Exemple Mémoire

IS
ANALYSE ET DEVELOPPEMENT D’UN SYSTEME INFORMATISE DE GESTION DES DONNEURS DE

SANG : CAS DU CNTS
M
ANALYSE ET DEVELO PPEMENT D’UN
SYSTEM E INF ORMATISE DE G ESTIO N
DES DONNEURS DE SANG : CAS DU
CNT S

Fatimata Gacko Sogo 1

Institut
Institut Supérieur de Management | Mémoire de fin de cycle présenté Supérieur
par Fatimata Gackode Management
Sogo
ISM/Dakar
SANG : CAS DU CNTS
PLAN
Partie I:cadre général et méthodologique
CHAPITRE I : CADRE GENRAL
SECTION 1 : problématique
SECTION 2 : Les objectifs

1. Objectif général
2. Objectifs spécifiques
Section 3: Les hypothèses de recherche
Section 4: La pertinence du sujet
Section 5: Revue critique de la littérature
Section 6: Difficultés rencontrées
CHAPITRE II: CADRE METHODOLOGIQUE
SECTION 1 : cadre de l’étude
SECTION 2 : Délimitation du cadre de l’étude
SECTION 3: Techniques d’investigation
1. La recherche documentaire
2. Le guide d’entretien
SECTION 4 : Echantillon
2
Institut Supérieur de Management | Mémoire de fin de cycle présenté par Fatimata Gacko Sogo
SANG : CAS DU CNTS
Partie II : Présentation des outils et méthodes d’élaboration

de la Solution informatique
Chapitre III: Etude et analyse de l’existant
Section 1 : Présentation générale du cadre organisationnel
III.1.1.Historique
III.1.2.Organisation
III.1.3.Secteurs d’activités
Section 2 : Identification et présentation de l’existant
III.2.1.délimitation du domaine d’étude
III.2.2.les acteurs
III.2.3. le processus de fonctionnement
III.2.4. technologies utilisées
Section 3 : Analyse et critique de l’existant

III.3.1. Forces
III.3.2. Faiblesse
III.2.3. Solution souhaitée
Chapitre IV: Présentation des outils et méthodes d’élaboration de la

solution
Section 1 : Définition des concepts
IV.1.1. Choix de la méthode de modélisation
IV.1.2. Choix du langage de développement
A. Historique
B. Présentation
C. Les atouts
3
SANG : CAS DU CNTS
IV.1.3. Choix du SGBD
A. Historique
B. Caractéristiques
C. Les avantages
Section 2 : Présentation de l’architecture de conception

IV.2.1. présentation de l’architecture 2-tiers
IV.2.2. Fonctionnement de l’architecture 2-tiers
IV.2.3. Justification de l’architecture 2-tiers
4
SANG : CAS DU CNTS
5
SANG : CAS DU CNTS
Depuis les années 60, l’utilisation de l’informatique ne cesse de s’amplifier .D’abord les
grandes entreprises et les administrations, ensuite dans le domaine de la robotique, celle de la
médecine et dans bien d’autre domaines. L’informatique est un domaine récent et dynamique,
qui poursuit son développement au rythme de l'évolution rapide de la technologie et des
avancées théoriques de la science de l'information. Ces progrès ont un impact important sur
toutes les branches scientifiques qui l'utilisent ou interagissent avec elle. Divers domaines
interdisciplinaires sont ainsi nés sous l'impulsion de l'informatique : l'informatique médicale,
les systèmes d'information géographiques, l'informatique de gestion, l'informatique juridique,
la bioinformatique, l'informatique linguistique, pour ne citer que quelques exemples.
Dans les secteurs public comme privé, la technologie informatique a favorisé la

réorganisation des méthodes d'administration, le développement de compétences nouvelles et
diverses et l'établissement d'unités d'organisation nouvelles pour fournir et soutenir des
services automatisés, ainsi que l'émergence d'attitudes nouvelles quant aux avantages de
l'informatique et aux meilleurs moyens de l'utiliser. Son impact dans la quasi-totalité des
secteurs d’activité fait qu’aujourd’hui on parle de société de l’information. Le besoin de
facilité, l’efficacité et la fiabilité dans la résolution des problèmes et dans la réalisation des
tâches est devenu énorme et pousse les entrepreneurs à doter leurs entreprises des systèmes
de gestion de base de données1. Cependant, il existe encore des pays tel que le Sénégal où le
niveau d’utilisation des technologies n’est que très peu développé surtout dans le domaine de
hospitalier ou bon nombre de structures utilisent encore des méthodes archaïques quant à la
gestion des informations.
En effet, au Sénégal, seuls trente cinq mille (35000) 2don de sang sont réalisés en moyenne
chaque année, alors que selon les normes de l'OMS, le nombre de dons prélevés requis pour
chaque pays doit correspondre au moins à 2% de la population, soit deux cents mille (200000)
pour le Sénégal. L'insuffisance du nombre de dons de sang réalisés au Sénégal est aggravée
par le fait que 15 à 20% des dons recueillis ne peuvent être utilisés principalement à cause
1
Le système de gestion de base de données(SGBD) est un logiciel système destiné à stocker et à partager des
informations dans une base de données, en garantissant la qualité, la pérennité et la confidentialité des informations,
tout en cachant la complexité des opérations.
2
Source :www.informationhospitaliere.com › Thématique médicale
6
SANG : CAS DU CNTS
d'agents infectieux dont le virus de l'hépatite B qui représente à lui seul 14% des causes de
non utilisation des dons de sang prélevés.
La conséquence de ce problème est une insuffisance permanente en produits sanguins, pour

les patients qui en ont besoin, principalement les femmes au cours de
l'accouchement souffrant d'anémie et de paludisme, mais également pour les services de
chirurgie. La volonté des autorités publiques de réduire la mortalité en générale due surtout à
l’indisponibilité immédiate de sang au moment où on en a besoin tarde à se réaliser et pour
cause le déficit constaté dans les banques de sang.
Ceci permet ainsi de donner toute son importance au développement d’un système qui
permettrait de prendre en charge la gestion des donneurs de sang pour une structure comme le
CNTS, et demeure en effet aujourd’hui un enjeu majeur pour le système hospitalier en
général et de l’hématologie en particulier. C’est dans cette ordre d’idée que s’inscrit ce
mémoire qui devrait nous permettre non seulement d’avoir une notion beaucoup plus large
des technologies dans ce domaine mais également de pouvoir mesurer son importance et ses
effets dans le système hospitalier.
Tel est donc l’objet de notre étude qui, dans une première partie, présente le cadre général et
méthodologique qui traite respectivement des raisons de l’étude et de la démarche suivie.
Dans la deuxième partie, il s’agira de présenter le centre national de transfusion

sanguine dans le troisième chapitre et les technologies utilisées pour le développement du
système dans le quatrième chapitre.
La troisième partie, quant à elle, est consacrée à l’explication de l’application

développée de la conception jusqu’à la réalisation. Cette partie est composée de deux
chapitres qui traiteront respectivement de la mise en œuvre de la solution au chapitre
cinquième et de la Présentation de la solution et recommandations au chapitre sixième.
7
SANG : CAS DU CNTS
Première Partie :
Cette partie traite du cadre général qui retrace le

« POURQUOI » de l’étude et du cadre méthodologique ayant
pour but d’exposer le « COMMENT » de la recherche.
8
SANG : CAS DU CNTS
CHAPITRE I : CADRE GENERAL
SECTION 1 : problématique
Le monde se définit à présent comme société de l'information dans laquelle se

généralise l'usage d'information et de TIC à bas coûts, ou plus généralement comme société
de la connaissance dans laquelle le savoir, la créativité, l'innovation, l’investissement en
capital humain et social est autant de facteurs clés. Cette société s'intéresse aussi à l'impact de
la création et de la diffusion des connaissances sur le développement économique. Le
développement de l'intelligence économique3 traduit cette intégration de l’économie du
savoir dans les entreprises et les territoires.
L’informatique est aujourd’hui présente dans la plupart des domaines de la vie

professionnelle et privée. Celle ci occupe bien évidemment une grande place dans les
sciences appliquées, se chargeant notamment des calculs complexes requis dans les grandes
industries. Elle intervient également dans les entreprises, les banques, les assurances, les
commerces mais aussi dans le domaine de la médecine. De nos jours le secteur de la santé est
sans doute l’un des domaines où les TIC ont subi les mutations les plus importantes, non pas
parce qu’elles étaient considérables, mais qu’elles partaient de loin.
En effet, dans les années 90, il y a 23 ans de cela, peu de médecins avaient un
ordinateur, et parmi eux, peu lui trouvaient un intérêt pratique. Du côté du public, le parc
informatique était peu développé. Force est de constater que désormais pratiquement les
Hommes utilisent de plus en plus l’ordinateur pour les besoins de son travail ou tout
simplement pour prendre du bon temps. Les impacts positifs des TIC sont d'autant plus
marqués lorsqu'ils s'accompagnent d'autres changements comme l'amélioration des
3
L’intelligence économique est est l'ensemble des activités coordonnées de collecte, de traitement (d'analyse) et de
diffusion de l'information utile aux acteurs économiques.
9
SANG : CAS DU CNTS
compétences ou les évolutions organisationnelles ( workflows4, mobilité, télétravail5).A

l'inverse, à défaut d'exploitation et d'intégration suffisante des TIC dans son Système
d'Information6(SI), l'entreprise risque la fracture numérique. Cela signifie que l’insuffisance
d'accès au TIC dans l’organisation est de nature à aggraver les écarts économiques du fait que
les autres entreprises et notamment ses concurrentes directes les utilisent de plus en plus pour
fonctionner de manière efficiente et efficace.
Ainsi, on assiste à la création des applications commerciales, à l’émergence de l’e-

commerce et du panier shopping. Parallèlement les Catalogues produits et les encyclopédies
en ligne font leur essor on parlera des lors du web 1.07 encore appelé web traditionnel
8
(1991-1999). Successivement le web social ou 2.0 (2000-2009) change totalement de
perspective : avec la multiplication des applications participatives pour communiquer,
partager, transformer des données (RSS & XML) etc. Depuis 2010 on n’ait entrée dans l’ère
de la connaissance avec le web sémantique (3.09) qui traite les données avec performance et
précision et permet aujourd’hui l’universalité du savoir.
Par ailleurs, en dépit de son développement spectaculaire le niveau d’utilisation des TIC reste
encore précaire dans certain pays d’Afrique notamment dans le secteur hospitalier.
En effet, le développement des technologies de l’information et de la communication (TIC)

Constitue aujourd’hui un élément structurant de la politique de santé. Les TIC offrent des
perspectives majeures pour l’amélioration de la qualité, de la sécurité et de l’efficience des
soins. Au Sénégal, l’intégration des TIC dans les pratiques médicales a été promue à
4
Workflow est la représentation d'une suite de tâches ou opérations effectuées par une personne, un groupe de
personnes, un organisme, etc. Le terme flow renvoie au passage du produit, du document, de l'information, etc., d'une
étape à l'autre.
5
Le télétravail désigne une organisation du travail qui permet aux salariés d'exercer leur activité en dehors des locaux
professionnels grâce aux technologies de l'information et de la communication (Internet, téléphonie mobile, fax, etc.)
6
Un système d’information est (SI) est un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel, données
et procédures) qui permet de collecter, regrouper, classifier, traiter et diffuser de l'information sur un environnement
donné.
7
Le web 1.0 est un web statique, centré sur la distribution d’informations.
8
Le web 2.0 privilégie la dimension de partage et d’échange d’informations et de contenus (textes, vidéos, images ou autres).
9
Le web 3.0 vise à organiser la masse d’informations disponibles en fonction du contexte et des besoins de chaque utilisateur, en
tenant compte de sa localisation, de ses préférences, etc. C’est un web qui tente de donner sens aux données.
10
SANG : CAS DU CNTS
Travers différents programmes à savoir la télétransmission10 de la feuille de soins, le

programme de médicalisation des systèmes d’informations dans les hôpitaux, ou encore
l’automatisation des dossiers médicaux personnels.
Ainsi les besoins de contrôle et de suivi sanitaire sont non seulement énormes, mais ils
ne cessent de croître compte tenu des exigences d’élévation du bien-être individuel et
collectif.
La transfusion sanguine consiste au fait qu'une personne (receveur) reçoive du sang à travers
une perfusion. Ce sang provient d'une autre personne (donneur) qui est sain, qui a fait un geste
humanitaire de donner du sang. Les donneurs jouent un rôle clé dans les traitements médicaux
et chirurgicaux. Tout le monde peut avoir besoin du sang à un moment ou à un autre ; une
maladie ou un accident grave peut survenir n'importe où dans le monde, pendant l'activité
quotidienne ou en voyage, entraînant des pertes de sang si abondantes qu'elles mettent la vie
en danger. Il est donc dans l'intérêt de tous qu'il existe des réserves de sang et de produits
sanguins dans le monde entier mais aussi dans notre pays.
Ces mesures peuvent être prises en continuant de considérer le sang comme un produit vital
particulier du fait que ce soit un produit thérapeutique d’origine humaine. Aujourd’hui le
centre a un environnement médicaux-technique vétuste, la réglementation est inadaptée et les
infrastructures délaissées, l’informatisation de tout le système est une solution pour juguler
la non-conformité dont souffre le CNTS.
Ainsi, la montée en puissance des TIC mérite qu’on s’interroge sur la capacité de l’entreprise
formelle dont le CNTS à s’approprier ces nouveaux modes de production, d’échanges et de
gestion du savoir. L’arrivée en force de ces technologies pose au sein de ces structures deux
principales questions :
Comment mettre en place un système de gestion automatisé des donneurs de sang au niveau
du centre national de transfusion sanguine ?
Quels sont les avantages que peuvent lui procurer un système automatisé de gestion des
donneurs de sang?
10
La télétransmission nomme l'échange informatique entre les différents acteurs de la santé. Source :
www.assurprox.com
11
SANG : CAS DU CNTS
Quel système de suivi faut-il mettre en place pour la gestion des donneurs de sang ?
Comment mettre en œuvre une gestion plus efficace des données relatives aux donneurs de
sang au CNTS ?
SECTION 2 : Les objectifs

Dans cette étude nous avons un objectif général et des objectifs spécifiques
1. Objectif général
Notre objectif principal est de développer un système qui permet de gérer les informations
portant sur les donneurs de sang au Centre National de Transfusion Sanguine de leur
inscription à la mise en disposition du sang qui est récolté à leur niveau.
2. Objectifs spécifiques
De l’objectif général donné en amont, il découle trois spécifiques.
ü Faire une analyse du système existant au sein du centre national de

transfusion sanguine
ü Procéder à une mise en place d’une application à travers la méthode
UML
ü Maitriser la gestion des données informatique pour gérer la totalité du
cycle de transfusion.
Section 3: Les hypothèses de recherche
Dans le cadre de cette étude nous essayerons de vérifier les hypothèses suivantes que sont
Hypothèse 1 : l’introduction d’un système de gestion automatisé au sein du centre

national de transfusion sanguine permettra une meilleure gestion optimale et efficace
de l’ensemble des donneurs de sang.
12
SANG : CAS DU CNTS
Hypothèse 2 :L’application permettra au CNTS de mettre à la disposition des parties

prenantes toutes les informations relatives aux donneurs et constitue ainsi un moyen
fiable et rapide du prélèvement sur le donneur à la transfusion du patient.
Hypothèse 3 : Ce système facilitera également un meilleur approvisionnement des

banques de sang dans les structures de santé et par delà, une réduction de la mortalité
maternelle et infantile.
Section 4: La pertinence du sujet
La montée en puissance des technologies de l’information et de la communication

suppose une évolution positive de la qualité de vie dans tous les domaines. Maintenant, il est
possible de payer ses dépenses, travailler à domicile, et même suivre des cours ou recevoir
des informations liées à son travail à distance. Ainsi dans le souci de voir les services publics
et privés qui disposent des systèmes de gestion classiques soient munis de systèmes
automatisés plus performant pour assurer la bonne qualité de leur travail et donc un bon
rendement.
En effet, la transfusion est une pratique qui existe depuis la 1ère guerre mondiale (1914-
1918).C'est dans des situations d'urgence, guerre, catastrophe naturelle, accident à grande
échelle ou conflit humain, que la nécessité d'un service de transfusion sanguine efficace se fait
sentir. En présence de tels événements, les services transfusionnels sont très sollicités, ainsi il
importe d'avoir toujours des stocks de sang pour parer à ces incidents.
La transfusion sanguine au Sénégal est encore caractérisée par une faible proportion : 50.000
donneurs soit 0,25%. 11Les procédures de préparation des produits sanguins ne respectent pas
toujours les normes internationales requises et surtout la faiblesse de la réglementation qui est
soit absente, soit non appliquée convenablement à la lettre. Dans ces conditions, les efforts
devraient se concentrer sur les moyens d’inciter les gouvernements à considérer la transfusion
sanguine comme une priorité en l’aidant à mettre en œuvre une bonne organisation de leur
système transfusionnel à travers des politiques cohérentes.
11
Source : www.sist.sn
13
SANG : CAS DU CNTS
C'est dés lors les structures sanitaires, en particulier le CNTS gagnerais beaucoup en
intégrant dans leur stratégie de développement un système automatisé en ce qui concerne la
gestion des donneurs de sang d’où l’intérêt de mettre en place et d’implanter cette application
qui permettra d’abord, aux hôpitaux, de faciliter l’accès aux informations relatives aux dons
de sang.
Ensuite elle permettra au CNTS de mieux organiser la gestion des dons afin d’assurer la
communication et un contact permanent avec le donneur pour des besoins futur.
Section 5 : La revue critique de littérature

Afin de mieux appréhender notre sujet, il s’est agit pour nous de mener une recherche
documentaire axée surtout sur des ouvrages et articles traitant en autres des impacts du
développement des TIC sur la vie des entreprises, des enjeux d’une politique des TIC au sein
des entreprises, de la méthodologie de développement en micro-informatique, des notions de
base en programmation.
Dans son ouvrage intitulé « L’ENTREPRISE De La DEUXIEME ERE », DON

12
TAPSCOTT et ART CASTON expliquent les conséquences profondes, engendrées par les
bouleversements technologiques, sur les processus de travail et la stratégie des entreprises.
Fondés sur leurs expériences pratiques vécues dans le Cabinet de conseil DMR, ils révèlent
les promesses des nouvelles technologies et esquissent un modèle pour l’entreprise de demain.
Pour finir ils démontrent comment tirer parti à court terme de ces mutations, mais aussi
comment mener à bien des réformes à long terme pour entrer dans l’entreprise de la deuxième
ère.
En effet, cet ouvrage nous a permis d’appréhender l’évolution et les conséquences de

l’informatique au sein des entreprises, nous trouvons que le champ de l’étude était trop
restreint puisque ne faisant référence essentiellement qu’aux entreprises américaines.
12
DON TAPSCOTT et ART CASTON, « L’ENTREPRISE DE LA DEUXIEME ERE », Edition DUNOD,
juillet 1994.
14
SANG : CAS DU CNTS
C’est en ce sens que Michael SCOTT MORTON13, dans son ouvrage « L’Entreprise
Compétitive au futur », de démontrer que les technologies de l’information ont modifié
profondément notre monde. L’accélération des performances des technologies de
l’information depuis quarante ans permet aujourd’hui de supprimer les barrières de la distance
et du temps.
Poursuivant sa démonstration, il identifie trois domaines qui sont au cœur de la révolution

technologique :
Ø Le transport de l’information, profondément amélioré avec le développement de

nouveaux réseaux et l’apparition de normes permettant de faciliter la connectivité des
réseaux entre eux, amélioré par l’augmentation du débit par unité de temps qui permet
désormais d’envisager le transport de la voix et de la vidéo ;
Ø L’accès partagé à une information pertinente, rendue possible grâce à l’apparition des
bases de données relationnelles Multiutilisateur, capables de retrouver et de traiter les
informations pertinentes ;
Ø l’apparition de stations de travail, devenues intelligentes et capables d’effectuer des
processus complexes avec des logiciels.
Ces trois domaines d’amélioration vont offrir aux entreprises des augmentations
spectaculaires de la connectivité entre les différents processus de l’entreprise et des
organisations qui évoluent avec elles.
Parallèlement, Jacques CHAMPEAUX et Christian BRET14, à travers leur ouvrage « La

Cyber entreprise », essayent de montrer les enjeux véritables d'une politique TIC, ainsi que
leurs moyens de mise en œuvre, tout en s'interrogeant sur les conséquences d'une telle
dématérialisation de l'entreprise. S'appuyant sur de nombreux exemples puisés dans tous les
secteurs, ils analysent l'ensemble des activités de l'entreprise pouvant être transformées et
articulées par une politique TIC. Ils proposent 10 clés pour une meilleure approche des TIC et
donnent une vision claire des solutions à mettre en œuvre et de leurs conséquences sur
l'organisation et le management.
13
Michael SCOTT MORTON, « l’Entreprise Compétitive au Futur », Les Editions d’Organisation, Jouve, Paris,
1995.
14
Jacques CHAMPEAUX et Christian BRET, « La Cyberentreprise », DUNOD, France, 2000.
15
SANG : CAS DU CNTS
Nous portons un grand intérêt à cet ouvrage car il nous a aidés à comprendre comment
une bonne politique des TIC peut transformer la manière d’exercer chaque activité de
l’entreprise.
Dans « Méthode de développement micro-informatique »SORNET Jacques15 nous explique

non seulement les démarches à adopter et les étapes d’un développement en informatique, les
principes et la mise en œuvre de la structuration des données mais aussi nous présente un cas
pratique détaillé de la conception jusqu’à la réalisation. Pour lui, le développement d’un projet
est une succession d’étapes qui aboutissent finalement à la mise en service d’une ou plusieurs
applications.
Cependant la partie concernant les principes de la structuration des données est restée trop
superficielle.
« PHP16 et SQL17 » est un mémento de Cyril Pierre de Geyer, Guillaume Ponçon,

Stéphane Mariel qui, rassemblant toutes les astuces pour maîtriser PHP / SQL, nous a permis
d’appréhender les techniques de développement web. Il explique également les notions de
bases comme les boucles, fonctions, dates, variables, sessions, et des notions un peu plus
avancées. Ces notions nous ont beaucoup aidé dans la programmation.
Parmi les ouvrages exploités pendant la programmation, figure aussi « PHP Précis &
Concis » de Rasmus Lerdorf, le créateur de PHP. Cet ouvrage explique la syntaxe et la
structure de PHP, permettant ainsi à tout développeur de sites web d'apprendre à écrire
rapidement des pages dynamiques. Certes, il met l’accent sur la majorité des fonctions
utilisées en PHP mais les exemples d'utilisation de formulaires sont plutôt sommaires et
semblent insuffisants pour rendre le lecteur vraiment opérationnel.
Section 6: Difficultés rencontrées
15
Jacques SORNET, « Méthode de développement micro-informatique », Les Editions Organisation Universités,
France, 1991.
16
PHP est un langage de programmation souvent utilisé dans les applications web
17
SQL est un langage informatique ayant pour objet le dialogue avec une base de données relationnelle
16
SANG : CAS DU CNTS
Dans le processus de mise en œuvre de notre système, nous avons été confronté à
certaines difficultés notamment le manque de documents, mémoires ou autres portant sur le
sujet traité ou similaire afin que nous ayons une idée claire de la méthodologie à suivre pour
la rédaction d’un sujet aussi pratique que le nôtre.
Mais aussi et surtout des contraintes de temps pour mieux exploiter nos travaux de
recherche. Outre cet aspect qui à ralenti l’avancement de notre travail ce sont les difficultés à
accéder aux sources documentaires du centre national de transfusion sanguine car jugeant à
leur niveau imprudent le partage de certaines informations souvent confidentiel.
CHAPITRE II : CADRE METHODOLOGIQUE
SECTION 1 : LE CADRE DE L’ETUDE
18
Le Sénégal compte aujourd’hui quatorze régions. Il couvre une superficie de 196.722
km² et se situe dans la zone Soudano Sahélienne de l’Afrique Occidentale. La population de
ce pays est essentiellement jeune. Plus de 55% de la population ont moins de 20 ans. Avec un
taux d'accroissement annuel de 2,4%. L'espérance de vie à la naissance estimée à 51 ans pour
les hommes et 53 ans pour les femmes.19
La promotion des services de transfusion sanguine dans se pays, ainsi que la formulation
et la mise en œuvre de la politique nationale de transfusion sanguine ont été recommandées
par l’OMS respectivement en 1975 et en 1994, afin d’assurer une sécurité transfusionnelle
maximale devant la menace que constitue la pandémie du VIH/SIDA.
Les TIC constituent un enjeu crucial pour l'avenir de l'organisation médicale. Il en résulte un
accroissement de la dépendance des hôpitaux et prestataires de soins vis-à-vis des TIC à son
utilité, notamment comme facteur d'amélioration de la qualité des soins.
18
Source: www.sante.gov.ma
19
Source : sante.gouv.sn
17
SANG : CAS DU CNTS
Cependant malgré son long passé en pratiques transfusionnelles et les nombreux acquis
dans ce domaine, les centres hospitaliers traine encore des insuffisances dans son dispositif
administratif en l’occurrence la bonne gestion et le suivit du processus de transfusion. C’est
dans ce contexte que nous avons choisi comme cadre d’étude le CNTS. En effet, le Centre
National de Transfusion sanguine (CNTS), créé en avril 1951, est la structure en charge de
l’activité transfusionnelle dans notre pays.
Sa mission principale est d’assurer l’approvisionnement adéquat de l’ensemble du pays en

produits sanguins tout en garantissant la sécurité transfusionnelle.
Section 2:La délimitation du champ de l’étude
L’étude porte essentiellement sur la mise en place et l’implémentation d’un système

automatisé de gestion des donneurs de sang.
En effet, le centre de transfusion sanguine comprend
Ø Les organes de décision et de concertation : ce sont le conseil d'administration qui est

un organe de définition de la politique de gestion du CNTS.
Ø Le service administratif et financier : il est chargé des affaires administratifs et de la
gestion des finances de l'établissement.
Ø Le service de laboratoire : il a pour mission les analyses médicales et qualification
biologique c'est-à-dire l'analyse des produits sanguins provenant des dons de sang et
des prélèvements sanguins des particuliers (malades externes).
Ø L'unité d'hématologie clinique est spécialisée de la prise en charge médicales des
maladies du sang, principalement les drépanocytaires et les hémophilies.
Ø Le service du sang a pour volet la transfusion, sa politique consiste à produire du sang
en qualité et en quantité aux différentes structures.
Toutefois notre étude se limite uniquement au service du sang précisément à la gestion de

l’enregistrement des donneurs avec l’ensemble des paramètres à prendre en compte du
18
SANG : CAS DU CNTS
recrutement du donneur à la transfusion au patient en passant par le prélèvement. Nous avons

porté ce choix car soucieux de voir les services publics notamment le CNTS jouissant d ‘un
dispositif de gestion classique se voir muni d’un système automatisé pour une meilleure
optimisation du processus de transfusion. Ce dernier demeure en effet un enjeu majeur pour le
service en charge de l’hématologie au niveau de la structure.
Section 3: les instruments de collecte des données
Il s’agit de l’ensemble des moyens mis en œuvre pour recueillir des informations relatives
à notre étude. Pour explorer le sujet, nous avons effectué :
Ø La recherche documentaire
Pour mieux cerner notre sujet, la première technique d’investigation est la

recherche documentaire qui consiste à recenser toutes les informations
relative au thème que l’on veut étudier. Concernant notre thème nous avons
effectué des recherches au niveau de la direction du CNTS mais aussi sur
internet et au niveau de la faculté de médecine de l’université de Dakar.
Ø Le guide d’entretien
Pour améliorer l’exactitude de nos recherches et répondre aux besoins de

cette direction du CNTS, une connaissance préalable du fonctionnement
nous a été nécessaire. Pour ce faire, nous avons utilisé comme technique de
recherche le guide d’entretien qui nous à permis de faire un entretien avec le
responsable du service. Cela nous à permis de soulever des questions
pertinentes tel que : le fonctionnement du système, les attentes des donneurs
et leur motivation, de la coordination des campagnes de sensibilisation, des
difficultés rencontrées entre autre.
19
SANG : CAS DU CNTS
20
SANG : CAS DU CNTS
Deuxième Partie :
Dans cette deuxième partie, un premier chapitre sera

consacré à la présentation du CNTS, et un deuxième à
l’explication de la plateforme de développement utilisée.
21
SANG : CAS DU CNTS
Chapitre III: Etude et analyse de l’existant
Section 1 : Présentation générale du cadre organisationnel
III.1.1.Historique
Le Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS) de Dakar est un établissement public de

santé doté d'une importante banque de sang.
Le Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS) a été créé le 28 Avril 1951 (62 ans) sous
le nom de Centre Fédéral de Transfusion Sanguine avec pour mission la collecte, le traitement
et la distribution du sang et de ses dérivés dans l'ensemble de l'Afrique Occidentale Française.
Il est devenu un établissement national depuis l'indépendance(1960).
Sa mission principale est d’assurer l’approvisionnement adéquat de l’ensemble du pays en

produits sanguins tout en garantissant la sécurité transfusionnelle. Son organisation est
principalement basée sur le système des banques de sang hospitalières.
Le CNTS comprend une direction générale et des directions administratives et techniques. La
Direction de la Communication et de la Promotion du Don de Sang est chargée de la
coordination de la promotion du don de sang au niveau national.
Les Centres Régionaux de Transfusion Sanguine(CRTS) sont les unités opérationnelles du
CNTS et sont sous sa tutelle administrative, technique et financière; ils sont implantés dans
les chefs-lieux de région et assure ainsi :
ü La collecte du sang
ü la qualification biologique de conservation
ü la préparation des produits sanguins
ü la conservation
ü la distribution aux formations sanitaires (publiques comme privées) habilitées à
pratiquer la transfusion sanguine.
22
SANG : CAS DU CNTS
1 .Missions
ü Le CNTS a pour mission de collecter, traiter et distribuer le sang et ses dérivés

sur toute l'étendue du territoire national.
ü Superviser et centraliser l'ensemble des données techniques et administratives
des banques de sang placées sous sa tutelle.
ü Appuyer la politique gouvernementale en matière de transfusion sanguine.
ü Veiller à la mise en œuvre du programme d'assurance qualité et de sécurité en
matière de transfusion sanguine.
ü Assurer la prise en charge des donneurs, de certaines maladies du sang
nécessitant une hémothérapie et développer la formation et la recherche en
transfusion sanguine.
ü Améliorer la santé des populations par des prestations de qualité et des actions
d'information, d'éducation et de communication.
ü La coordination des systèmes de management de la qualité et d’hémovigilance
2 .Objectifs
§ La sensibilisation et le recrutement au don bénévole du sang.

§ La collecte du sang sur tout le territoire national.
§ La conservation des produits sanguins depuis le prélèvement jusqu'à la distribution.
§ L'approvisionnement des hôpitaux de tout le pays en produits sanguins.
§ L'approvisionnement des CNTS et des banques de sang en réactifs et en matériels de
laboratoires.
III.1.2.Organisation
23
SANG : CAS DU CNTS
Le centre national de transfusion sanguine comprend :
Les organes de décision et de concertation : ce sont le conseil d'administration qui est

un organe de définition de la politique de gestion du CNTS
Le service administratif et financier : il est chargé des affaires administratifs et de la

gestion des finances de l'établissement
Le service de laboratoire : il a pour mission les analyses médicales et qualification

biologique c'est-à-dire l'analyse des produits sanguins provenant des dons de sang et
des prélèvements sanguins des particuliers (malades externes).
L'unité d'hématologie clinique est spécialisée de la prise en charge médicales des

maladies du sang, principalement les drépanocytaires et les hémophilies.
Le service du sang a pour volet la transfusion, sa politique consiste à produire du sang

en qualité et en quantité aux différentes structures.
III.1.3.Secteurs d’activités
Le centre national de transfusion sanguine évolue dans Le secteur hospitalier en particulier

l’hématologie. Sa politique nationale de transfusion sanguine définit le cadre institutionnel et
juridique, ainsi que les objectifs et stratégies à mettre en place pour assurer d’ une part une
disponibilité constante de produits sanguins sur l’ensemble du territoire national, d’autre part
une bonne sécurité transfusionnelle par le respect strict des bonnes pratiques transfusionnelles
Section 2 : Identification et présentation de l’existant
III.2.1.délimitation du domaine d’étude
Les activités du CNTS tournent autour de quatre principaux axes que sont :
24
SANG : CAS DU CNTS
ü La sensibilisation de la population humaine au don de sang, la collecte et la

distribution de sang.
ü Les Activités transfusionnelles qui ont pour taches La collecte de sang (fixe et
équipe mobile) le dépistage des maladies transmises par transfusion, la
distribution de produits sanguins et la supervision des banques de sang.
ü Activités d'hématologie clinique qui s’occupe de la prise en charge des
drépanocytaires prise en charge de l’hémophile et de diagnostic des leucémies
ü Les activités des laboratoires d'analyses qui réalisent l’examen immuno-
hématologie, de sérologie, de biochimie et de recherches en collaboration avec
la faculté de médecine de l'UCAD.
Notre domaine d’étude sera axé essentiellement au niveau des activités transfusionnelles en
l’occurrence la collecte de sang qui se fait normalement au siège du CNTS, aux bureaux
régionaux du CNTS basés surtout dans les hôpitaux de l'intérieur du pays et dans les milieux
de groupement de gens comme dans les camps militaires ou policiers, dans les écoles, instituts
et universités. La transfusion sanguine est donc un acte médical qui consiste à donner du sang
à un malade pour différentes raisons : Accidents, à la suite d'un accouchement difficile, au
cours d'une opération chirurgicale, dans le cas d'une anémie, dans le cas des maladies
infectieuses ou héréditaires.
III.2.2.les acteurs
Les acteurs qui interviennent dans le processus de transfusion sanguine sont : le responsable
administratif chargé de la sélection et du classement des dossiers des donneurs, les médecins
en charge du prélèvement et de l’analyse en l’laboratoire du sang du donneur, les personnes
bénévoles volontaires qui font don de leur sang, et enfin les donneurs familiaux ou de
compensation.
III.2.3. le processus de fonctionnement
Ø L'accueil et l'archive
25
SANG : CAS DU CNTS
Les gens qui se présentent au CNTS ne sont pas tous des donneurs. Ils peuvent être des
particuliers (des demandeurs des examens de sang ou autres sans être donneurs), des EPC (des
gens atteints du VIH et qui sont prises en charge au CNTS).Pour être donneur, il faut qu'un
sujet ait au moins subit un test de sang pour évaluer sa sérologie virale (VIH20, VHB21,
VHC22) et bactérienne. C'est après analyse du sang de résultat négatif qu'avec la volonté du
sujet, celui-ci devient donneur.
L'accueil comprend : l'identification du sujet, le recueil de l'objet de sa visite, son

enregistrement et son orientation suivant son but.
L'archive consiste à bien conserver les fiches des donneurs, ambulants et EPC.
Ø Sélection des donneurs
La sélection des donneurs consiste à faire certaines mesures (tension artérielle et poids) et à
poser une série de questions relatives à la santé d'un sujet en vue de déterminer préalablement
l'état sérologique de ce dernier ou s'il a d'autres problèmes de santé pouvant lui être obstacle
au don de sang. Si après ces mesures et questions, l'infirmier trouve que le sujet est dans les
normes de donner son sang, ce dernier est envoyé chez l'infirmier qui fait le prélèvement de
sang après lui avoir donné une poche et un tube.
Ø Prélèvement du sang
On parle généralement de prélèvement lorsqu'il s'agit d'une petite quantité de sang destiné
uniquement aux tests tandis que pour une quantité de 350ml là, on parle de don. Le sang à
tester est mis dans un tube.
Ø Test du sang
Le test du sang à la CNTS se focalise surtout sur le test du groupe sanguin, le rhésus, la
sérologie virale et s'ajoute le test de sérologie bactérienne pour la Syphilis.
Ø Remise des résultats
20
VIH : virus de l'Immunodéficience Humaine
21
VBH : virus de l’hépatite B
22
VCH :virus de l’hépatite c
26
SANG : CAS DU CNTS
La remise des résultats intervient généralement deux semaines après un don de sang ou un
simple prélèvement. Le remettant informe au récepteur de résultat, parmi les cinq maladies
testées laquelle il porte ou s'il est sain. Et au besoin, le remettant lui informe de son groupe
sanguin.
Ø Préparation et conservation des produits sanguins
La préparation du sang humain ou de ses dérivés, ne peut être effectuée par un médecin ou un
pharmacien ou sous leur direction et leur responsabilité, uniquement dans les établissements
agréés par le ministère chargé de la Santé.
La transfusion sanguine suit certaines lois c'est-à-dire qu'on transfuse du sang iso groupe, iso
rhésus.
Le sang peut être donné aux nécessiteux sous différentes formes :
§ Le sang total
§ Les produits sanguins labiles
§ Les concentrés de globules rouges
§ Le plasma
§ Les plaquettes
Ø Distribution et transport
La délivrance de produits sanguins ne peut se faire que sur la présentation d’une prescription
écrite et signée par un médecin ou produite sous sa responsabilité, et qui précise l’identité du
receveur et son groupe sanguin, le diagnostic, ainsi que la nature et la quantité strictement
nécessaire du produit sanguin à administrer.
Pour une bonne traçabilité, la délivrance de produits sanguins ne peut être que nominative, et
les services de soins doivent pouvoir justifier de l’utilisation effective du produit par retour de
la fiche de confirmation de la transfusion.
Ø Utilisation du sang
La transfusion sanguine doit être effectuée sous la responsabilité d’un médecin. Toute
administration de sang ou de ses dérivés doit être justifiée par une ordonnance médicale
27
SANG : CAS DU CNTS
motivée, sans aucune discrimination. Le patient ne doit être transfusé qu’en cas de nécessité
absolue et il ne doit y avoir aucune motivation financière du prescripteur ou de
l’établissement hospitalier.
III.2.4. technologies utilisées
La situation informatique au CNTS se limite seulement à l'exploitation des logiciels

bureautiques, il n'y a pas d'application informatique spécifique dans les services, les
machines ne sont pas en réseau.
Section 3 : Analyse et critique de l’existant
III.3.1. Forces
Le centre de transfusion présente des atouts considérables notamment avec l’existence de

professeurs qualifiés en transfusion sanguine, un personnel qualifié ; les banques de sang
régionales sont supervisées techniquement par le CNTS et aujourd’hui il y à un regain
d’intérêt de la population qui se traduit par l’augmentation constante du nombre de dons
réalisés depuis plusieurs années mais aussi de la création d’une association nationale des
donneurs de sang et enfin du décret23 n° 2002- 08 du 10 janvier 2002 portant érection du
CNTS en Etablissement Public de Santé (EPS) avec un système de management de la qualité
prend place progressivement .
III.3.2. Faiblesse
Malgré son expansion courant ces dernières années, le centre de transfusion sanguine connaît
des déficits tant au plan matériel, financier qu’humain à savoir une insuffisance des supports
de communication et de personnel, du manque de moyens matériels de l’absence de texte de
loi réglementant la transfusion sanguine à l’échelle nationale.
En outre, Il y a un déficit de communication sociale et de sensibilisation sur la transfusion

sanguine ; la sélection médicale des donneurs de sang n’est pas assurée partout s’y ajoute le
23
Source : Sénégal politique nationale de transfusion sanguine 2006
28
SANG : CAS DU CNTS
manque de coordination dans la gestion des différents Financements le respect des règles de
sécurité transfusionnelle dans les établissements de soins n’est pas toujours assuré s’y ajoute
la multiplicité des structures de transfusion qui ne permet pas d’optimiser les conditions
d’une meilleure sécurité transfusionnelle .
III.2.3. Solution souhaitée
-Mettre en place un système d’information des activités transfusionnelles
-Promouvoir le don de sang volontaire, bénévole et régulier
-Mettre en place un système pérenne de financement du secteur transfusionnel
-Renforcer la sécurité immunologique et infectieuse des produits sanguins
-Intégrer les nouvelles technologies dans le processus transfusionnel
- Réorganiser les banques de sang autour de plateaux techniques bien équipés et dotés d’un
personnel qualifié.
-Assurer la maintenance préventive et curative des équipements
- Renforcer les conditions de transporter bonne conservation des produits sanguins
- Renforcer les conditions de transporter bonne conservation desproduits sanguins
- Développer un système de formation et de recherche en transfusion sanguine
Chapitre IV: Présentation des outils et méthodes d’élaboration de

la solution
SECTION I : Définition des concepts
IV.1.1. Choix de la méthode de modélisation
29
SANG : CAS DU CNTS
Merise et UML sont deux grands principes de modélisation d'un système d'information.
Néanmoins, il existe une grande différence entre ces deux méthodes. Le choix de l'un ou de
l'autre se fait selon trois critères à savoir l'accessibilité, la précision et l'exploitabilité.
Pour le premier critère (accessibilité) MERISE présente l'intérêt d'avoir des modèles logiques
moins détaillés facilement compréhensibles ; tandis qu'UML est conçu pour s'adapter à
n'importe quel langage de programmation orientée objet et présente plusieurs modèles ou
diagrammes dont leurs compréhensions nécessitent une grande attention.
En ce qui concerne le deuxième critère (précision), MERISE est moins préférable. Malgré sa
clarté, il manque une précision du fait qu'elle est éloignée du langage donc difficile à
implémenter alors qu'UML intègre les éléments communs des différents langages, sa volonté
est d'être fidèle à la réalisation finale. Elle est beaucoup plus complète avec ses différents
diagrammes.
Pour en finir avec l'exploitabilité, MERISE est une méthode plus généraliste. Elle donne une
vue globale de la solution sans autant entrer dans les petits détails. Contrairement à UML qui
est conçu pour l'implémentation objet avec ses différents détails et sa portabilité s'adapte à
n'importe quelle plateforme elle est donc plus exploitable.
En effet, l'une ou l'autre des méthodes présente des avantages et des inconvénients. Si on
cherche la précision et l'exploitabilité UML devance MERISE. Tandis que, si c'est la clarté et
l'accessibilité qui sont en question MERISE est préférable.
Notre application gère des données moins complexes d'où merise est la mieux recommandée,
vue qu'elle rend la modélisation plus simple à implémenter.
IV.1.2. Choix du langage de développement
En informatique, un langage de programmation est une notation conventionnelle formelle

destinée à formuler des algorithmes et produire des programmes logiciels qui les appliquent.
D'une manière similaire à une langue naturelle, un langage de programmation est fait
d'un alphabet, un vocabulaire, des règles de grammaire, et des significations.
30
SANG : CAS DU CNTS
Les langages de programmation permettent de décrire d'une part les structures des données
qui seront manipulées par l'appareil informatique, et d'autre part d'indiquer comment sont
effectuées les manipulations, selon quels algorithmes. Ils servent de moyens de
communication par lesquels le programmeur communique avec l'ordinateur, les programmes
étant d'ordinaire écrits, lus, compris et modifiés par une communauté.
Il existe plusieurs langages de programmation représenté par le schéma ci-dessous et montre,

l'année de l'essor du langage ainsi que l'interdépendance entre les différents langages.
Figure 1 : Evolution des langages de programmation
Dans le cadre de notre application, on va surtout s'intéresser au langage Visual Basic car il
fait parti des langages suivant le concept orienté objet qui permet de développer facilement
des interfaces graphiques. C’est un langage facilement accessible et assimilable.
A.HISOTRIQUE
31
SANG : CAS DU CNTS
Visual Basic (VB)24 est un langage de programmation événementielle de troisième génération

ainsi qu'un environnement de développement intégré, créé par Microsoft . Visual Basic est
directement dérivé du BASIC et permet le développement rapide d'applications, la création
d'interfaces utilisateur graphiques, l'accès aux bases de données en utilisant les
technologies DAO, ADO et RDO, ainsi que la création de contrôles ou objets ActiveX. Les
langages de script tels que Visual Basic for Applications et VB Script sont syntaxiquement
proches de Visual Basic, mais s'utilisent et se comportent de façon sensiblement différente.
Visual Basic est un des langages les plus utilisés pour l'écriture d'applications commerciales.
Il a également été très utilisé dans le monde de l'ingénierie et de la recherche appliquée en
raison de sa capacité à permettre des développements très rapides et très efficients permettant
ainsi aux scientifiques de se consacrer davantage à l'algorithmique et moins aux aspects
formels du codage. De façon un peu abrupte, on peut dire que VB corrige le paradigme du
codage informatique.
La dernière mise à jour de Visual Basic est la version 6.0, sortie en 1998. Le support étendu
Microsoft a pris fin en 2008. À partir de la version 7, le Visual Basic subit des changements
substantiels le rapprochant de la plate-forme « dot Net », et qui amènent Microsoft à le
commercialiser sous le nom de Visual Basic .NET.
B.Présentation
Visual Basic est un outil développé par Microsoft pour programmer facilement des
applications fonctionnant sous Microsoft Windows.
Visual Basic est, comme son nom l'indique, un outil visuel permettant de créer sans notion de
programmation l'interface graphique (GUI - Graphical User Interface) en disposant à l'aide de
la souris des éléments graphiques (boutons, images, champs de texte, menus déroulants,...).
L'intérêt de ce langage est de pouvoir associer aux éléments de l'interface des portions de code
associées à des événements (clic de souris, appui sur une touche, ...). Pour cela, Visual Basic
utilise un petit langage de programmation dérivé du BASIC signifiant (Beginners All-Purpose
Symbolic Instruction Code, soit code d'instructions symboliques multi-usage pour les
débutants). Le langage de script utilisé par Visual Basic est nommé à juste titre VB Script, il
s'agit ainsi d'un sous-ensemble de Visual Basic. De plus, ce langage est utilisé pour de
nombreuses autres applications Microsoft tel que Visual Basic à savoir :
24
Source :wikipedia.org
32
SANG : CAS DU CNTS
• Microsoft Access
• Microsoft Active Server Pages
• Microsoft Excel
• Microsoft Internet Explorer
• Microsoft Word
D. Les atouts
VB dispose des qualités reconnues qui nous ont amené à l’adopter dans la mise en place de
notre système, et font de lui un concurrent de poids face aux autres solutions de
programmation .Au nombre de ces qualités on peut citer :
Ø Sa disponibilité dans MS Office

Ø L’accès à toutes les fonctions de Windows
Ø La rapidité de programmation
Ø La facilité d'installation
Ø La simplicité de développement de contrôles personnalisés.
IV.1.3. Choix du SGBD
Le SGBD est un système de stockage de la base de données qui en assure la maintenance.

Les données sont organisées en base de données: ensemble de données logiquement liées. Les
données sont partageables entre plusieurs utilisateurs: programmes d'applications,
interrogations interactives. Le SGBD met à la disposition des utilisateurs des mécanismes de
parcours des informations permettant en particulier de recomposer les liens entre les
informations stockées dans la base.
En effet, il existe quelques facteurs subjectifs qui influent souvent sur le choix du SGBD :
33
SANG : CAS DU CNTS
La politique sécuritaire
Le système d'exploitation hébergeant
Les architectures logicielles et matérielles
La richesse fonctionnelle du SGBDR
Les ressources (disques, mémoire, CPU, Transactions par secondes, nombre de
connexions simultanées…)
Les SGDB utilisés dans le développement d’applications orienté objet sont entre autres
MySQL, Oracle, SQL Server...
En effet, SQL server possède des atouts comme la simplicité, la souplesse, la gratuité,
l’interopérabilité et la portabilité qui font de lui un des modèles de développement les plus
utilisé. C’est pour cette raison que nous avons choisi comme SGBD SQL server management
studio version 2005.
A. Historique
Microsoft SQL Server 25est un système de gestion de base de données (SGBD) ou (SGBDR)
Système de gestion de base de données relationnelles développé et commercialisé par la
société Microsoft.
Bien qu'il ait été initialement co-développé par Sybase et Microsoft, Ashton-Tate a également
été associé à sa première version, sortie en 1989. Cette version est sortie sur les plates-
formes Unix et OS/2. Depuis, Microsoft a porté ce système de base de données sous Windows
et il est désormais uniquement pris en charge par ce système.
En 1994, le partenariat entre les deux sociétés ayant été rompu, Microsoft a sorti la version
6.0 puis 6.5 seul, sur la plate-forme Windows NT.
• Microsoft a continué de commercialiser le moteur de base de données sous le nom de

SQL Server
• Tandis que Sybase, pour éviter toute confusion, a renommé Sybase SQL Server en Sybase
Adaptive Server Enterprise.
25
Source :wikipedia.org
34
SANG : CAS DU CNTS
Microsoft SQL Server fait désormais partie de la stratégie technique de Microsoft en matière
de base de données. Le moteur MSDE, qui est la base de SQL Server, doit à terme remplacer
le moteur Jet (celui qui gère les bases Access) dans les applications telles que Exchange et
Active Directory.
La version 2005 de SQL Server est sortie le 3 novembre 2005 en même temps que Visual
Studio 2005.
B. Caractéristiques de SQL Server Management Studio
SQL Server Management Studio, nouvel environnement intégré dans Microsoft

SQL Server 2005, permet d'avoir accès, de configurer, de gérer, d'administrer et de
développer tous les composants de SQL Server. SQL Server Management Studio associe un
groupe d'outils graphiques à des éditeurs de script performants pour permettre aux
développeurs de tous les niveaux d'avoir accès à SQL Server.
SQL Server Management Studio regroupe, dans un seul environnement, les fonctionnalités
d’Enterprise Manager, de l'Analyseur de requêtes et d’Analysis Manager proposées dans les
versions antérieures de SQL Server. Les développeurs retrouvent des outils familiers et les
administrateurs de base de données ont à leur disposition un outil complet qui associe des
outils graphiques faciles à utiliser à des fonctionnalités de scripts puissantes. SQL Server
Management Studio peut se connecter à toutes les éditions de SQL Server 2005, notamment
SQL Server Express.
A. Les avantages
• Réduit les coûts et accroître l'efficacité du stockage

• Améliorer la gestion des données grâce à des processus automatisés, notamment de
sauvegarde et de restauration
• Réduit le temps et l'espace de stockage nécessaires pour créer des clones de bases de
données SQL Server requis pour le développement et l'évaluation d'applications
35
SANG : CAS DU CNTS
• Protège les données à l'aide de sauvegardes régulières, peu volumineuses et à faible

impact
• Assure la continuité des opérations pour garantir la disponibilité de vos bases de
données SQL Server pendant les opérations de maintenance de routine, les mises à
niveau…
• Met en œuvre une stratégie de reprise après incident capable de restaurer une base de
données défaillante, quelle que soit sa taille, et de restaurer rapidement la disponibilité
de tout le système après un incident.
Section 2. Présentation de l’architecture de conception
Ces deux dernières décennies ont vues une évolution majeure des systèmes
d'information, à savoir le passage d'une architecture centralisée à travers de grosses machines
vers une architecture distribuée basée sur l'utilisation de serveurs et de postes clients grâce à
l'utilisation des PC et des réseaux.
Cette évolution a été possible essentiellement grâce à deux facteurs qui sont : la baisse des
prix de l'informatique personnelle et le développement des réseaux.
En effet, les méthodes et les outils choisis pour concevoir et développer une application
doivent être en fonction de l'environnement et du domaine d'application de celle-ci.
L'architecture logicielle ne peut pas rester indemne, elle doit suivre l'évolution, raison pour
laquelle, on trouve plusieurs architectures sur le marché notamment avec la montée en
puissance des nouvelles technologies.
Ainsi, dans un SI il existe plusieurs types d’architecture de conception parmi lesquelles :
-Les architectures client/serveur

- Les architecture 3-tiers et multi-tiers
-Les architectures distribuées
-Les architectures orientées services (SOA)
36
SANG : CAS DU CNTS
-Les architectures orientées WEB (WOA)
Notre système est une application qui a pour support les bases de données et basée sur
une architecture 2-tiers. Pour ce fait, l’objet de cette section est la présentation et l’explication
du fonctionnement d’une telle architecture.
IV.2.1. présentation de l’architecture 2-tiers
L’architecture à deux niveaux aussi appelée architecture 2-tiers, caractérise les systèmes
clients/serveurs dans lesquels le client demande une ressource et le serveur la lui fournit
directement. Cela signifie que le serveur ne fait pas appel à une autre application afin de
fournir le service. Dans ce cas, on ne différencie pas les traitements des données. Les
Traitements sont totalement réalisés par le serveur. Le middleware26 assure la Transmission
des messages entre le serveur et le client. Il y a bien séparation de l'architecture de l'interface
utilisateur et des traitements mais ces deux parties restent liées par le middleware utilisé
D'une manière générale les architectures 2-tiers suivent des principes qui sont :
Ø l'affichage (User interface)

Ø le traitement (Business logic)
Ø l’accès et le stockage des données (Data Access Object)
IV.2.2. Fonctionnement de l’architecture 2-tiers
Dans une architecture deux tiers, encore appelée client-serveur de première génération ou
client-serveur de données, le poste client se contente de déléguer la gestion des données à un
26
Middleware : Middleware est un ensemble de composants logiciels assurant les interfaces de
communication des données et l'appel éventuel aux traitements entre le serveur et les clients
37
SANG : CAS DU CNTS
service spécialisé. Le cas typique de cette architecture est une application de gestion
fonctionnant sous Windows ou Linux et exploitant un SGBD centralisé.
Ce type d'application permet de tirer partie de la puissance des ordinateurs déployés en réseau
pour fournir à l'utilisateur une interface riche, tout en garantissant la cohérence des données,
qui restent gérées de façon centralisée.
La gestion des données est prise en charge par un SGBD centralisé, s'exécutant le plus
souvent sur un serveur dédié. Ce dernier est interrogé en utilisant un langage de requête27 qui,
le plus souvent, est SQL. Le dialogue entre client et serveur se résume donc à l'envoi de
requêtes et au retour des données correspondant aux requêtes.
Cet échange de messages transite à travers le réseau reliant les deux machines. Il met en
œuvre des mécanismes relativement complexes qui sont, en général, pris en charge par un
middleware.
Le schéma si dessous décrit le processus de fonctionnement de l’architecture niveaux 2.
CLIENT SERVEUR
RESEAU
Moteur SGBD
PRESENTATION
1. Requête
utilisateur
2. Envoi de la
requête
TRAITEMENTS DONNEES
3. Retour de le réponde
Figure 2 : Architecture 2-tiers
27
Une requête est une commande répondant à une syntaxe précise permettant la manipulation d’informations à
l’intérieur d’une base de données. Sources : www.dicodunet.net
38
SANG : CAS DU CNTS
IV.2.3. Justification du choix de l’architecture 2-tiers
On a porté notre choix sur une architecture niveau 2 car nous désirons développer une
application utilisée localement au niveau du CNTS
39

Exemple Mémoire

Transféré par

Informations du document

Copyright

Formats disponibles

Partager ce document

Partager ou intégrer le document

Options de partage

Avez-vous trouvé ce document utile ?

Ce contenu est-il inapproprié ?

Droits d'auteur :

Formats disponibles

Exemple Mémoire

Transféré par

Droits d'auteur :

Formats disponibles

IS

ANALYSE ET DEVELOPPEMENT D’UN SYSTEME INFORMATISE DE GESTION DES DONNEURS DE

Fatimata Gacko Sogo 1

SECTION 2 : Les objectifs

Section 3: Les hypothèses de recherche

Section 4: La pertinence du sujet

Section 5: Revue critique de la littérature

Section 6: Difficultés rencontrées

CHAPITRE II: CADRE METHODOLOGIQUE

SECTION 1 : cadre de l’étude

SECTION 2 : Délimitation du cadre de l’étude

SECTION 3: Techniques d’investigation

Partie II : Présentation des outils et méthodes d’élaboration

Chapitre III: Etude et analyse de l’existant

Section 1 : Présentation générale du cadre organisationnel

Section 2 : Identification et présentation de l’existant

III.2.1.délimitation du domaine d’étude

Section 3 : Analyse et critique de l’existant

Chapitre IV: Présentation des outils et méthodes d’élaboration de la

Section 1 : Définition des concepts

IV.1.1. Choix de la méthode de modélisation

IV.1.2. Choix du langage de développement

IV.1.3. Choix du SGBD

Section 2 : Présentation de l’architecture de conception

IV.2.2. Fonctionnement de l’architecture 2-tiers

IV.2.3. Justification de l’architecture 2-tiers

Dans les secteurs public comme privé, la technologie informatique a favorisé la

La conséquence de ce problème est une insuffisance permanente en produits sanguins, pour

Dans la deuxième partie, il s’agira de présenter le centre national de transfusion

La troisième partie, quant à elle, est consacrée à l’explication de l’application

Cette partie traite du cadre général qui retrace le

CHAPITRE I : CADRE GENERAL

Le monde se définit à présent comme société de l'information dans laquelle se

L’informatique est aujourd’hui présente dans la plupart des domaines de la vie

compétences ou les évolutions organisationnelles ( workflows4, mobilité, télétravail5).A

Ainsi, on assiste à la création des applications commerciales, à l’émergence de l’e-

En effet, le développement des technologies de l’information et de la communication (TIC)

Travers différents programmes à savoir la télétransmission10 de la feuille de soins, le

SECTION 2 : Les objectifs

De l’objectif général donné en amont, il découle trois spécifiques.

ü Faire une analyse du système existant au sein du centre national de

Section 3: Les hypothèses de recherche

Hypothèse 1 : l’introduction d’un système de gestion automatisé au sein du centre

Hypothèse 2 :L’application permettra au CNTS de mettre à la disposition des parties

Hypothèse 3 : Ce système facilitera également un meilleur approvisionnement des

Section 4: La pertinence du sujet

La montée en puissance des technologies de l’information et de la communication

Section 5 : La revue critique de littérature

Dans son ouvrage intitulé « L’ENTREPRISE De La DEUXIEME ERE », DON

En effet, cet ouvrage nous a permis d’appréhender l’évolution et les conséquences de

Poursuivant sa démonstration, il identifie trois domaines qui sont au cœur de la révolution

Ø Le transport de l’information, profondément amélioré avec le développement de

Parallèlement, Jacques CHAMPEAUX et Christian BRET14, à travers leur ouvrage « La

Dans « Méthode de développement micro-informatique »SORNET Jacques15 nous explique

« PHP16 et SQL17 » est un mémento de Cyril Pierre de Geyer, Guillaume Ponçon,

Section 6: Difficultés rencontrées

CHAPITRE II : CADRE METHODOLOGIQUE

SECTION 1 : LE CADRE DE L’ETUDE

Sa mission principale est d’assurer l’approvisionnement adéquat de l’ensemble du pays en

Section 2:La délimitation du champ de l’étude

L’étude porte essentiellement sur la mise en place et l’implémentation d’un système

En effet, le centre de transfusion sanguine comprend

Ø Les organes de décision et de concertation : ce sont le conseil d'administration qui est

Toutefois notre étude se limite uniquement au service du sang précisément à la gestion de