère un dé cubique truqué dont les faces sont numérotées de 1 à 6.
On note la probabilité d’apparition de la face . Les vérifient :
= ; = = 2 ; = =3
a. Montrer que =
b. Montrer que la probabilité de l’évènement A : ‘’ obtenir 3 ou 6’’ est égale à .
2. Un jeu d’adresse consiste à lancer le dé décrit ci-dessus puis à lancer une
fléchette sur une cible fixe.
Si le joueur obtient 3 ou 6, il se place à 5 m de la cible et lance la fléchette ; à 5
m, la probabilité d’atteindre la cible est alors .
Si l’évènement A n’est pas réalisé, il se place à 7m de la cible et lance la
fléchette ; à 7 m, la probabilité d’atteindre la cible est alors .
On note C l’évènement :’’ la cible est atteinte’’.
a. Déterminer ( )et ( ⁄ ̅). En déduire que ( ) = .
b. Déterminer ( ⁄ ).
3. Le joueur dispose de 10 fléchettes qu’il doit lancer une à une, de façon
indépendante, dans les mêmes conditions que précédemment définies.
Calculer la probabilité qu’il atteigne la cible exactement 4 fois.
Exercice 6:
=
1. soit la suite ( ) définie par
= +
a. soit la suite ( ) définie pour ≥1 par = − ; motrer que ( ) est
une suite géométrique dont on précisera la raison.
b. En déduire l’expression de en fonction de , puis celle de .
2. On considère deux dés, notés A et B. le dé A comporte 3 faces rouges et 3
faces blanches. Le dé B comporte 4 faces rouges et 2 blanches.
On choisit un dé au hasard et on le lance : si on obtient rouge, on garde le
même dé, si on obtient blanc, on change de dé. Puis on relance le dé et ainsi
de suite.
On désigne par :
- l’événement ‘’ on utilise le dé A au n° lancer’’ ;
- l’événement contraire de ;
- l’événement ‘’ on obtient rouge au n° lancer’’ ;
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Tapez une équation ici.
- l’événement contraire de ;
les probabilité respectives de et .
. Déterminer .
c. Déterminer . Pour cela, on pourra s’aider d’un arbre.
d. En remarquant que, pour tout ≥1, = ( ∩ ) ∪ ( ∩ ),
montrer que :
=− + .
e. Montrer que, ∀ ≥ 1, = ( ∩ ) ∪ ( ∩ ).
f. En déduire que, pour tout ≥1, = + , puis déterminer
l’expression de en fonction de .
g. En déduire l’expression de en fonction de puis la limite de quand
+ ∞.
Exercice 7
Une urne contient boules noires et 3 boules blanches.
1. On tire simultanément deux boules de l’urne. On suppose qu’il y a
équiprobabilité des tirages possibles.
Calculer la probabilité de tirer une boule de chaque couleur.
2. On tire une boule de l’urne, l’on y replace ; puis on tire à nouveau une
boule de l’urne ; on suppose qu’il y a équiprobabilité de tirages possibles.
Calculer la probabilité de tirer une boule de chaque couleur.
3. Quelle est la limite de lorsque tend vers +∞. A partir de valeur de ,
− < ?
Exercice 8
on dispose d’une roue partagée en quatre secteurs de même dimension et de
deux urnes A et B.
l’urne A contient une boule jaune et 3 boules noires et l’urne B contient 3
boules jaunes et une boule noire. Le jeu consiste : le candidat fait tourner
la roue qui, étant lancé s’arrête de façon aléatoire, la flèche ne pouvant
indiquer qu’un seul secteur (tous les secteurs ont donc la même chance de
‘’ sortir’’). La règle est la suivante :
Si le candidat obtient la lettre P, il a perdu et le jeu est fini ;
S’il obtient la lettre A, il tire une boule dans l’urne A.
S’il obtient la lettre B, il tire une boule dans l’urne B.
On note P, A, B, J et N les évènement suivants :
- P :’’ à l’issue du lancer de la roue, on a obtenu la lettre P’’
- A :’’ à l’issue du lancer de la roue on a obtenu la lettre A’’
- B:’’ à l’issue du lancer de la roue on a obtenu la lettre B’’
- J :’’ on a tiré une boule jaune’’
- N :’’ on a tiré une boule noire’’
1. Déterminer la probabilité des évènements A, B et P.
2. Construire un arbre de probabilité illustrant la situation.
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Tapez une équation ici.
3. a. Sachant que, lors d’un lancer de la roue, on a obtenu la lettre A, quelle est la
probabilité de tirer une boule jaune.
b. En déduire la probabilité de l’évènement A∩J.
4. Un joueur fait une partie.
a. Quelle est la probabilité qu’à l’issue du lancer de la roue il obtient la lettre B et
qu’il tire une boule jaune.
b. Déterminer la probabilité que le joueur tire une boule jaune.
5. Un joueur fait deux partir consécutivement, les deux parties étant indépendants
l’unes de l’autre. Quelle est la probabilité que ce joueur tire exactement deux boules
jaunes.
Exercice 9
Tous les résultats seront donnés sous forme de fractions irréductibles.
Une urne contient 7 jetons indiscernables au toucher : 3 jetons blancs (un carré et 2
ronds) et 4 jetons noirs (3 carrés et un rond).
On tire simultanément et au hasard 3 jetons de l’urne.
1. pour ∈ {0,1,2,3} calculer la probabilité de l’évènement :’’ obtenir
boules jetons blancs’’
2. lors d’un tirage on note A l’évènement ‘’ avoir 3 jetons de la même forme’’
et B ‘’ avoir 3 jetons de même couleur’’.
a. Calculer la probabilité des évènements A, B et A∩B.
b. Les évènements A et B sont-ils indépendants.
Exercice 10
Une urne contient trois boules : une rouge, une verte et une bleue. On tire au hasard
et successivement deux boules de cette urne, en remettant dans l’urne la boule tirée.
1. Déterminer l’ensemble des tirages possibles.
2. On convient de la règle suivante : le tirage d’une boule rouge fait marquer 1
point, celui d’une boule verte fait marquer 2 points et celui d’une bleue fait
marquer -3 points.
Pour chaque tirage, on note X la somme des points marqués.
a. Déterminer l’ensemble des valeurs prises par X.
b. Déterminer la loi de probabilité de X.
3. Calculer l’espérance mathématiques de X.
4. Déterminer la fonction de répartition F de X et la représenter.
Exercice 11
Problème:
Pour réaliser une loterie, un organisateur dispose d’une part d’un sac
contenant exactement un jeton blanc et 9 jetons noirs indiscernables au
toucher et d’autre part d’un dé cubique équilibré dont les faces sont
numérotées de 1 à 6.
Il décide des règles suivantes pour le déroulement de la partie.
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PARTIE A
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Tapez une équation ici.
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