Télécharger au format pdf ou txt
Télécharger au format pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 43

En vue de l’obtention du brevet de technicien supérieur (BTS)

Option : infrastructure et réseaux d’accès

Stage effectué au Sotetel du 01 au 30 juin 2019

Encadreur académique : Encadreur professionnel :


Mr. Sassi Hbib

Année universitaire : 2018/2019


Remerciements

Au terme de ce stage, j’adresse mes meilleurs remerciements à tous ceux qui


m’ont aidé de près ou de loin. Je voulais adresser ma sincère Gratitude à Mr.
Sassi Hbib et son équipe pour sa confiance, ses précieuses suggestions et son
soutien tout au long de mon stage.

À ce occasion, j’adresse par mes sincères remerciements aux cadres, dirigeants,


Techniciens et ouvriers de la société tunisienne d’entreprise de
télécommunication « sotetel » ainsi qu’à au centre sectoriel de formation en
télécommunication al Kadhra qui m’ont offert la chance d’effectuer ce stage.

Afin d’enrichir mes connaissances théoriques en Réseau Informatique par une


expérience pratique et de découvrir l’environnement professionnel.
Dédicace

Nous dédions ce travail :

A toute notre famille et surtout à nos parents qui nous ont aidés à surmonter
plusieurs épreuves.

A nos frères, nos sœurs.

A nos professeurs du département automatique et systèmes industriels.

A tous nos collègues de la promotion, et nos ami(e)s.


Table des matières

Introduction Générale ................................................................................................................ 1


I. SOCIETE TUNISIENNE D ENTREPRISEDE TELECOMMUNICATIONS ..................................... 2
1. Presenaaion ..................................................................................................................... 2
2. Organigramme de la SOTETEL ......................................................................................... 2
3. Domaine de SOTETEL : .................................................................................................... 3
4. Les activités de SOTETEL ................................................................................................. 4
II. La fibre optique ................................................................................................................... 6
1. Présentation .................................................................................................................... 6
2. Composition D’une fibre optique ................................................................................... 6
3. Types de fibre optique .................................................................................................... 7
4. Le déploiement Dun réseaux en fibre optique ............................................................... 7
III. Lien optique ................................................................................................................... 10
1. Les éléments qui constitué un lien optique .................................................................. 10
1.1 Les tiroirs à fibre optique ....................................................................................... 10
1.2 Les connecteurs ..................................................................................................... 10
1.3 Le coupleur optique .............................................................................................. 12
1.4 Pigtails .................................................................................................................... 12
1.5 Une zone de lovage pour les pigtails .................................................................... 13
1.5.1 Positionner les protections d'épissure et lover les fibres. ....................................... 14
1.6 Tester la continuité avec un stylo laser rouge. ...................................................... 15
IV. Le raccordement sou terrain de fibre .......................................................................... 17
1. LE RACCORDEMENT DE LA FIBRE OPTIQUE .................................................................. 17
1.1. La soudure optique .................................................................................................... 20
1.1.3. Le dénudage........................................................................................................... 20
1.1.4. Le nettoyage .......................................................................................................... 21
1.1.5. Le clivage................................................................................................................ 21
1.1.6. La mise en place dans la soudeuse ....................................................................... 22
1.1.7. La fusion ................................................................................................................. 22
1.1.8. L’ajustement de la protection d’épissure ............................................................. 23
1.1.9. La retreinte de la protection d’épissure ............................................................... 23
1.1.10. Le refroidissement de la protection d’épissure ................................................... 23
2. LES CHAMBRES .............................................................................................................. 24
2.1. RACCORDEMENT DES CLIENTS .............................................................................. 24
3. TESTS DES LIAISONS ...................................................................................................... 34
4. Conclusion générale ...................................................................................................... 38
Introduction Générale

En raison de l’importance accrue de la formation qui devient un outil nécessaire


pour garantir l’adéquation du futur des employés à leur travail, un stage qui
constitue une occasion pour connaître de plus proche les services dans le
domaine de télécommunications et confronter les connaissances théoriques à
l’exercice pratique.

C’est fait avec une satisfaction et un encadrement efficace que j’ai passé mon
stage du 01/06au 30/06 /2019 à la société tunisien d’entreprise et de
télécommunication, Mon objectif consiste à connaître le processus du travail du
centre de construction des lignes et avec l’équipe de localisation et de réparation
de dérangement.
.
Et c'est dans ce cadre que nous avons choisis de passer notre stage dans la
société tunisien d’entreprise et de télécommunication de
télécommunications(SOTETEL), qui est présent à l'étranger, notamment en
Mauritanie, en Lybie, au Yémen, en Algérie…

Ce rapport s'articule sur quatre chapitres première chapitre je vous présent la


société tunisienne de l’entreprise de télécommunication
, le Second chapitre présente la fibre optique comme une technologie avancé en
infrastructure du réseau puis en particulier sur les principaux éléments qui
constitué un lien optique…..
Troisième el le quatrième chapitre, Vue sur le terrain avec l'équipe avec laquelle
j'ai travaillé. Et en conclusion j’ai élaboré mes réflexions personnelles mêlées de
quelques suggestions.

1
I. SOCIETE TUNISIENNE D ENTREPRISEDE
TELECOMMUNICATIONS

1. Presenaaion
SOTETEL est une entreprise publique filiale de Tunisie Telecom ,elle est l'un des acteurs de
référence dans le domaine des télécommunications en Tunisie,
Elle a été créée à l'initiative du Ministère des Communications. Elle se positionne comme le
principal partenaire des équipementiers internationaux opérant en Tunisie. La société est
leader dans la mise en œuvre et la maintenance des infrastructures de tous types de réseaux
de télécommunication. Elle intègre toutes les activités de Télécommunication relatives à
l'ingénierie d'études et de Réalisations pour :
les transmissions
la commutation
les réseaux locaux d'abonnés RLA : câbles et génie civil
les communications d'entreprises, installations et maintenance de tous les systèmes de
télécommunications : GSM, standards, taxiphones,pré câblage informatique des immeuble.

2. Organigramme de la SOTETEL

Figure1 : organigramme de la sotetel

2
D.C.F: Direction Centrale Financière
Gestion financière.
Comptabilité et administration.

D.C.C : Direction Centrale Commerciale


Gestion des ventes et du chiffre d'affaires.
Marketing.

D.C.R.H : Direction Centrale Ressources Humaines


Recrutement, intégration et formation du personnel.
Gestion administrative et paie.
Communication interne.

D.C.S.E : Direction Centrale Solution d'Entreprise


Etude, installation et maintenance des réseaux privés.

D.C.RX : Direction Centrale des Réseaux


Mise en œuvre de l'infrastructure des réseaux de transmissions et des réseaux d'accès
(Réseaux publics).

3. Domaine de SOTETEL :

La SOTETEL a deux grands domaines d'activités : Les réseaux privés et les réseaux publics

Réseaux privés

 Etude,conception,intégration et maintenance des réseaux informatiques et de


télécommunication d'entreprises.
 Fourniture, installation et maintenance d'équipements actifs : routeur, switch, modem
Xdsl…

 Installation des systèmes de sécurité informatiques et électroniques.

 Développement des logiciels spécifiques aux besoins des entreprises.

3
Réseaux publics

Le déploiement des infrastructures des réseaux publics notamment par les activités de
transmission et de commutation mais aussi par la construction des réseaux de Lignes Abonnés
et des réseaux mobiles.

 Transmission

Construction de liaisons de transmission par câbles à fibres optiques et par faisceaux


hertziens.

 Commutation

Installation et intégration des systèmes de commutation téléphonique


Montage et mise en service des systèmes de commutation de données.

 Réseaux de Lignes d'Abonnés (RLA)

RQAtrXFtIRQ d'RXvILTIA EI FRQdXiteA SRXr1Fâbles de télécommunication.


plliAIIIRQ deA SERMANHFIpatIRQ IIIl'exteQAIRQ deALEpAIEXx 1d}1EiAtriEXtIRQ deA lEQIA
I'aERQQpA.
IiQteQaETHEIIeQtrIMeQ KIA TpAIIXx 11e10AtriEXtIRQ deA lllQIA WERQQpA.

 Réseaux Mobiles

Déploiement de stations de base pour réseaux publics mobiles GSM et autres.


Recherche et acquisition des sites pour stations de base.

4. Les activités de SOTETEL

Les activités de SOTETEL couvrent 3 domaines d‘activité :

Réseaux d’accès & Backbônes

Le déploiement des solutions FTTX (Boucles métros fibres, Raccordement des clients GPON.
Nodes B, IPMSAN…) sur tout le territoire Tunisien.
■ Les travaux de génie civil, la fourniture et la pose des câbles en fibres optiques.
■ La maintenance du réseau national de transmission par fibre optique.
■ La mise à niveau des répartiteurs, le swap des équipements MSAN actifs Indoor et Outdoor.

4
■ Le démarrage du projet de déploiement d‘infrastructure en fibre optique pour le compte de
Tunisie Autoroutes.
■ Les déviations des réseaux.
■ L’installation des réseaux locaux et le raccordement des abonnés.
■ La fourniture et l’installation des répartiteurs optiques.

Réseaux Mobiles

■ Le redéploiement des sites GSM pour le compte de l’opérateur national ;


■ La maintenance des sites GSM sur les 24 régions ;
■ Le projet génie civil des pylônes Zones Blanches ;
■ L’installation et la mise en service des équipements IPMSAN avec les équipementiers
Huawei et Nokia.
■ Le projet VSAT.

Services convergents

L’installation, la fourniture et la mise en œuvre des équipements de routage et de switching .

■ L’implémentation des solutions des réseaux de communication unifiée.


■ L’extension et la maintenance du réseau Metro Ethernet.
■ La fourniture des équipements terminaux CPE.
■ Le design, l’installation, la mise en service et l’intégration des équipements de connectivité
et de sécurité pour le compte de plusieurs gros comptes ;
■ Installation du Réseau National Intégré de l’Administration RNIA phases 2/3.
■ La maintenance des installations auprès de nos clients établies dans les zones
d’interventions de nos quatre Pôles régionaux (Tunis, Sousse, Sfax et Médenine):

Etablissements publics (ministères, hôpitaux, banques, universités, postes, Caisses


Sociales,…).

Etablissements privés (PME, banques, assurances, cliniques, hôtels, universités privés,…).

5
II. La fibre optique

1. Présentation

La fibre optique soit de plus en plus utilisée comme supports de transmissions grâce à leurs
propriétés exceptionnelles. Le câblage en fibre optique utilise des fibres de verre ou de
plastique pour guider des impulsions lumineuses de la source à la destination. Les bits sont
codés sur la fibre comme impulsions lumineuses. Le câblage en fibre optique prend en charge
des débits de bande passante de données brutes très élevés. La plupart des normes de
transmission actuelles n’approchent cependant pas encore la bande passante potentielle de
ce support.

2. Composition D’une fibre optique

La fibre optique est un fil de verre entouré d'une gaine réfléchissante. Sa propriété principale
est de servir de « tuyau » dans lequel on peut faire circuler de la lumière. Elle sert à transporter
de l’information numérique.
 1 La gaine aide à la propagation du signal.
 2 La fibre de renfort en Kevlar.
 3 Le revêtement protège mécaniquement la fibre.
 4 La gaine de protection de la fibre.
 5 Le cœur sert à confiner le signal lumineux et à le propager.

Figure 2 : constriction d’une fibre optique Figure 3 : fibre optique réel

6
Figure 4 : code couleur standard

3. Types de fibre optique

Les câbles à fibre optique peuvent être classés en deux grands types : monomode et
multimode
La fibre optique monomode transporte un seul rayon lumineux, généralement émis par un
laser. La lumière laser étant unidirectionnelle et voyageant au centre de la fibre, ce type de
fibre peut transmettre des impulsions optiques sur de très longues distances.
La fibre multimode utilise en principe des émetteurs à des diodes électroluminescentes (DEL)
qui ne créent pas une seule onde lumineuse cohérente. La lumière d’une DEL entre au
contraire dans la fibre multimode selon différents angles. La traversée de la fibre prenant ainsi
plus ou moins de temps, des longueurs de fibre importantes peuvent générer des impulsions
troubles à l’arrivée à l’extrémité réceptrice. Cet effet, appelé distorsion modale, limite la
longueur des segments de fibre multimode.
La fibre multimode, ainsi que la source lumineuse à DEL utilisée en association, sont plus
économiques que la fibre monomode et sa technologie d’émetteur à laser.
La fibre optique est très sensible il est caractérisé par leur propre matière.

4. Le déploiement D’un réseau en fibre optique

Le déploiement d’un réseau en fibre optique coûte cher, raison pour laquelle Tunisie Telecom
préfère rapprocher la fibre de l’utilisateur plutôt que d'amener la fibre directement jusqu’au
logement à connecter. Il existe ainsi plusieurs configurations de type FTTx {. FTTB, FTTC, FTTD,
FTTH, FTTK, FTTN et FTTP}
Le FTTx signifie “Fiber to the”, le “x” indiquant l’endroit où s’arrête la fibre (directement au
logement de l’abonné, au pied de l’immeuble, au dernier amplificateur, etc.).
 FTTP : Fiber To The Premises (Fibre jusqu’aux locaux – entreprises)
 FTTH : Fiber To The Home (Fibre jusqu’au domicile)
 FTTB : Fiber To The Building (Fibre jusqu’au bâtiment)
 FTTS : Fiber To The Street (Fibre jusqu’à la rue – bâtiment)
 FTTD : Fiber To The Door (Fibre jusqu’au pas de porte)
 FTTO : Fiber To The Office (Fibre jusqu’au bureau)

7
 FTTE / FTTZ : Fiber To the Telecom Enclosure / Fiber To the Telecom Zone
 FTTF : Fiber To The Frontage
 FTTdp : Fiber To The distribution point
 FTTCab : Fiber To The Cab (Fibre jusqu’au sous-répartiteur)
 FTTN / FTTLA : Fiber To The Node / Fiber To The Last Amplifier (Fibre jusqu’au dernier
amplificateur)
 FTTC / FTTK : Fiber To The Curb / Fiber To The Kerb (Fibre jusqu’au trottoir)

 Remarque :

Le sotetel choisir FTTH et la FTTC comme deux méthodes essentielles pour assurer le
transmission à travers le fibre optique Pour les grandes entreprises et les Banks, Tunisie
Telecom propose la technologie FTTH

Fiber to the Home (fibre jusqu’au domicile), est un moyen d’accès au très haut débit par la
fibre optique dans lequel cette dernière arrive jusqu’au domicile de l’abonné. Cette
méthode utilise la fibre optique de bout en bout. Cela nécessite des travaux à l’intérieur de
l’immeuble car il faut poser la fibre optique jusque chez l’abonné. Néanmoins, la fibre
optique en FTTH ne subit que très peu de dégradation dans le transport du signal.
Pour les abonnés (<= 30MB ) :

FTTC (Fiber to the Curb) ne se réfère pas à un bordure en béton. C'est le poteau ou le
placard qui abrite le dispositif de communication monté. Les câbles coaxiaux ou les paires
torsadées envoient ensuite les signaux de la bordure à la maison. Cependant, la bande
passante est perdue pendant cette livraison. FTTC peut servir plusieurs clients à moins de
1000 pieds.

8
Figure 5 : infrastructure d’une liaison FFTX

9
III. Lien optique

1. Les éléments qui constitué un lien optique

Figue 6 : lien optique

1.1 Les tiroirs à fibre optique

Les tiroirs sont destinés aux raccordements des câbles en vue d’assurer la distribution sur
d’autres câbles ou sur des équipements actifs. Ces fonctions principales sont donc l’arrimage
du câble, l’épissurage et le raccordement. Toutes ces fonctions peuvent être réparties sur
différents contenants.
Le tiroir existe en version coulissante, pivotante ou fixe selon les fonctionnalités et la facilité
d’installation souhaitées. Il est utilisable dans une baie ou un coffret normalisé (en standard
19’’ ou ETSI) qui rassemblent plusieurs tiroirs et/ou des équipements passifs.
Le tiroir se définit par :
 Sa hauteur (nombre de U)
 La connectique optique (SC, FC, LC…)
 Le nombre de connexions
 Le nombre de soudures
Le tiroir peut être équipé :
 D’un système d’arrimage pour le câble. Cela peut correspondre à l’emploi d’un
presse étoupe, d’un collier Rilsan® ou d’un Serflex®. Afin de faciliter l’installation, le
système d’arrimage peut être réalisé en bas de la baie.
1.2 Les connecteurs

Lors de la pose d’une liaison optique, il faut équiper la fibre d’un connecteur aux deux
extrémités, permettant ainsi le raccordement, à l’aide de cordons de brassage, aux appareils

10
actifs (commutateurs, routeurs,…). Les instances de normalisations (EIA/TIA-568 et ISO/IEC
11801) ont défini un standard commun appelé standard 2,5 mm car la technique utilisée est
basée sur l’utilisation d’un embout optique (férule) de diamètre de 2,5 mm. Celui est percé
en son centre et permet la fixation de la fibre. Les connecteurs, à ce jour, les plus usités dans
les réseaux locaux, sont les interfaces ST et SC.

Ces connecteurs existent en versions multimode et monomode. L’alignement est effectué


sur la gaine extérieure. Lors de leur mise en vis-à-vis dans un coupleur (raccord), les
extrémités optiques des embouts doivent être en contact l’une avec l’autre, on parle alors
de connectique PC, Physical Contact.

Une version APC est également disponible en monomode. Dans cette version, les faces
optiques sont polies avec un angle de 8° ou 9° ce qui permet d’obtenir une meilleure
réflectance. Elle est principalement employée dans les réseaux opérateurs à haut débit.
D’autres types de connecteurs sont également présents aujourd’hui sur le marché. Ils
portent le nom générique de connecteur SFF, Small Form Factor. Ils apportent un
changement tant au niveau de leurs dimensions, réduites, que du concept fiche mâle - fiche
femelle tel que déjà présent en cuivre avec les RJ45 et dont la forme est proche de ces
dernières. Ils permettent une plus grande concentration de connecteurs ainsi que le

11
raccordement des fibres dans des prises femelles encastrées dans des boîtiers muraux ou en
goulottes.

1.3 Le coupleur optique


De raccords. Adaptés à la connectique installée, ils permettent d’assurer la connexion entre
des fibres du câble et d’autres fibres optiques, via des cordons ou des câbles
préconnectorisés. Ils ont ainsi pour rôle d’assurer l’alignement et la connexion de deux
fiches (ou connecteurs optiques). Pour les connectiques de type SC, FC, ST, LC, MU, E2000…,
le principal composant est le manchon d’alignement (sleeve) qui a, pour première fonction,
d’assurer la mise en contact des deux férules et, plus particulièrement des deux fibres. Le
raccord se définit par le type de connecteur et le type de fibre à raccorder (fibre optique
monomode ou fibre optique multimode).

Figure 7 : coupleur fibre

1.4 Pigtails

Les pigtails sont utilisés lors d’un raccordement par soudure. Ils permettent la jonction entre
le raccord et le câble entrant. Un pigtail se compose d’une fiche (ou connecteur optique) et
d’un câble d’un diamètre de 1 mm en standard (ce dernier intègre une fibre optique
identique à celle du câble entrant). Les pigtails existent en version monochrome (en général
jaune pour le monomode et orange pour le multimode, turquoise pour le 50/125μm OM3)
ou en lot de 12 couleurs. D’une zone de lovage pour les pigtails.

Figure 8 : pigtails

12
1.5 Une zone de lovage pour les pigtails

De cassettes ou d’organiseurs pour 12 ou 24 fibres optiques. La cassette permet une gestion


du mou des fibres optiques issues du câble entrant, et du câble sortant ou des pigtails. Elle
gère les soudures et la protection du raccordement. Elle peut contenir de 1 à 12 fibres
optiques, voire 24.
Pivotantes ou fixes, les cassettes peuvent être superposées afin d’assurer le raccordement
d’un câble de plus forte capacité. Une cassette pour fibre optique a l’avantage de gérer une
longueur de fibres importante (plusieurs dizaines de mètre). En effet, elle ne peut contenir
que de la fibre optique nue (gainée en 250µm) puisque les tubes 1 mm des pigtails et les
gaines de protection des câbles sont arrêtées à l’entrée de la cassette.
La cassette intègre également une zone permettant la mise en place et l’identification des
protections d’épissure (tube, en plastique renforcé, placé au niveau de la soudure afin de
renforcer cette zone de fragilité et d’éviter la cassure de la fibre optique). L’ensemble du
dispositif est protégé par un couvercle, généralement translucide, évitant les cassures
intempestives. L’organiseur est utilisé lorsque les fibres optiques issues des câbles entrants
et sortants (ou pigtails) sont gainés (au minimum en 1 mm). Il permet simplement de
maintenir les protections d’épissures associées.

Figure 9 : les composants d’un tiroir

13
Figure 10 : position de fibre sous le tiroir

1.5.1 Positionner les protections d'épissure et lover les fibres.

➢ Positionner les protections d'épissure dans la cassette en commençant par la fibre 1 qui
doit être sur le bord (le plus loin de la zone de lovage). Dans certaines cassettes, on
positionne 2 protections l'une sur l'autre
Méthode simple :
Poursuivre le lovage jusqu'à entrer toutes les fibres dans la cassette.

➢ Méthode rapide : Tiroir fibre optique 4/7 LP0 Touchard Washington


Former une boucle.

Former une deuxième boucle de la grandeur du parcours central de la zone de lovage


(ovale dessiné en vert)
Replier la petite boucle jusqu'à atteindre la cassette.

14
Faire entrer la boucle dans la zone de lovage en dessous des doigts.

1.6 Tester la continuité avec un stylo laser rouge.


➢ Retirer le bouchon du stylo.

➢ Retirer un pigtail de son raccord et lui connecter le stylo.

➢ Allumer le stylo.

➢ Vérifier que toute la lumière sort à l'autre bout et qu'il n'y a pas de lumière au niveau de
l'épissure.

➢ Déconnecter le stylo du pigtail et remettre le bouchon.

➢ Remettre le pigtail dans son raccord.

➢ Refaire le test pour les autres fibres.

Figure 11 : position final Dun tiroir

 Remarque

15
Le coffret mural à fibre optique
Le coffret mural a la même fonction qu’un tiroir. Il est utilisé dès lors que l’installation ne
nécessite pas l’utilisation d’une baie ou si le local technique présente des contraintes
dimensionnelles. Il se caractérise par :
 La connectique utilisée
 Le nombre de raccords souhaités
 Le nombre d’épissures à réaliser
 La présence d’un module de protection pour les cordons optiques (ou jarretières)
Il est équipé d’un système d’arrimage. Comme le tiroir, le coffret peut être équipé de
pigtails, de raccords, de cassettes (ou organiseurs) et d’un système d’identification.

16
IV. Le raccordement sou terrain de fibre
1. LE RACCORDEMENT DE LA FIBRE OPTIQUE

✓ Repérage de la fibre optique dans la chambre.

✓ Aiguillage et tirage de la fibre optique jusqu'à le lieu du client.

✓ Retournez à la chambre :
• Il faut préparer la fibre pour la soudure en suite enlevé la gaine de protection est coupé à
l’aide d’un pince spéciale puis nettoyer d’un solvant.
• Couper la fibre avec une machine spéciale.
• Soudure la fibre avec une soudeuse

Figure 12 : machine de coupage

Figure 13 : soudeuse

• Retourner la fibre dans la cassette.

17
Figure 14 : cassette

• Retourner la fibre dans la chambre et mettre sur le câble une petite plaque fixée sur
laquelle on met le non du client.

Réaliser une soudure optique pas à pas

Liste du matériel nécessaire :

Alcool Lingettes non pelucheuses Ciseaux Kevlar

18
Pince à dénuder Dispenseur d’alcool Outils à dénuder

Cliveuse optique de précision

Soudeuse optique Protections d’épissure

19
Figure 15 : Pack de démarrage
Les étapes 4 et 5 de cette méthode sont les plus importantes pour obtenir de bons résultats,
en effet la qualité de la soudure optique va dépendre de la qualité du nettoyage mais
surtout de celle du clivage de la fibre.

1.1. La soudure optique


1.1.1. Le détubage/dégainage
Le but de cette étape est de faire apparaître la fibre optique avec sa gaine de 250µm pour
cela nous allons nous munir d’une « pince à détuber » / « pince à dégainer » adaptée au
tube (câble optique) / à la gaine (2mm ou 3mm).
Dans le cas de la gaine de 3mm il existe à l’intérieur de cette dernière une protection en
Kevlar® que l’on coupera grâce aux « ciseaux à Kevlar® ».
1.1.2. La mise en place de la protection d’épissure
Avant de dégainer et surtout avant de nettoyer la fibre, il est important de placer la
« protection d’épissure » (aussi appelée « smooves » ou rétreint) ceci afin de ne pas abimer la
fibre préparée en enfilant la protection.
Nous placerons la protection de façon à ne pas gêner la suite des opérations.

1.1.3. Le dénudage
Une fois la protection mise en place il nous faut maintenant dénuder la fibre afin de faire
apparaitre la gaine optique de la fibre (125µm) le résultat de cette opération est aussi appelé
fibre nue.
Pour cela nous utilisons une « pince à dénuder » idéalement de diamètre fixe et réglé en
usine.

20
1.1.4. Le nettoyage
ATTENTION ETAPE IMPORTANTE
Maintenant que la fibre est mise à nue, il est très important de la nettoyer. Nous utilisons ici
un « dispenseur d’alcool » contenant de « l’alcool isopropylique » avec des « lingettes non
pelucheuses », mais il est aussi possible d’utiliser des « lingettes pré-imprégnées ».

1.1.5. Le clivage
Matériel requis :
Cliveuse :
1) Armer la cliveuse en enfonçant la pièce coulissante.
2) Positionner la fibre en respectant les longueurs de clivage
3) Appuyer sur le couvercle : la fibre est coupée et la chute est recueillie dans le réceptacle
amovible
Le clivage est une étape importante de la préparation de la fibre pour la soudure car c’est la
dernière étape. Elle consiste à couper la fibre avec un angle le plus droit possible (90°±2°) de
façon à ce que les deux extrémités de fibre à souder soient propres, ceci afin de faciliter
l’étape de fusion.
Pour cela nous allons placer la fibre nue dans la « cliveuse de précision », la mise en place de
la fibre dans la cliveuse n’est pas aléatoire, il faut que la partie dénudée de la fibre repose
sur les deux patins en caoutchouc de part et d’autre de la lame afin d’assurer la stabilité de
la fibre durant le passage de la lame.
Les étapes suivantes de clivage peuvent varier en fonction des modèles de cliveuses. Pour
notre modèle il faut refermer le marteau afin de bloquer la fibre puis faire passer la lame
sous la fibre. Lorsque l’on relève le marteau, on peut récupérer la fibre clivée en faisant
attention de ne rien toucher avec l’extrémité de cette dernière (la fibre est en verre et a un
diamètre de 125µm ce qui la rend fragile). Il nous faut maintenant placer notre fibre
préparée dans la soudeuse.

Figure 16 : principaux étapes pour le clivage

21
1.1.6. La mise en place dans la soudeuse
Réaliser les étapes suivantes :
1) Choisir le mode de soudure (standard SMF) et le mode de four (taille de la protection
d’épissure : 40 ou 60 mm). Voir la vidéo du paramétrage de la soudeuse.
2) Mettre en place la fibre préparée dans la soudeuse. Dénuder, nettoyer, cliver et mettre en
place la fibre de l'autre pigtail dans la soudeuse. Voir la vidéo du positionnement.
Ici encore le positionnement de la fibre dans la « soudeuse » n’est pas aléatoire, en effet il
faut la placer dans les supports de la façon suivante.
Tout d’abord il faut que la fibre repose dans l’un des deux V de part et d’autre des électrodes
ensuite il faut que l’extrémité de la fibre soit positionnée au plus près des électrodes mais
sans dépasser ces dernières afin de laisser la place de positionner la deuxième fibre.
Pour la deuxième fibre on recommence les étapes 1 à 6 sans effectuer l’étape 2 étant donné
que la protection d’épissure a déjà été mise en place.

Figure 17 : Position de fibre dans la soudeuse

1.1.7. La fusion
La méthode de fusion est la même pour tous les modèles de soudeuse, mais les réglages de
ces dernières varient d’un modèle à l’autre.
2 types d’alignements sont possibles : l’alignement cœur à cœur ou l’alignement gaine à
gaine.
CF explications des méthodes d’alignement (Lien vers une autre page du site)
Pour lancer la fusion il existe différents modes, soit en automatique (la fusion se lance
automatiquement lorsque l’on ferme le capot de la soudeuse), soit en mode manuel (la
soudeuse attend l’appui sur le bouton de lancement pour effectuer la soudure), soit en
mode semi-automatique (lorsque l’on ferme le capot la soudeuse fait apparaitre les fibres à
l’écran mais ne termine pas la fusion, pour terminer la fusion il faut appuyer sur le bouton de
lancement) cette dernière méthode permet un contrôle visuel de l’état des fibre avant de
lancer la soudure.

22
Évaluer la qualité de la soudure.
Évaluer la qualité de la soudure. La qualité d’une soudure se base sur 2 critères :

➢ L’estimation de perte affichée par la soudeuse qui doit être inférieure à 0,1 dB.

➢ Le contrôle visuel de la soudure. Attention ! La valeur réelle de la perte de soudure ne sera


donnée qu’à la mesure de réflectométrie ou de la puissance optique.

1.1.8. L’ajustement de la protection d’épissure


Une fois la soudure terminée, on va remonter la protection d’épissure afin de placer la
soudure au centre de celle-ci.

1.1.9. La retreinte de la protection d’épissure


Nous allons placer la protection dans le four afin de la retreindre autour de la soudure.
Pour cela il faut maintenir la fibre en tension en tirant légèrement sur les deux bouts autour
de la protection et descendre le tout dans le four en maintenant la tension.
En fonction des modèles, le four peut se lancer automatiquement lorsque son capot se
ferme ou attendre un lancement manuel.

Il est nécessaire de tester le four avant l’utilisation finale afin de déterminer en fonction de
la longueur et de la qualité de la protection utilisée, le temps nécessaire au four pour la
retreindre correctement, l’idéal étant que les extrémités de la protection soient juste
fermées lorsque la chauffe est terminée.
Si l’on ne chauffe pas suffisamment longtemps la protection peut ne pas être fermée, elle ne
jouera pas son rôle de protection contre l’humidité, trop chauffée la protection peut être
altérée et se détériorer avec le temps, donc ne pas assurer son rôle sur le long terme.

1.1.10. Le refroidissement de la protection d’épissure


Une fois le cycle de chauffe terminé, un signal sonore est émis par la soudeuse. Il est alors
possible de sortir la protection du four, en faisant attention, car il est possible que cette
dernière soit encore chaude du fait de la barre métallique présente, Il nous faut donc la

23
placer sur un support de refroidissement en attendant de pouvoir la manipuler sans risque

2. LES CHAMBRES

Les chambres sont construites afin d’assurer le raccordement, le prolongement sou terrain
des câbles de distribution du transport. On distingue des chambres de différentes tailles ;
leur dimension dépend de l’importance de la canalisation. Ce sont donc des ouvrages sur le
trottoir protégés par des dalles légères en bétons arme ont en fente en acier.
Les chambres sont construites conformément à des plans normalisés.

Figure 18 : chambre
2.1. RACCORDEMENT DES CLIENTS

Clients mono fibres


Ordre d’utilisation des sorties de câbles de branchement. On utilisera prioritairement les
sorties situées côté câble de distribution (lorsque ce dernier sera positionné en épi ou en
terminaison).
Rappel :

24
Raccordement du client N°1
Préparation du câble de branchement :
1er étape :
• Oter la gaine extérieure sur 1,30m.
• Couper les renforts souples à 15 cm de l’arrêt de gaine.
• Oter la gaine intérieure blanche jusqu’à 3mm de la gaine noire.
• Couper les renforts souples contenus dans la gaine blanche au ras de cette
dernière

Figure 19 : Préparation de l’entrée de câble sur le contenant

Figure20 : positon des clients au niveau de PB

25
2em étape :
Desserrer l’écrou de compression du joint d’étanchéité.
• A l’aide d’un outil (tournevis petit modèle) transpercer la membrane étanche
du bouchon

Figure 21 : desserrage de bouchon

• Pousser (tournevis gros modèle Ø 5 ou 6mm) le bouchon vers l’intérieur du PB


jusqu’à l’apercevoir.

3em étape :
• Prendre le câble de branchement et humidifier l’extrémité des renforts souples
afin de les regrouper (ne pas porter les mèches aramides au bouchon
• Glisser le câble à travers le joint et pousser complètement le bouchon à
l’intérieur du PB.

26
Figure 22 : position de câble a pénètre dans le PB
4eme étape :
Amener la gaine extérieure du câble 3mm au- delà de la patte de fixation.
• Fixer la gaine extérieure du câble de branchement sur la patte d’arrimage avec l’un
des colliers prévus à cet effet.
• Serré l’écrou de compression du joint d’étanchéité à l’aide d’une clef plate de 27
jusqu’à ce que le joint dépasse de l’écrou d’1 mm maximum.
• Tresser les renforts souples sur 5 cm et terminer par un nœud.
• Entourer la vis de fixation (2 tours) des renforts souples avec les mèches tressées et
visser fermement cette dernière.
• Couper l’excédent de renforts souples au-delà du nœud.

Figure 23 : la position de raccordement des clients


5eme étape :
Fixer la FO 900µ dans le peigne d’entrée de la cassette.
• On commencera par la rainure la plus proche du réservoir de stockage. Articuler
plusieurs fois cette dernière afin de s’assurer qu’il n’y a pas de risque de contrainte ou

27
d’accrochage durant cette opération. Rectifier le positionnement de la fibre dans le
peigne si nécessaire.
• Dénuder la FO à partir d’1 cm au-delà du peigne de fixation.

Nota: on positionnera 2 FO clients par : on positionnera 2 FO clients par : on positionnera 2


FO clients par rainure du peigne rainure du peigne. Dans le cas particulier ou 12 FO e. Dans le
cas particulier ou 12 FO client seraient raccordées dans la même cassette, les 2 premières
rainures du peigne comporteraient 3 FO 900µ client

Les figures suivantes indiquent les positions de raccordement des clients et le sens de
circuler la fibre au niveau de cassette :

28
Figure 24 : position final de la fibre au cassette

29
Cassette N1 avec le client de 1 à 6 raccordée

Cassette N°2 avec le client de 7 à 12 raccordes

30
Figure 25 : PB avant de fermeture

Illustration global PB de client

31
32
33
3. TESTS DES LIAISONS
Lorsque l’installation du câble est terminée et que les fibres ont été équipées de connecteurs,
il est nécessaire de tester les liaisons optiques obtenues afin de vérifier qu’elles rencontrent
les prescriptions des standards internationaux et des fabricants. Les paramètres à considérer
sont :
• L’atténuation au kilomètre
• Les pertes aux jonctions et connecteurs
• Le budget optique de la liaison Ce dernier point permet de vérifier si la puissance du signal
émis est encore suffisante en fin de liaison pour que celui-ci soit interprété correctement par
le récepteur. Ce budget prend en compte l’atténuation de la fibre sur la liaison (atténuation
au kilomètre x longueur de la liaison), les pertes aux connecteurs, les pertes aux
raccordements (splices).

Figure 26 : tester la puissance de signal émis

34
La vérification de l’atténuation au kilomètre permet de vérifier si la pose a été réalisée
correctement. Si la valeur trouvée dépasse les spécifications fabricants, cela signifie que la
mise en œuvre n’a pas respecté les règles énoncées ci-avant.
Les deux tests pratiqués afin de vérifier la qualité de la liaison optique sont:
• Le test de puissance, à l’aide d’un puissance-mètre.
• La réflectométrie que nous décrivons ci-dessous.

RÉFLECTOMÉTRIE

35
Figure 27 : tester au niveau de réflectomètre

Le test de réflectométrie utilise la technique de la rétro diffusion (backscattering). L’appareil


génère une impulsion lumineuse d’une certaine durée, cette impulsion traverse la fibre et à
chaque variation du milieu (connecteur, splice) une petite quantité de ce signal lumineux
revient vers le réflectomètre. Le temps pris par ce signal pour effectuer l’aller-retour et sa
puissance permettent de déterminer l’endroit de l’évènement ainsi que la perte provoquée.
Ce procédé ne nécessite qu’un seul technicien à une des extrémités. Les tests doivent être
réalisés aux différentes longueurs d’onde qui seront utilisées sur les liens optiques et ce dans

36
les deux sens. Une bobine d’amorce est nécessaire en début de liaison afin d’éliminer la zone
morte de l’appareil.

Figure 27 : déterminer l’endroit de l’évènement ainsi que la perte provoquée

Résumé :
Dans ce chapitre, nous avons présenté le cadre de travail dans lequel nous avons effectué le
stage, ce qui nous a permis de mieux comprendre et apprécier le travail abattu par l'ensemble
Du personnel de la sotetel et de comprendre la place qu'occupe cette structure dans le
domaine.

37
4. Conclusion générale

Nous voici arrivé au terme de cette balade intellectuelle, cette balade qui nous a permis
d'acquérir des valeurs comme, l'honnêteté, la ponctualité, le respect de la hiérarchie et la
solidarité et l'esprit d'équipe. La SOTETEL, regorge des hommes et de femmes de hautes
qualifications et plein d'humilité ce qui en partie explique sa prospérité et lui augure des
lendemains meilleurs. Toutefois pour son efficacité sur le terrain et la gestion rationnelle et
dynamique des équipes de terrain nécessite la mise en place d'un système d'information
automatique.

Durant ces quatre semaines de stage passées au sein de la société SOTETEL, j'ai eu la chance
de m'intégrer facilement à la vie professionnelle et de m'adapter au rythme du travail sur les
différents chantiers.

Ma curiosité et la passion que j'ai pour la découverte, surtout dans ce domaine, m'ont permis
d'apprendre beaucoup de nombreux paramètres entrant dans le cadre d'élaboration d'un
projet et de mettre en pratique mes acquis.

De plus, les employés de la SOTETEL qu'ils soient cadres, ingénieurs, ou techniciens, sont
chaleureux et généreux. Ils n'ont jamais hésité à me renseigner, à m'aider ou à m'éclaircir sur
tous les détails du travail à faire. De mon côté, j'ai essayé de leur apporté ma petite
contribution quand l'occasion se présentait.

38

Vous aimerez peut-être aussi