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375
AVANT-PROPOS
Chers candidats,

Nous sommes ravis de vous accompagner dans votre préparation au


concours d’accès à la faculté de médecine et à l’IAV (APESA). Ce livre,
soigneusement conçu conformément au cadre de référence du
concours commun d’accès aux facultés de Médecine, de Pharmacie et
de Médecine Dentaire ainsi qu'à l’APESA, est un outil précieux pour vous
aider à relever ce défi exigeant.

Notre objectif est de vous fournir des questions à choix multiples (QCM)
sélectionnées avec soin, ainsi que des corrections en vidéo pour
chaque question. Grâce à une approche méthodique et une solide
compréhension des concepts, vous pourrez renforcer vos
connaissances et améliorer vos compétences en résolution de
problèmes.

Les QCM couvrent un large éventail de sujets : Biologie,


mathématiques, physique, chimie, tests psychotechniques. Chaque
question est accompagnée d’une explication détaillée dans une
vidéo, vous permettant de comprendre les concepts sous-jacents et
d’approfondir vos connaissances.

Pour rester informé, nous avons également créé un espace dynamique


en ligne centralisant toutes les actualités relatives au concours de
médecine et APESA , telles que les dates des examens, les
modifications du cadre de référence, et des conseils de préparation.

Nous espérons sincèrement que ce livre vous sera d’une grande utilité
dans votre préparation. N’hésitez pas à explorer les QCM, à visionner les
corrections en vidéo et à poser des questions si nécessaire. Bonne
chance dans votre parcours vers le supérieur !

Cordialement, L’équipe éditoriale


Akadimia & VISA SCHOOL

1
Sommaire :

 SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE :


Consommation de la matière organique et flux d’énergie :
- Les réactions cellulaires de libération de l’énergie emmagasinée dans
la matière organique. …………..…………………………………………….……………….... 9
- Rôle du muscle strié dans la conversion de l'énergie …………………………… 14
Nature de l’information génétique (1/2) ……………………………………..…..…………………… 16
Nature de l’information génétique (2/2) ……………………………………..…..…………………… 20
Expression de l’information génétique ………………………………………...…………………….. 28
Les lois statistiques de la transmission des caractères héréditaires chez les
diploïdes ………………………………………..…………………………………………………….………...…… 31
Le génie génétique : principes et techniques …………………………………………..………….. 38
L’hérédité humaine ………………………………………..……….……….………………………………….. 41
La génétique des populations ………………………………………..…………………………………… 46
Immunologie ………………………………………..…………….……………………………………………….. 50

 PHYSIQUE :
Les ondes ………………………………………..……………………………………………………………..…… 57
Transformations nucléaires ………………………………………..………………………………………. 75
Électricité ………………………………………..………………………………………………..………………… 90
Mécanique ………………………………………..………………………………………………………………… 106

 CHIMIE :
Chimie ………………………………………..……………………………………………………………..………… 123

 MATHÉMATIQUE :
Les suites numériques ………………………………………..……………………………………………… 147
Les nombres complexes ………………………………………..…………………………………………… 153
Les fonctions numériques ………………………………………..………………………………………… 160
Géométrie & équations différentielles ………………………………………..……………………… 166
La probabilité ………………………………………..…………………………………………………………….. 169

 TESTS PSYCHOTECHNIQUES | APESA


Tests psychotechniques ………………………………………..……………………………………………. 175

2
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3
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4
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informations pour vous.

5
6
Sciences de la Vie et de la Terre

1
8
CONSOMMATION DE LA MATIÈRE ORGANIQUE ET FLUX D'ENERGIE
Les réactions cellulaires de libération de l’énergie emmagasinée dans la matière organique.

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 A 37 °C une mole de glucose en présence d'oxygène produit :

A. 2 moles de dioxyde de carbone (CO2) et 2 moles d'éthanol,


B. 2 moles d'acide lactique,
C. 30 moles d’ATP,
D. 38 moles d’ATP,
E. 2 moles d'acide pyruvique.

Q2 L’Acétyl-CoA :

A. Est synthétisé au niveau du cytoplasme,


B. Est produit au niveau du cycle de Krebs dans la matrice,
C. Une molécule d’acétyl-CoA produit 15 moles ATP,
D. Réagit avec l'acide citrique pour donner l’acide oxaloacétique
E. Réagit avec l'acide oxaloacétique pour donner l'acide citrique.

Q3 L'acide pyruvique :

A. Est obtenu à partir du cycle de Krebs dans la mitochondrie,


B. Réagit avec l'acide citrique pour donner l’acide oxaloacétique,
C. Réagit avec l'acide oxaloacétique pour donner l'acétyl-CoA,
D. Se transforme en l'acétyl-CoA dans la mitochondrie,
E. Se transforme en acide lactique dans la mitochondrie.

Q4 Parmi les caractéristiques de la fermentation on note :

A. Le rendement énergétique élevé,


SVT : BIOÉNERGIE

B. Le rétablissement du NAD+ qui n'est pas nécessaire pour la


poursuite de la dégradation du glucose,
C. La consommation d'oxygène,
D. La production de 4 molécules d'ATP,
E. La réduction de l’acide pyruvique

9
Q5 La glycolyse :
A. Toutes les étapes de la glycolyse se déroulent dans la
mitochondrie,
B. La fermentation constitue la principale voie de la glycolyse,
C. La respiration aérobie génère moins de molécules d'ATP que la
fermentation,
D. La glycolyse produit de l'acide pyruvique et l'ATP,
E. Une molécule de glucose libère 4 molécules d’ATP.

Q6 Structure de la mitochondrie :
A. La structure de la mitochondrie lui permet de jouer un rôle
secondaire dans le processus de la respiration cellulaire,
B. La mitochondrie se compose d'une membrane interne, d’un
noyau et de la matrice,
C. La mitochondrie se compose d'une membrane interne,
membrane externe, et d’un noyau,
D. La membrane extérieure de la mitochondrie contient des
composés enzymatiques responsables de la phosphorylation de
l'ADP en ATP,
E. La membrane interne contient des composés enzymatiques de la
chaîne respiratoire qui participent aux réactions d'oxydation-
réduction

Q7 Au niveau du cycle de Krebs :


A. La réaction de l'acétyl-CoA se fait au niveau de la membrane
interne de la mitochondrie,
B. L'oxydation d'une molécule de l'acétyl-CoA produit 18 moles
ATP,
C. L'oxydation d'une molécule de l'acétyl-CoA produit 4(NADH, H+)
D. La production de FADH2se fait lors de la transformation du
succinate en fumarate,
E. L’oxydation d'une molécule de l'acétyl-CoA produit :2CO2+ 1ATP
+ 3(NADH,H+) + 1FADH2.

Q8 Le cycle de Krebs :
A. Le glucose est essentiel dans la production d'énergie au niveau
du cycle de Krebs,
B. Les réactions du cycle de Krebs consomment une quantité faible
d’ATP ,
SVT : BIOÉNERGIE

C. Dans le cycle de Krebs chaque molécule d’acétyl-CoA produit 12


ATP,
D. Une molécule de glucose produit dans le cycle de Krebs après sa
dégradation cytoplasmique 64 ATP,
E. Toutes les réponses sont fausses.

10
Q9 La synthèse de l'ATP par l'ATP synthase au cours de la phosphorylation
oxydative a pour source d’énergie directe :

A. Le transfert du phosphate à l'ADP,


B. L'oxydation du glucose,
C. L'acceptation des électrons par le dioxygène,
D. La réduction d’O2,
E. Le gradient électrochimique des protons H+ de part et d’autre de
la membrane interne de la mitochondrie.

Q10 En partant d'une molécule de glucose à l'intérieur de la cellule, la glycolyse


produit :

A. 0 ATP,
B. 15 ATP,
C. 2 ATP,
D. 12 ATP,
E. 36 ATP.

Q11 La source d'énergie directement associée à la synthèse d'ATP durant la


phosphorylation oxydative est :

A. L’oxydation du glucose en CO2et H2O,


B. Le flux des électrons du donneur NADH, H+ jusqu'à l’accepteur
final d'électrons O2
C. Le gradient de protons H+ entre l'espace intermembranaire et la
matrice de la mitochondrie,
D. Le transfert des phosphates des molécules issues de la glycolyse,
du cycle de Krebs vers l’ADP,

Q12 Au niveau d'une fibre musculaire la régénération de l'ATP dans la


mitochondrie se fait :
SVT : BIOÉNERGIE

A. Grâce aux réactions d'oxydoréduction de la chaine respiratoires,


B. Grâce à la dégradation du glucose en éthanol
C. Grâce à la fermentation lactique uniquement ;
D. Exclusivement lors de la glycolyse,
E. Toutes les réponses sont fausses.

11
Q13 Toutes les propositions sont justes sauf une seule :

A. La glycolyse a lieu au niveau de l'hyaloplasme cellulaire,


B. La fermentation nécessite l'oxygène pour la dégradation
incomplète du glucose,
C. Les réactions impliquant l'acétyl-CoA ont lieu dans la matrice
mitochondriale,
D. Au cours de la respiration et à partir d'une molécule de glucose
la cellule produit 38 ATP,
E. La réoxydation de FADH2 et de NADH, H+ a lieu au niveau de la
membrane interne de la mitochondrie.

Q14 Lors de la phosphorylation oxydative se produit :

A. Hydrolyse de l'ATP au niveau des sphères pédonculées,


B. Passage des protons H+ de l'espace intermembranaire vers la
matrice,
C. Réduction des transporteurs NAD+ et FAD,
D. Rejet du CO2,
E. Formation du dioxygène.

Q15 Les réactions de la fermentation alcoolique :

A. Produisent l'éthanol, O2 et ATP,


B. On lieu au niveau de la matrice en l'absence d'oxygène,
C. Produisent l'acide lactique Le CO2 et l'ATP,
D. Ont lieu au niveau de l’hyaloplasme en l'absence d'oxygène,
E. Produisent l’éthanol, l'acide lactique et du CO2.

Q16 Le transfert des électrons au niveau de la chaine respiratoire :

A. Se fait selon un potentiel Rédox décroissant


B. Se fait selon un potentiel Rédox croissant
C. Résulte d’un pompage de protons vers l’espace
SVT : BIOÉNERGIE

intermembranaire
D. Provoque un pompage de protons vers l’espace
intermembranaire
E. Se fait toujours de NADH, H+ vers l’accepteur final d’électrons.

12
Q17 Une suspension de levure est placée dans un milieu riche en glucose. La voie
métabolique qui va normalement avoir lieu dans les cellules de levure que le
dioxygène y soit présent ou absent est :

A. La fermentation alcoolique,
B. La glycolyse,
C. La fermentation lactique,
D. La phosphorylation oxydative,
E. Le cycle de Krebs.

Q18 Le nombre d'ATP produit dans la mitochondrie à partir d'une molécule d'acide
pyruvique est :

A. 12,
B. 15,
C. 10,
D. 20,
E. 30.

Q19 Il existe en réalité 2 grands types de métabolisme utilisant le glucose :

A. La respiration cellulaire aérobie et la fermentation en milieu


aérobie,
B. La respiration cellulaire aérobie et la réduction de l’acide
pyruvique en milieu anaérobie,
C. La respiration cellulaire en milieu anaérobie et la fermentation
en milieu aérobie,
D. La respiration cellulaire en milieu anaérobie et la fermentation
en milieu anaérobie,
E. La respiration cellulaire en milieu anaérobie et la réduction de
l’acide pyruvique en milieu anaérobie.

Q20 En anaérobie la cellule produit à partir d'une molécule de glucose :

A. 2 ATP,
SVT : BIOÉNERGIE

B. 38 ATP,
C. 1 ATP,
D. 15 ATP,
E. 18 ATP.

13
CONSOMMATION DE LA MATIÈRE ORGANIQUE ET FLUX D'ENERGIE
Rôle du muscle strié dans la conversion de l'énergie

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 La réponse isolée du muscle suite à une excitation efficace est :

A. Un potentiel local.
B. Un potentiel d’action.
C. Une secousse musculaire.
D. Un cycle musculaire.

Q2 La production de la chaleur par le muscle s’effectue par l’hydrolyse :


A. De la phosphocréatine.
B. De l’ATP emmagasine.
C. Du glucose.

Q3 Le muscle n’obéit pas à la loi du tout ou rien par le fait que :


A. Le potentiel d’action musculaire a une amplitude proportionnelle à
l’intensité de l’excitation.
B. Le nombre de fibres musculaires recrutées suite à une excitation est
proportionnel à son intensité.
C. Le muscle est un ensemble d’unités motrices relativement
indépendantes.
D. Les fibres musculaires sont liées entre elles .

Q4 L’ATP emmagasinée :

A. N’est pas utilisé par le muscle contracté.


B. Se régénère à partir de l’ATP métabolique.
C. Est la première source utilisée par le muscle au cours de la
contraction.
D. Se régénère immédiatement après son utilisation.

Q5 Le tétanos imparfait résulte :


SVT : MUSCLE

A. D’une fusion partielle.


B. D’une deuxième excitation appliquée au cours de la phase de
relâchement.
C. D’une fusion totale.
D. D’une deuxième excitation appliquée au cours de la phase de
contraction.

14
Q6 Le calcium au cours de l’activité musculaire :
A. Masque les filaments d’actines.
B. Stimule l’hydrolyse de l’ATP par les têtes de myosine.
C. Stimule la reconnaissance de l’actine et la myosine.
D. Permet le pivotement des têtes de myosine.

Q7 En comparaison avec une secousse normale, la secousse de la fatigue est


caractérisée par :
A. Une phase de contraction plus longue.
B. Une amplitude très faible.
C. Un temps de latence plus long.
D. La phase de relâchement plus longue.

Q8 La contraction du muscle strié squelettique :


A. Ne nécessite que l’actine et la myosine.
B. Se déroule en l’absence du calcium.
C. Se manifeste par le rétrécissement des sarcomères.
D. Se traduit par le rétrécissement des myofilaments de myosine.
E. Se traduit par le glissement des filaments d’actines entre les
filaments de myosine.

Q9 Le sarcomère :
A. C’est l’unité contractile des fibres lisses.
B. Est délimite par 2 stries Z.
C. Les filaments fins sont constitués de la myosine.
D. Le changement de la structure spatiale du complexe troponine-
tropomyosine nécessite la fixation du calcium.

Q10 Au cours de la contraction musculaire :


A. Le réticulum sarcoplasmique libère le calcium
B. Il y a élongation de la bande sombre.
C. La myosine se fixe à la troponine.
D. Les mitochondries emmagasinent du calcium.
E. Les fibres musculaires n’utilisent pas l’ATP.

Q11 A l’intérieur de la cellule du muscle strié :


SVT : MUSCLE

A. Les filaments épais sont formes d’actine.


B. On note l’absence des mitochondries.
C. Les filaments fins sont formes d’actines, la troponine et la
tropomyosine.
D. La bande H set formée de filaments épais et des filaments fins.
E. On note la présence d’un seul noyau.

15
NATURE DE L’INFORMATION GÉNÉTIQUE (1/2)

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 La phase de la mitose qui permet de savoir le caryotype :


A. L’anaphase.
B. La prophase.
C. La métaphase.
D. La télophase.
E. L’interphase.

Q2 L’information génétique :
A. Est responsable des caractères héréditaires caractérisant un
individu.
B. Se localise dans le cytoplasme des cellules des êtres vivants
pluricellulaires.
C. Se divise en deux parties non homologues à l’anaphase de la mitose.
D. Porté par les molécules d’ADN dans les cellules des êtres vivants
pluricellulaires.

Q3 Le gène est :
A. Une séquence de nucléotides codant pour une séquence d’acides
aminés.
B. Une séquence de nucléotides codant pour des séquences d’acides
aminés.
C. Un ensemble de séquences de nucléotides codant pour une
séquence d’acides aminés.
D. L’ensemble des molécules d’ADN dans la chromatine du noyau de la
cellule.

Q4 La mitose chez une cellule diploïde :


SVT : NATURE DE L’IFG

A. Produit quatre cellules haploïdes.


B. Sa première phase est caractérisée par l’apparition du nucléole et la
membrane nucléaire.
C. Un processus continue qui se passe en quatre phases.
D. Permet le transfert de l’information génétique de la cellule mère aux
cellules filles.

16
Q5 L’acide désoxyribonucléique (ADN) :
A. Est toujours constitué d’un seul brin.
B. Est une séquence de 4 types de nucléotides
C. Constitue le support de l’information génétique dans la cellule.
D. A une structure bicatenaire, les deux brins ont la même polarité.

Q6 La duplication de l’ADN
A. S’effectue selon le modèle conservatif.
B. S’effectue selon le modèle semi conservatif
C. Débute toujours par l’extrémité de la molécule.
D. Ne respecte pas la complémentarité des bases azotées.

Q7 A l’intérieur du noyau :
A. L’ADN est associé à des protéines.
B. La duplication de l’ADN s’effectue au cours de la prophase.
C. L’ARN se transcrit en ADN au cours de l’interphase.
D. Le nucléole disparait pendant la prophase.

Q8 La transcription de l’ADN :
A. Nécessite l’enzyme ARN polymérase.
B. Se déroule uniquement pendant la phase G1 du cycle cellulaire.
C. Se déroule au niveau des ribosomes.
D. Permet la synthèse de l’ARNm uniquement.

Q9 La mutation :
A. Ne s’effectue pas dans les cellules germinales
B. Se déroule dans n’importe quelle cellule du corps.
C. Permet d’obtenir toujours un nouvel allèle
D. Est toujours prévisible.
SVT : NATURE DE L’IFG

Q10 La mutation :
A. Est toujours silencieuse.
B. Permet la modification au moins d’un nucléotide au niveau du gène.
C. S’exprime toujours au phénotype de l’individu.
D. Cause toujours des maladies héréditaires.

17
Q11 Un gène peut :
A. Avoir un seul allèle.
B. Avoir deux allèles.
C. Être poly alléliques.
D. N’avoir aucun allèle

Q12 La duplication de l’ADN :


A. Fait intervenir uniquement l’enzyme ADN polymérase.
B. La formation de la fourche de réplication débute par l’intervention
de l’enzyme Hélicase qui consomme de l’énergie.

Q13 Le brin d’ADN de la fourche de transcription est stabilisé par :


A. L’intervention de l’enzyme ADN polymérase
B. L’intervention des protéines SSB.

Q14 Parmi les phrases suivantes concernant la réplication de l’ADN, choisir la ou


les bonnes réponses :
A. L’ADN polymérase insère les nucléotides dans le nouvel brin dans
le sens 5 ´ → 3΄
B. La réplication de l’ADN se fait de manière conservatrice absolue.
C. L’enzyme Hélicase permet la séparation des 2 brins d’ADN au point
de départ de la duplication.

Q15 La mutation par substitution au niveau de l’ADN :


A. Est toujours héréditaire.
B. Modifie obligatoirement la séquence des ribonucléotide de l’ARNm.
C. Modifie obligatoirement la séquence des acides aminés dans la
protéine.
D. Modifie obligatoirement la fonction de la protéine.

Q16 Les deux brins d’ADN sont reliés exactement au niveau :


SVT : NATURE DE L’IFG

A. Des molécules de désoxyriboses.


B. Des bases azotées.
C. De l’acide phosphorique.
D. Des nucléotides.
E. Les protéines type histones.

18
Q17 Choisir la réponse ou les réponses correctes :
A. La modification des nucléotides au cours d’une mutation donne à
l’individu de nouveaux caractères non héréditaires.
B. L’ordre des bases azotées qui composent les nucléotides n’est pas
indispensable à la formation de la protéine.
C. La terminaison de la synthèse de la protéine se fait par les codons
UAC ou AUC.
D. La synthèse des protéines s’effectue souvent dans le noyau près de
leurs gènes.
E. La synthèse des protéines débute toujours par l’acide amine la
méthionine
F. On utilise le mot chromosome pour désigner les filaments qui
composent la chromatine pendant l’interphase.
G. Le cycle cellulaire débute par une mitose et se termine par
l’interphase.
H. La duplication conforme de l’ADN au cours de la phase S aboutit à
un dédoublement des filaments nucléaires au cours de la phase G2.
I. Les chromosomes sont des filaments facilement colorables.
J. L’ADN polymérase est l’enzyme responsable de la transcription des
deux brins d’ADN.
K. La formation du fuseau achromatique pendant la prophase
s’effectue par la polymérisation des protéines cytoplasmiques .

Q18 Choisir la réponse fausse (une seule)


A. La molécule d’ARN est formée d’un brin dédoublé.
B. Le transfert de l’information génétique issue de la transcription d’un
gène s’effectue par l’ARNm.
C. Le codon est formé de trois nucléotides.
D. La synthèse des protéines (séquence d’acides aminés) nécessite
l’ARNm.
E. La fixation des acides aminés dans les protéines par l’ARNt demande
de l’énergie libérée par hydrolyse de l’ATP.
SVT : NATURE DE L’IFG

19
NATURE DE L’INFORMATION GÉNÉTIQUE (2/2)

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 Durant la métaphase de la mitose les chromosomes :


A. Sont à deux chromatides condensées constituées chacune d’un brin
d'ADN,
B. Sont à une chromatide décondensée constituée de deux brins
d'ADN,
C. Sont à deux chromatides condensées constituées chacune de deux
brins d'ADN,
D. Sont à un chromatide décondensé constituée d'un brin d'ADN,
E. Sont à deux chromatides décondensées constituées chacune de
deux brins d'ADN.

Q2 L’ADN :
A. est un acide nucléique double brin (double hélice)
B. est une séquence d'acides aminés en double hélice
C. est un acide nucléique simple brin (une seule hélice)
D. est une séquence d'acides aminés formée d'un simple brin

Q3 Une paire de chromosome :


A. comporte deux chromosomes homologues
B. comporte deux chromosomes tellement identiques
C. comporte deux chromosomes portant des gènes différents
D. comporte deux chromosomes portant les mêmes allèles pour tous
les gènes

Q4 Une cellule 2n=20 :


A. comporte 40 paires de chromosomes homologues
B. se compose de 20 paires de chromosomes
C. comporte 20 centrosomes
D. donne par mitose 2 cellules à 2n=20
SVT : NATURE DE L’IFG

Q5 Un nucléotide de l'ADN est composé :


A. d'une base azotée, d'un désoxyribose et d'un acide phosphorique
B. d'une base azotée, d'un ribose et d'un acide nucléique
C. d'une base azotée, d'un désoxyribose et d'un acide nucléique
D. d'une base azotée, d'un ribose et d'un acide phosphorique

20
Q6 Un cycle cellulaire :

A. a une durée identique pour toutes les cellules du corps


B. se compose de l'interphase suivie de la mitose suivante
C. se compose de la mitose suivie de l'interphase suivante
D. précède toujours la mitose d'une cellule

Q7 Le brin transcrit de l'ADN :

A. est orienté 5' → 3'


B. est le brin qui sert de matrice au cours de la traduction
C. correspond au brin sens de l'ADN
D. est formé d'une double hélice
E. correspond au brin non codant de la molécule d'ADN

Q8 La phase du cycle de la division cellulaire qui permet de déterminer la carte


chromosomique :
A. Anaphase
B. Prophase
C. Métaphase
D. Télophase
E. Interphase

Q9 La réplication est dite semi-conservative car :


A. à partir d'une molécule d'ADN bicaténaire "mère", on forme une
nouvelle molécule d'ADN bicaténaire totalement néo-formée,
B. chacun des deux brins de la molécule d'ADN bicaténaire "mère" sert
de matrice pour la formation d'un nouveau brin complémentaire,
C. Aucun brin ne reste intact, les nouveaux brins sont constitués à la
fois d'ADN de la molécule mère et d'ADN néo-formé,
D. la moitié de chaque brin de la molécule d'ADN est conservé.
SVT : NATURE DE L’IFG

Q10 La mitose :
A. une source de diversité génétique,

B. produit2 cellules à partir d'une seule cellule mère toujours


haploïde,
C. conserve toutes les propriétés génétiques de la cellule mère,
D. permet de produire des gamètes mâles,
E. permet de produire des gamètes femelles.

21
Q11 La réplication du matériel génétique se produit :
A. à la fin de chaque cycle cellulaire,
B. implique l'ARN polymérase,
C. pendant la phase G1,
D. au cours de la mitose,
E. avant la mitose.

Q12 La réplication d'une molécule d'ADN :


A. commence au niveau d'un point dit origine de la réplication chez les
procaryotes,
B. Commence chez les eucaryotes par la séparation des deux brins par
l’intervention de l’ADN polymérase au niveau de plusieurs sites du
chromosome,
C. L’enzyme hélicase permet la formation d’un nouveau brin à partie
du brin matrice orienté 5’→3’,
D. se produit chez les procaryotes à plusieurs endroits formant des
yeux de réplication,
E. Watson et Crick sont les deux scientifiques qui ont supposé que la
réplication peut se faire selon les modèles : conservatif, semi
conservatif ou dispersif.

Q13 Lors de l'étude de la structure de la molécule de l'ADN :


A. Chargaff est le scientifique qui a déterminé la quantité des bases
azotées de la molécule d'ADN chez de nombreuses espèces d'êtres
vivants,
B. Chargaff est le scientifique qui a proposé que la molécule d'ADN se
compose de deux chaines antiparallèles,
C. Chargaff est le scientifique qui a démontré que la molécule de l'ADN
est une double hélice,
D. Chargaff est le scientifique qui a démontré que les deux brins d'ADN
sont liés par des liaisons hydrogènes au niveau des bases azotées,
E. Chargaff est le scientifique qui a démontré par la technique des
rayons X que le diamètre de la molécule d'ADN est de 2 nm.
SVT : NATURE DE L’IFG

Q14 Lors de la réplication :


A. l’élongation est continue pour le nouveau brin complémentaire au
brin matrice orienté 3' → 5',
B. l’élongation est discontinue pour le brin matrice orienté 5' → 3',
C. implique l'enzyme ARN polymérase qui progresse dans le sens 5'
→ 3',
D. la primase permet la soudure des fragments d'Okasaki.

22
Q15 La phase G1 du cycle cellulaire :
A. Est caractérisée par une synthèse d'ADN peu importante,
B. se déroule juste avant le cycle cellulaire,
C. Précède la phase de duplication de l'ADN,
D. Caractérisée par une durée fixe peu importe le type de la cellule.

Q16 La phase S du cycle cellulaire :


A. Précède la mitose dans le cycle cellulaire,
B. Caractérisée par un manque de synthèse d'ADN,
C. Caractérisée par la synthèse des ARN messager autre que ceux des
histones,
D. Caractérisée par la synthèse des ARN messager des histones.

Q17 Choisir la proposition vraie parmi la liste suivante relative à la réplication de


l'ADN :
A. les fragments courts d'ADN sont créés sur le brin matrice orienté
3' - 5’,
B. La double hélice d'ADN s'ouvre à l'aide des topo-isomérases,
C. La ARN polymérase synthétise les fragments d'Okazaki,
D. Le brin précoce est synthétisé de façon continue,
E. La fourche se déplace sur le chromosome grâce à l'ADN ligase.

Q18 La réplication de l'ADN chez les bactéries commence au niveau de :


A. une seule origine de réplication et avance dans une seule direction,
B. Plusieurs origines de réplication et avance dans deux directions,
C. deux origines de réplication et avance dans deux directions,
D. une seule origine de réplication et avances dans deux directions.

Q19 Parmi les phrases suivantes concernant la réplication de l'ADN (choisir celle
qui est fausse) :
A. la réplication est semi-conservative,
B. la réplication se fait par la synthèse des nouveaux brins dans le sens
3 '--> 5',
C. la réplication est discontinue sur le brin retardé,
SVT : NATURE DE L’IFG

D. l'ADN polymérase a besoin d'une amorce pour synthétiser l'ADN.

Q20 L’ADN est :


A. composé de deux brins parallèles de même polarité,
B. le support de l’information génétique dans la cellule,
C. une molécule qui n’existe que dans le noyau des eucaryotes,
D. composé toujours d’un seul brin.

23
Q21 Les deux brins de la molécule d’ADN sont liés par :

A. Des molécules de désoxyribose,


B. Des liaisons covalentes,
C. Des molécules d’acides phosphoriques,
D. Des molécules du ribose,
E. Des liaisons hydrogène.

Q22 Les histones sont :


A. Des substances qui favorisent la contraction musculaire,
B. des protéines basiques,
C. des particules qui composent les ribosomes,
D. des enzymes de digestion pendant la phagocytose.

Q23 l'ARN se trouve uniquement au niveau :


A. du noyau,
B. du cytoplasme,
C. du ribosome et du noyau,
D. du hyaloplasme et du noyau,
E. du noyau du cytoplasme et du ribosome.

Q24 Les chromosomes :


A. des filaments d'ARN,
B. des filaments de nucléosides,
C. des filaments d'ADN et des histones,
D. des filaments d'ARN et des histones,
E. des filaments de l'ADN, de l’ARN et des histones.

Q25 L’ARNm :
A. possède les mêmes molécules que l'ADN,
B. a un rôle intermédiaire entre l'ADN et la synthèse des protéines,
C. est synthétisé au niveau des ribosomes cytoplasmiques,
D. Est synthétisé dans le cytoplasme,
E. Est formé par deux chaines polynucléotidiques.
SVT : NATURE DE L’IFG

Q26 Pendant l’anaphase de la mitose :


A. se fait la fissuration longitudinale et complète du centromère,
B. se produit le brassage interchromosomique,
C. le chromosome est formé de 2 chromatides,
D. les chromosomes se transforment en chromatine,
E. se déroule le crossing over.

24
Q27 L’ARN :
A. ARN se compose de seulement 4 types de bases azotées AUCG,
B. ARN se compose de seulement 4 bases azotées ATCG,
C. ARN est une molécule bicaténaire,
D. ARN se trouve exclusivement dans la mitochondrie,
E. ARN se trouve exclusivement dans le noyau.

Q28 L’ADN
A. est constituée de nucléotides, chacun comporte un acide
phosphorique et 4 bases azotées AUCG,
B. est constituée de nucléotides, chacun comporte un acide
phosphorique et 4 bases azotées ATCG,
C. est constituée de nucléotides, chacun comporte un désoxyribose et
4 bases azotées ATCG
D. est constituée de nucléotides, chacun comporte un ribose et 4 bases
azotées ATCG
E. est constituée de nucléotides, chacun comporte un sucre ,une base
azoté et un acide phosphorique

Q29 L’ARNm :
A. représente 90 % de la totalité de l'ARN,
B. est formé au niveau du cytoplasme,
C. est formée à partir de la transcription de 2 brins d'ADN,
D. sa formation ne fait pas intervenir l’ARN polymérase,
E. ARNm joue le rôle d’intermédiaire en transportant l’information
génétique du noyau vers le cytoplasme.

Q30 Le gène:
A. La forme ou les formes que prend le caractère,
B. le plus petit fragment de l'ADN correspondant à un caractère donné,
C. l'ensemble des chromosomes de la cellule,
D. un fragment d’ARN,
E. transmis uniquement par la reproduction asexuée.

Q31 L’ADN du Mycobactérium tuberculosis contient 18,1% de thymine. Quels sont


SVT : NATURE DE L’IFG

les pourcentages des autres bases de cet ADN ?:


A. 31,9% d’Adénine, 31,9% de Cytosine et 18,1% de Guanine,
B. 27,3% d’Adénine, 27,3% de Cytosine et 27,3% de Guanine,
C. 18,1% d’Adénine, 31,9% de Cytosine et 31,9% de Guanine,
D. 31,9% d’Adénine, 18,1% de Cytosine et 31,9% de Guanine,
E. 18,1% d’Adénine, 31,9% de Cytosine et 18,1% de Guanine.

25
Q32 la mitose :
A. favorise la diversité génétique chez les vertébrés,
B. produit2 cellules à partir d'une cellule mère,
C. n’assure la conservation de toutes les caractéristiques de la cellule
mère,
D. est à la base de la production de gamètes mâles,
E. est à la base de production de gamètes femelles.

Q33 la réplication de l'ADN se fait :


A. entre les 2 divisions de la méiose,
B. uniquement avant la mitose,
C. uniquement avant la méiose,
D. avant la deuxième division de la méiose,
E. avant la mitose et la première division de la méiose.

Q34 Les acides nucléiques ADN et ARN :


A. contiennent tous les 2 les mêmes bases nucléiques et ont la même
structure
B. contiennent tous les 2 les mêmes sucres dans leur structure,
C. tous les 2 sont sous forme bicaténaire,
D. tous les 2 ont la même taille,
E. toutes les réponses sont fausses.

Q35 Durant le cycle cellulaire :


A. 2 cellules semblables sont produites,
B. L'ADN est dupliqué lors de la division,
C. L'ADN est dupliqué lors de la métaphase
D. la phase de division est plus longue que l'interphase,
E. 4 cellules semblables sont produites.
SVT : NATURE DE L’IFG

Q36 A propos du gène (la réponse fausse) :


A. il est constitué de nucléotides,
B. il contrôle une protéine spécifique,
C. il est présent dans une molécule d’ADN,
D. il est constitué d'acides aminés,
E. Il peut se présenter sous différentes formes.

26
Q37 Le fuseau achromatique :
A. se forme dans le noyau,
B. disparaît au moment de la métaphase,
C. Disparait pendant la prophase II,
D. facilite la migration des chromosomes,
E. facilite la migration des centromères.

Q38 L’information juste est :

A. un changement de nucléotide crée une mutation donnant un


nouveau caractère non héritable ,

B. la synthèse des protéines se termine au niveau du codon UCA ou à


AUC,

C. la biosynthèse des protéines commence toujours par


l'incorporation de la méthionine,

D. l'ordre des bases azotées formant les nucléotides n'est pas utile
pour la construction des protéines,

E. souvent la biosynthèse des protéines se fait dans le noyau cellulaire


près de leurs gènes.

SVT : NATURE DE L’IFG

27
EXPRESSION DE L’INFORMATION GÉNÉTIQUE

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 La traduction est un processus qui


A. Se déroule dans le noyau.
B. Nécessite de l’énergie.
C. Nécessite l’intervention de l’ARN.
D. Permet la synthèse des acides aminés.

Q2 La synthèse d’un polypeptide dans le cytoplasme :


A. Ne s’effectue qu’au niveau des ribosomes.
B. Nécessite l’intervention de l’ARN polymérase.
C. Produit un polypeptide dont la longueur dépend de la longueur de
la molécule de l’ARNm.

Q3 Le code génétique :
A. Est un système de correspondance des acides aminés et de l’ARNm.
B. Est composé de 20 codons, un codon pour chaque acide aminé.
C. S’écrit par quatre lettres A ; T ; C et G.

Q4 L’ARNm :
A. Est composé de deux brins de nucléotides complémentaires.
B. Est synthétisé au contact de l’ADN polymérase .
C. Permet la synthèse de plusieurs molécules polypeptidiques
identiques dans l’ordre des acides aminés.
D. Permet la synthèse de plusieurs molécules polypeptidiques qui
différent dans l’ordre des acides aminés.

Q5 Lors de l’expression de l’information génétique :


SVT : EXPRESSION DE L’IFG

A. La transcription de l'ADN en ARN prend lieu dans le cytoplasme.


B. L'ARN messager porte des anticodons.
C. Seuls les exons sont transcrits chez les eucaryotes
D. L'ARNm est formé dans le nucléole et migre dans le cytoplasme pour
se lier aux ribosomes.
E. L'ARN prémessager résulte de la transcription des ADN comportant
des exons et des introns.

28
Q6 Combien de nucléotides sont nécessaires pour coder une protéine de 450
acides aminés ?
A. Au moins 450
B. Au plus 450
C. Au moins 1350
D. Au plus 1350
E. Au moins 900

Q7 L’expression de l’information génétique chez les eucaryotes passe par deux


étapes :
A. La transcription au niveau du cytoplasme et la traduction au niveau
du noyau ;
B. La réplication au niveau du noyau et la transcription au niveau du
cytoplasme ;
C. La réplication au niveau du noyau et la traduction au niveau du
cytoplasme ;
D. La réplication au niveau du cytoplasme et la traduction au niveau
du noyau ;
E. La transcription au niveau du noyau et la traduction au niveau du
cytoplasme.

Q8 L’ARN de transfert (ARNt) :


A. S’associe par son anticodon à l’ARNm pour assurer la traduction ;
B. S’associe par son codon à l’ARNm pour assurer la transcription ;
C. S’associe par son anticodon à l’ARNm pour assurer la réplication ;
D. S’associe par son anticodon à l’ARNm pour assurer la transcription ;
E. S’associe par son codon à l’ARNm pour assurer la traduction.

Q9 Un ARN est une molécule :


A. Qui n’existe que dans le cytoplasme des cellules ;
B. Qui ne se lie jamais à une protéine ;
C. Constituée des 4 nucléotides : A, T, G et C ;
D. Qui n’intervient que dans la transcription des gènes ;
E. Qui peut renfermer des codons non-sens.
SVT : EXPRESSION DE L’IFG

Q10 Un des codons pour l’acide aminé glutamine (Gln) est CAG. Son anticodon au
niveau de l’ARNt est :
A. 5’-CUU-3’
B. 5’-GUC-3’
C. 5’-GTG-3’
D. 5’-CUG-3’
E. 5’-GTC-3’

29
Q11 Des bactéries E. coli issues d’un milieu de culture contenant 15N comme seule
source d’azote, sont transférées dans un milieu contenant du 14N où elles sont laissées
pendant deux générations. Après centrifugation de l’ADN extrait de ces bactéries on
obtient :
A. Une bande d’ADN léger ;
B. Une bande d’ADN léger et une bande d’ADN de densité
intermédiaire ;
C. Une bande d’ADN lourd et une bande d’ADN de densité
intermédiaire ;
D. Une bande d’ADN lourd et une bande d’ADN léger;
E. Une bande d’ADN de densité intermédiaire.
SVT : EXPRESSION DE L’IFG

30
LES LOIS STATISTIQUES DE LA TRANSMISSION
DES CARACTÈRES HÉRÉDITAIRES CHEZ LES DIPLOÏDES

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 Concernant les lois statistiques de la transmission des caractères héréditaires


chez les diploïdes, déterminer la réponse correcte :
A. La codominance de deux allèles s’exprime par la disparition des
phénotypes parentaux dans la génération F1 et leur réapparition
dans la génération F2 avec un pourcentage de 20% chacun ;
B. Le crossing-over aboutit à moins de diversité des gamètes ;
C. Le rapprochement des gènes sur les chromosomes augmente la
probabilité du crossing-over ;
D. Si un croisement entre une drosophile avec corps gris et une
drosophile avec corps noir donne la génération F1 homogène,
formée de drosophiles avec corps gris, on déduit que les parents
sont de race pure ;
E. Le test cross est un croisement entre des individus hybrides de la
génération F1 et des individus de race pure bi-récessifs, et donne
50% des phénotypes parentaux et 50% des phénotypes recombinés.

Q2 Il était important que Mendel examine non seulement la génération F1 dans


ses expériences de reproduction, mais aussi la génération F2, car :
A. il a obtenu très peu de descendants F1, ce qui rendait l'analyse
statistique difficile ;
B. les caractères parentaux qui n'ont pas été observés dans la F1 sont
réapparus dans la F2, ce qui suggère que les facteurs héréditaires
n'ont pas vraiment disparu dans la F1 ;
C. l'analyse de la descendance F1 lui aurait permis de découvrir la loi
de disjonction, mais pas la loi d'assortiment indépendant ;
D. les phénotypes dominants étaient visibles dans la génération F2,
mais pas dans la F1 ;
E. l'analyse de la descendance F1 lui aurait permis de découvrir la loi
SVT : LOIS DE MENDEL

de disjonction, mais pas la loi d'homogénéité des hybrides.

Q3 Les gènes sont dits indépendants :


A. S’ils ne se rencontrent pas dans le même gamète.
B. S’ils sont portés par des chromosomes homologues.
C. S’il y a possibilité d’échange de ces gènes par crossing-over.
D. S’ils sont portés par des chromosomes non homologues.
E. Si la distance entre ces deux gènes est inférieure à 50 cMg.

31
Q4 La carte factorielle est représentée par une droite avec les loci (locus) et la
distance séparant les loci de deux gènes :
A. Liés est exprimée en centimorgan (cM) dont 1 cM correspond à 1 %
des types recombinés ;

B. Indépendants est exprimée en centimorgan (cM) dont 1 cM


correspond à 1 % des types recombinés;

C. Liés est exprimée en centimorgan (cM) dont 1 cM correspond à 10


% des types recombinés ;

D. Liés est exprimée en centimorgan (cM) dont 1 cM correspond à 10


% des types parentaux ;

E. Indépendants est exprimée en centimorgan (cM) dont 1 cM


correspond à 1 % des types parentaux.

Q5 L’individu présentant un phénotype récessif :


A. Est homozygote pour l’allèle récessif correspondant au trait étudié.
B. Est hétérozygote pour l’allèle récessif, possédant un allèle dominant
et un allèle récessif.

C. Génère une diversité de gamètes, incluant différentes combinaisons


génétiques.

D. Produit deux types de gamètes pour le locus étudié, influençant la


variation génétique.

E. Peut manifester le phénotype dominant dans certaines conditions


environnementales, dépendant de divers facteurs.

Q6 L’individu homozygote pour un seul caractère possède :


A. Deux allèles identiques situés sur des loci similaires de
chromosomes homologues.

B. Deux allèles identiques situés sur deux loci différents du même


chromosome.

C. Deux allèles distincts situés sur des loci similaires de chromosomes


homologues.
SVT : LOIS DE MENDEL

D. Deux allèles identiques situés sur des loci dissimilaires de


chromosomes non homologues.

E. Deux gènes différents chacun contenant un allèle identique pour le


caractère étudié.

32
Q7 Deux allèles du même gène sont portés par :
A. Le même chromosome, ce qui signifie qu'ils occupent le même
emplacement spécifique sur une seule et même molécule d'ADN.
B. Deux chromosomes différents appartenant à des paires de
chromosomes non homologues, ne partageant ainsi aucun locus
commun.

C. Deux chromosomes homologues, c'est-à-dire les chromosomes de


la même paire, chacun provenant d'un parent différent et portant le
même gène à des loci correspondants.

D. Le même locus de deux chromosomes différents.


E. Deux loci différents du même chromosome, se trouvant à des
emplacements non homologues sur une seule et même molécule
d'ADN, sans correspondance directe entre eux.

Q8 L'explication la plus probable d'un taux élevé de crossing-over entre deux


gènes est la suivante :
A. Les deux gènes sont sur des chromosomes différents ;
B. Les deux gènes sont tous deux situés près du centromère ;
C. Les deux gènes sont liés au sexe ;
D. Les deux gènes codent pour la même protéine ;
E. Les deux gènes sont éloignés l'un de l'autre sur le même
chromosome.

Q9 Le pourcentage obtenu lors d’un croisement (F1xF1) dans le cas du


dihybridisme (dominance absolue) de deux gènes indépendants est :
A. 1/4 + 3/4.
B. 1/2 + 1/4 + 1/4.
C. 9/16 + 3/16 + 3/16 + 1/16.
D. 1/4 + 1/4 + 1/4 + 1/4.
E. 1/8 + 3/8 + 3/8 + 1/8.

Q10 Les lois de Mendel stipulent :


SVT : LOIS DE MENDEL

A. Une pureté des zygotes.


B. Une uniformité des hybrides de la deuxième génération (F2).
C. Une uniformité des pures de la première génération (F1).
D. Une ségrégation indépendante des chromosomes différents.
E. Une ségrégation indépendante des couples d’allèles.

33
Q11 Les proportions obtenues dans la génération F2, dans le cas d’un gène létal
avec monohybridisme sont :
A. 1/2 + 1/2.
B. 1/4 + 1/2 + 1/4.
C. 1/3 + 2/3.
D. 3/4 + 1/4.
E. 1/3 + 3/2.

Q12 Les génotypes des individus de la génération F1 pour le croisement suivant


(n//n Vg//Vg X N//N L//L) sont :
A. Vg//N, L//n.
B. L//Vg, N//n.
C. L//L, N//N.
D. Vg//Vg, n//n.
E. n//N, Vg//L.

Q13 Concernant le monohybridisme et le dihybridisme :


A. Un croisement monohybride implique un seul parent, tandis qu'un
croisement dihybride implique deux parents ;
B. Un croisement monohybride produit une seule progéniture, alors
qu'un croisement dihybride en produit deux ;
C. Un croisement monohybride implique des organismes qui sont
différents par un seul caractère, alors qu'un croisement dihybride
implique des organismes qui sont différents par deux caractères ;
D. Un croisement monohybride est réalisé une seule fois, alors qu'un
croisement dyhibride est réalisé deux fois ;
E. Un croisement monohybride donne un rapport 9:3:3:1 alors qu'un
croisement dihybride donne un rapport 3: I .

Q14 La carte génétique (carte factorielle) est une représentation sous forme d’un
graphique du positionnement :
A. Des chromosomes réalisés en se basant sur le calcul du pourcentage
des gènes liés lors d’un croisement-test.
B. Des chromosomes réalisés en se basant sur le calcul du pourcentage
des recombinés lors d’un croisement-test.
SVT : LOIS DE MENDEL

C. Des gènes sur des chromosomes réalisée en se basant sur le calcul


du pourcentage des gènes indépendants lors d’un croisement-test.
D. Des chromosomes réalisés en se basant sur le calcul du pourcentage
des gènes indépendants lors d’un croisement-test.
E. Des gènes sur les chromosomes réalisés en se basant sur le calcul
du pourcentage des recombinés lors d’un croisement-test.

34
Q15 Soit les croisements suivants :

Croisement 1 : on croise une poule de race pure à crête rosacée avec un coq à crête
simple : on obtient alors uniquement des poulets à crête rosacée.

Croisement 2 : dans la descendance de poulets à pattes courtes, on obtient toujours à


la fois des poulets à pattes courtes et des poulets à pattes normales, dont les
proportions sont de deux poulets à pattes courtes pour un poulet à pattes normales.

Croisement 3 : on croise un coq à crête rosacée et à pattes courtes avec une poule à
crête simple et à pattes normales. On obtient dans la descendance 50% de poulets à
crêtes rosacée et à pattes courtes et 50% de poulets à crêtes rosacée et à pattes
normales.
En se basant sur ces trois croisements, et sachant que les deux gènes étudiés sont
indépendants, on peut écrire ainsi le génotype du coq du croisement 3 (avec R et r pour
la forme de la crête et C et c pour la forme des pattes) :

A. (R//r, C//C)
B. (R//r, C//c)
C. (R//R, C//c)
D. (R//R, C//C)
E. (R//r, c//c)

Q16 Un horticulteur voudrait améliorer son jardin à fleurs. Pour cela, il a croisé une
plante P1, à fleurs blanches et à pied lisse, avec une plante P2 à fleurs roses et à pied
épineux. La première génération F1 est composée de plantes à fleurs roses et à pied
épineux.
Un croisement effectué entre des individus hybride F1 donne une génération
constituée par :
- 126 plantes à fleurs rose et à pied épineux ;
- 59 plantes à fleurs rose et à pied lisse
- 52 plantes à fleurs blanches et à pied épineux ;
- 21 plantes à fleurs blanches et à pied lisses.

Les proportions des phénotypes obtenus à la génération F2 s’expliquent comme suit :


A. Les deux gènes étudiés sont liés et les nouveaux phénotypes résultent
d’un brassage intrachromosomique lors de la formation des gamètes chez
les hybrides F1.
B. Les deux gènes étudiés sont indépendants et les nouveaux phénotypes
résultent d’un brassage intrachromosomique lors de la formation des
gamètes chez les hybrides F1.
C. Les deux gènes étudiés sont liés et les nouveaux phénotypes résultent
SVT : LOIS DE MENDEL

d’un brassage interchromosomique lors de la formation des gamètes chez


les hybrides F1.
D. Les deux gènes étudiés sont indépendants et les nouveaux phénotypes
résultent d’un brassage interchromosomique lors de la formation des
gamètes chez les hybrides F1.
E. Les deux gènes étudiés sont indépendants et les nouveaux phénotypes
résultent d’un brassage intrachromosomique suivi d’un brassage
interchromosomique lors de la formation des gamètes chez les hybrides
F1.

35
Q17 Dans le cas de monohybridisme, le croisement de souris de couleur noire entre
elles donne toujours des souris noires. Alors que le croisement entre souris de couleur
jaune donne 2/3 de souris de couleur jaune et 1/3 de couleur noire. Le gène
responsable de la couleur du corps est :
A. Lié au sexe.
B. Non lié au sexe.
C. Porté par le chromosome 21.
D. Un gène létal suggérant que le génotype homozygote récessif (nn)
est létal.
E. Porté par le chromosome X.

Q18 Un premier croisement entre une drosophile mâle à corps gris et yeux rouges,
avec une drosophile femelle à corps noir et yeux blancs, a donné une génération F1
composée de drosophiles à corps gris avec des mâles aux yeux blancs et des femelles
aux yeux rouges.
Un deuxième croisement entre une drosophile femelle à corps gris et yeux rouges avec
une drosophile mâle à corps noir et yeux blancs, a donné une génération F1 composée
de drosophiles à corps gris et des yeux rouges.
A. Les deux caractères étudiés sont liés sur le chromosome sexuel X.
B. Les mâles et les femelles de drosophile dans le premier et le
deuxième croisement donnent le même nombre de gamètes.
C. Le premier croisement donne 50% de mâles avec un corps gris et
des yeux blancs et 50% de femelles avec un corps gris et des yeux
rouges.
D. Les deux gènes sont indépendants, car le gène de la couleur des
yeux est porté sur le chromosome sexuel X chez la femelle de
drosophile et sur le chromosome sexuel Y chez le mâle de
drosophile.
E. Les parents du premier et du deuxième croisement sont
hétérozygotes pour les deux gènes étudiés.

Q19 On croise deux variétés de plantes de pois, l'une à fleurs axiales rouges et l'autre
à fleurs terminales blanches. Tous les individus F1 ont des fleurs axiales rouges.
Supposant un assortiment indépendant, sur 64 individus de la génération F2, combien
d'entre eux devraient avoir des fleurs terminales rouges ?
A. 4
SVT : LOIS DE MENDEL

B. 8
C. 12
D. 24
E. 36

36
Q20 Chez les oiseaux, le sexe est déterminé par le couple chromosomique ZW. Les
mâles sont ZZ et les femelles sont ZW. Un allèle récessif létal qui provoque la mort de
l'embryon est parfois présent sur le chromosome Z chez les pigeons. Quel serait le
rapport des sexes dans la progéniture d'un croisement entre un mâle hétérozygote
portant l'allèle létal et une femelle normale ?
A. 2 mâles / 1 femelle.
B. 1 mâle / 2 femelles.
C. 1 mâle / 1 femelle.
D. 1 mâle / 4 femelles.
E. 3 mâles / 1 femelle.

SVT : LOIS DE MENDEL

37
LE GÉNIE GÉNÉTIQUE : PRINCIPES ET TECHNIQUES

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 L’obtention de l’ADN d’un gène responsable de la synthèse d’une protéine par


la technique de génie génétique nécessite :
A. L’extraction de l’ADN du noyau de la cellule et l’intégrer dans une
bactérie.
B. La synthèse des nucléotides formant l’ADN du gène.
C. Faire une transcription inverse de l’ARNm correspondant à la
protéine.
D. L’utilisation de l’ADN polymérase pour la synthèse de l’ADN
demandé.
E. Isoler le noyau de la cellule contenant l’ADN puis l’intégrer dans des
cellules qui se multiplient.

Q2 La production d’une protéine utile en utilisant le génie génétique nécessite les


5 étapes suivante, donner la 3 étape :
A. La multiplication de l’ADN du gène dans une bactérie.
B. Isoler l’ADN du gène par des enzymes de restriction.
C. Le sondage des bactéries génétiquement modifiés et les mettre
dans un milieu de culture pour produire la protéine désirée.
D. Isoler l’ADN du plasmide d’une bactérie par des enzymes de
restriction
E. Intégration de l’ADN du gène responsable de la synthèse de la
protéine par des ligases

Q3 On dispose des enzymes de restrictions suivantes qui découpent l’ADN en des


endroits précis :
SVT : LE GÉNIE GÉNÉTIQUE

L’enzyme ou les enzymes qui peuvent agir sur la séquence d’ADN suivante :
5’ ‫ ـــــــ‬A T G T A T G G T G G T T T T T T A T A G A A T T C G C A A ‫ ــــــ‬3’
3’ ‫ ـــــــ‬T A C A T A C C A C C A A A A A A T A T C T T A A G C G T T ‫ ــــــ‬5’

A. Est Hpa 1 ;
B. Sont Hpa 1 et Eco RI ;
C. Est Eco RI ;
D. Sont Eco RI et Hind III ;
E. Sont Hind III et Hpa 1.

38
Q4 Le plasmide :
A. Un organisme microscopique sous forme d’un mycélium fongique.
B. Une molécule d’ADN composée d’une chaîne monocaténaire.
C. Une petite molécule d’ADN qui se multiplie rapidement dans le
cytoplasme d’une bactérie et capable de passer d’une bactérie à une
autre.
D. Se trouve dans le noyau des cellules de l’organisme et provoque des
mutations.
E. Se détache de l’ADN sous l’action d’une enzyme de restriction.

Q5 Les bactéries sont utilisées en médecine pour la production par génie


génétique d'hormones comme l'insuline. Pour isoler le gène à cloner, on utilise :
A. L’ADN-Polymérase ;
B. L’ARN-polymérase ;
C. La transcriptase inverse ;
D. La ligase ;
E. La protéine SSB (Single-strand binding proteins).

Q6 Une enzyme de restriction :


A. Une enzyme spécifique qui fait la lecture des séquences
nucléotidiques du DNA, reconnait des séquences spécifiques et
coupe l’ADN par rupture des liaisons entre les nucléotides d'un brin
d’ADN ;
B. Une enzyme qui détruit une séquence d’ADN par rupture de toutes
les liaisons entre les nucléotides d'un brin d’ADN.
C. Une enzyme spécifique qui limite l'amplification d’ADN par
diminution du nombre des gènes qui peuvent être clonés.
D. Une enzyme spécifique qui réduit la multiplication d’ADN, le
rendant ainsi apte au clonage.

Q7 Le génie génétique aide à produire des protéines à intérêt médical (insuline,


hormones de croissance, ..) à travers plusieurs étapes:
a) isolement et ouverture du plasmide bactérien ;
b) culture des bactéries transformées pour produire les protéines ;
c) insertion du gène de la protéine dans un plasmide bactérien ;
d) isolement du gène de la protéine ;
SVT : LE GÉNIE GÉNÉTIQUE

e) insertion du plasmide transformé dans la bactérie.


L'ordre de ces étapes est:
A. b–a–d–c–e;
B. b–d–a–c–e;
C. d–a–c–e–b;
D. d–c–a–e–b;
E. c–a–d–b–e;

39
Q8 La transgénèse :
A. permet de montrer que l'information génétique contenue dans la
molécule d'ADN est inscrite selon un langage universel fixe ;
B. consiste à intégrer un glucide étranger dans l'ADN d'un être vivant ;
C. a pour but d’obtenir des lignées pures;
D. consiste à intégrer un fragment d'ADN d'un individu donneur à un
individu receveur.

Q9 On réalise l’expérience suivante :


On isole le gène de la fluorescence d’une méduse, on le transfère dans une cellule de
pomme de terre. Cette cellule de pomme de terre est cultivée in vitro et on obtient
un plant de pomme de terre transgénique fluorescent. Les résultats de cette
expérience permettent de déduire que :
A. la molécule formée à partir de ce gène transféré est une protéine
fluorescente ;
B. l’information génétique est la même chez tout les êtres vivant;
C. la cellule de la pomme de terre représente l’organisme vecteur ;
D. la méduse est un OGM (organisme génétiquement modifié) .

Q10 Des chenilles pour produire de la soie d’araignée. Plus mince qu’un cheveu,
mais plus résistante que l’acier, la soie d’araignée permet de concevoir des objets à la
fois légers et résistants. Comme il n’est pas possible actuellement d’élever des
araignées, des chercheurs ont transféré le gène permettant la fabrication de la soie
d’araignée dans des embryons de papillons. Ils ont obtenu des chenilles
transgéniques faciles à élever et capables de produire de la soie d’araignée en grande
quantité.
À partir de ce texte, on peut déduire que :
A. L’organisme donneur du gène est le papillon ;
B. L’organisme donneur et l’organisme génétiquement modifié
appartiennent à la même espèce ;
C. Le gène transféré est le gène permettant la synthèse de la soie
d’araignée ;
D. L’araignée est génétiquement modifiée.

Q11 En génie génétique, l'ADN complémentaire (ADNc)


SVT : LE GÉNIE GÉNÉTIQUE

A. Est composé d'introns et d‘exons ;


B. Est composé uniquement d'introns ;
C. Est composé uniquement d'exons ;
D. Doit être formé d'un simple brin pour être inséré dans un plasmide ;
E. Est copié à partir d'ARN messager grâce à l'action d'une ADN ligase.

40
L’HÉRÉDITÉ HUMAINE

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 Dans le cas d’une maladie héréditaire récessive liée au chromosome sexuel X :


A. On ne trouve jamais de garçon malade parmi les individus de la
famille.
B. Une mère malade ne donne que des garçons malades.
C. Toutes les filles d’un père malade sont malades.
D. Tout garçon sain ses deux parents sont sains.

Q2 Dans le cas d’une maladie héréditaire liée au sexe :


A. Le gène responsable de la maladie est toujours porté par le
chromosome Y s’il est transmis du père aux garçons.
B. L’expression du gène porté par Y ne s’effectue que dans le cas de la
dominance.
C. Une mère saine hétérozygote (porteuse) donne la moitié des
garçons malades.
D. Le gène responsable d’une maladie qui affecte uniquement les
garçons est porté obligatoirement par le chromosome X.

Q3 Dans le cas d’une maladie héréditaire récessive autosomique :


A. Les parents d’un individu malade sont obligatoirement sains.
B. La probabilité d’avoir un enfant malade est grande dans le cas d’un
mariage consanguin.
C. La probabilité d’avoir un enfant malade des parents hétérozygotes
est 25%.
D. Tout père atteint est hétérozygote.
SVT : L’HÉRÉDITÉ HUMAINE

Q4 Dans le cas d’une maladie héréditaire dominante et autosomique :


A. Peut toucher les garçons et les filles.
B. L’un des parents est obligatoirement atteint lors de sa transmission
à la descendance.
C. On trouve toujours un enfant malade parmi les enfants d’un père
malade.
D. Toute la descendance de deux parents sains est saine.

41
Q5 Le mode de transmission d’une maladie héréditaire qui a affectée deux
garçons issus de deux parents sains :
A. Dominante et non liée au sexe.
B. Récessive et liée au sexe.
C. Dominante et liée au chromosome Y.
D. Récessive et liée au chromosome X.

Q6 Dans le cas d’une maladie dominante et liée au chromosome X :


A. Le père atteint donne une fille atteinte.
B. Toute fille atteinte est issue d’un père atteint.
C. Les parents d’une fille atteinte sont tous deux atteints.
D. Les propositions A, B et C sont fausses.

Q7 Le garçon atteint d’une maladie héréditaire dominante et liée au chromosome


X est issu :
A. D’un mariage entre une mère saine et un père atteint.
B. D’un mariage entre une mère saine et un père sain.
C. D’un mariage entre une mère atteinte et un père atteint.
D. D’un mariage entre une mère atteinte et un père sain.

Q8 Une fille atteinte d’une maladie héréditaire récessive et liée au chromosome X


est issu :
A. D’un mariage entre une mère atteinte et un père sain.
B. D’un mariage entre une mère porteuse et un père sain.
C. D’un mariage entre une mère atteinte et un père atteint.
D. D’un mariage entre une mère saine et un père atteint.

Q9 Le diagnostic prénatal :
A. Est obligatoire dans chaque grossesse.
B. Est obligatoire dans le cas de grossesse d’une femme âgée.
C. Est inutile pour l’identification des anomalies chromosomiques.
SVT : L’HÉRÉDITÉ HUMAINE

D. Est basé dans certains cas sur l’analyse du sang.

Q10 Le diagnostic prénatal :


A. Est limité à l’examen du fœtus par les ondes ultra son.
B. Est limité à faire des analyses du sang fœtal et maternel.
C. Est limité à la réalisation des caryotypes chez le fœtus.
D. Nécessite les 3 mesures : A, B et C.

42
Q11 Les anomalies chromosomiques sont liées à :
A. Une modification du nombre de chromosomes sexuels seulement.
B. Une modification du nombre des autosomes seulement.
C. Une modification du nombre de chromosomes, que ça soit sexuels
ou autosomiques.
D. Une modification de la structure des chromosomes lors de la
gamétogenèse dans certain cas.

Q12 Dans le diagnostic prénatal chez l’Homme, parmi les techniques de


prélèvement utilisées pour la réalisation du caryotype, on trouve :
A. L’amniocentèse et la choriocentèse ;
B. La radiographie et la choriocentèse ;
C. L’échographie et l’amniocentèse ;
D. L’échographie et la choriocentèse ;
E. La radiographie et l’amniocentèse.

Q13 Le document suivant représente le caryotype d’un fœtus :

À partir des informations tirées du document on peut déduire que ce caryotype est
celui d’une cellule d’un fœtus mâle à 2n+1=47 issu de la fusion :
A. D’un gamète au caryotype normal et d’un gamète résultant d’une
méiose dont la prophase II a présenté une anomalie ;
B. De deux gamètes aux caryotypes anormaux résultants d’une méiose
dont l’anaphase I a présenté une anomalie ;
SVT : L’HÉRÉDITÉ HUMAINE

C. De deux gamètes aux caryotypes anormaux résultants d’une méiose


dont l’anaphase II a présenté une anomalie ;
D. D’un gamète au caryotype normal et d’un gamète résultant d’une
méiose dont l’anaphase I a présenté une anomalie ;
E. D’un gamète au caryotype normal et d’un gamète résultant d’une
méiose dont la prophase I et la prophase II ont présenté une
anomalie.

43
Q14 Quel(s) groupe(s) sanguin(s) peut avoir une mère qui a deux enfants, un de
groupe sanguin B et l’autre de groupe sanguin O, sachant que le père est de groupe
sanguin A ?
A. B ou O ;
B. B ou AB ;
C. AB ou O ;
D. Seulement B ;
E. Seulement O.

Q15 Une maladie M est due à une activité nulle d’une enzyme E. le pedigree
suivant présente la transmission de cette maladie dans une famille et précise le
pourcentage d’activité enzymatique (en%) chez les membres de cette famille.

On peut conclure que la maladie est :


A. Récessive autosomale ;
B. Récessive liée à X ;
C. Récessive liée à Y ;
D. Dominante autosomale ;
E. Dominante liée à X.

Q16 Parmi ces maladies, laquelle se transmet de façon récessive à travers le


chromosome X :
A. La mucoviscidose ;
B. L’hémophilie ;
C. La trisomie 21 ;
D. La chorée de Huntington ;
SVT : L’HÉRÉDITÉ HUMAINE

E. La thalassémie.

Q17 La maladie de trisomie X est caractérisée par :


A. Une taille généralement plus grande que la moyenne ;
B. La mortalité ;
C. L’hermaphrodisme ;
D. L’absence des caractères sexuels secondaires ;
E. Une malformation mentale.

44
Q18 La maladie Klinefelter est liée à une anomalie chromosomique caractérisée
par la présence chez l’homme atteint de :
A. 44 chromosomes et 3 chromosomes sexuels 2 X et Y ;
B. 44 chromosomes et 1 chromosome sexuel X
C. 47 chromosomes dont trois chromosomes 21 et 2 chromosomes
sexuels X et Y ;
D. 44 chromosomes et 3 chromosomes sexuels X et 2Y ;
E. 47 chromosomes dont trois chromosomes 21 et 1 chromosome
sexuel Y.

SVT : L’HÉRÉDITÉ HUMAINE

45
LA GÉNÉTIQUE DES POPULATIONS

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 Selon la loi de Hardy-Weinberg appliquées aux maladies récessives liées au


chromosome X, toutes les propositions suivantes sont exactes sauf une. Laquelle ?
(Choisir la réponse fausse )

A. La fréquence de ces maladies est beaucoup plus grande chez


l’homme ;
B. La fréquence de ces maladies est beaucoup plus grande chez la
femme ;
C. Les valeurs de p et q sont identiques chez l'homme et chez la
femme ;
D. La fréquence du caractère normal est égale à la fréquence de la
maladie chez l'homme ;

Q2 Dans les conditions de l’application de la loi de Hardy et Weinberg, si p est la


fréquence de l’allèle A et q est la fréquence de l’allèle B :
A. La fréquence des homozygotes AA est pq.
B. La fréquence des hétérozygotes AB est 2pq.
C. La fréquence des hétérozygotes AB est q2.
D. La fréquence des allèles varie d’une génération à l’autre.

Q3 La maladie hyperplasie surrénale natale apparait suite à l’expression d’un


allèle récessif porte par un chromosome autosomique. La fréquence de cette maladie
dans une population est 1/10000.
A. La fréquence de l’allèle récessif est 1/100 ;
B. La fréquence de l’allèle dominant est 1/100;
C. La fréquence du génotype homozygote pour l’allèle dominant est
9999/10000 ;
SVT : LA GÉNÉTIQUE DES POPULATIONS

D. La fréquence de la maladie est 9999/10000.

Q4 Chez l’Homme l’allèle a est un allèle récessif par rapport à l’allèle A


responsable de la pigmentation de la peau. Des chercheurs ont trouvé que la
fréquence de cette anomalie dans une population est 0,00005.
A. f (a) = 0,003 ;
B. f (a) = 0,007 ;
C. f (A) = 1,05 ;
D. f (Aa) = 0,14.

46
Q5 La mucoviscidose est une maladie grave autosomique récessive ; sa fréquence
est égale à 1/3000 naissances.
La fréquence des porteurs hétérozygotes dans cette population est :
A. 0,065 ;
B. 0,055 ;
C. 0,045 ;
D. 0,035.

Q6 En France les groupes sanguins sont répartie selon les fréquences suivantes :
Le groupe A avec une fréquence de 0,45.
Le groupe B avec une fréquence de 0,09.
Le groupe AB avec une fréquence de 0,04.
Le groupe O avec une fréquence de 0,42.
A. f (O) = 0,64 ;
B. f (AB) = 1,4 ;
C. f (AO) = 0,45 ;
D. f (BB) = 1,09.

Q7 La dystrophie musculaire de Duchenne est une maladie récessive liée au


chromosome X. Sa fréquence est égale à environ 1/25000 sujets de sexe masculin.
La fréquence des porteurs de sexe féminin pour cette maladie est :
A. 2 / (3 x 25000).
B. 1 / 25000.
C. 2 / 25000.
D. 2 / √25000.

Q8 La sélection naturelle est un facteur qui permet :


A. L’adaptation du phénotype de la population avec son
environnement écologique ;
B. Tend à diminuer la diversité génétique dans la population ;
C. Est le seul facteur responsable de la variation des fréquences
alléliques d’un gène dans une population ;
D. Ne produit pas de différence des fréquences allèliques entre deux
populations.
SVT : LA GÉNÉTIQUE DES POPULATIONS

Q9 La sélection naturelle :
A. favorise l’élimination d'individus mieux adaptés à un
environnement donné et se reproduisant d’avantage ;
B. Concerne les individus dont le phénotype présente un avantage
sélectif quelque soit l'environnement ;
C. Permet à un allèle de se répandre dans une population s'il confère
un avantage sélectif dans un environnement donné ;
D. Favorise l'apparition de nouveaux allèles dans le génome pour
permettre l'adaptation aux changements du milieu.

47
Q10 Les mutations héréditaires par substitution :
A. Peuvent toucher plusieurs points au niveau du gène ;
B. Modifient toujours la séquence des acides aminés d’un polypeptide
codé par le gène considéré ;
C. Peuvent aboutir à un polypeptide plus long ;
D. Peuvent se traduire par une modification de plusieurs acides
aminés au niveau du polypeptide.

Q11 Concernant les mutations :


A. Elles sont toujours avantageuses à celui qui les portes ;
B. Elles diminuent la diversité génétique au sein des populations ;
C. Elles peuvent apporter un avantage sélectif à l’individu porteur de
la mutation ;
D. Elles sont transmissibles aux générations futures lorsqu’elles
atteignent les cellules somatiques ;

Q12 La dérive génétique :


A. Est un mécanisme aléatoire ;
B. Crée de nouveaux allèles ;
C. Est un mécanisme se basant sur la sélection naturelle ;
D. Sélectionne les individus les plus aptes à se reproduire.

Q13 Parmi les mutations on distingue :


A. Des mutations par substitution au cours desquelles un (des)
nucléotide (s) est (sont) toujours remplacé (s) par un codon non
sens ou codon stop ;
B. Des mutations silencieuses lorsque le triplet mutant et le triplet
antérieur, codent tous deux pour le même acide aminé ;
C. Des mutations non sens lorsque la séquence des acides aminés est
modifiée ;
D. Des mutations par délétion ou addition au cours desquelles le
nombre de nucléotides de l'ADN reste inchangé.
SVT : LA GÉNÉTIQUE DES POPULATIONS

Q14 Parmi les propositions suivantes, indiquer celle (s) qui fait (font) partie des
conditions d’application de la loi de Hardy et Weinberg :
A. Absence de mutation ;
B. Population de taille réduite ;
C. Absence de migration des populations ;
D. Panmixie ;
E. Allèles d’expression récessive ;
F. La population doit être grande et largement ouverte ;
G. La méiose des individus doit être normale;
H. Le taux de mutations doit être élevé au niveau du locus considéré ;
I. Aucune sélection ne doit intervenir.

48
Q15 Soit p la fréquence d’un allèle A1 et q la fréquence d’un allèle A2 dans une
population à une génération donnée. On considère que les conditions d’application
de la loi de Hardy et Weinberg sont remplies. Parmi les propositions suivantes,
indiquez celle (s) qui est (sont) exacte (s) :
A. La fréquence des allèles est instable au cours des générations ;
B. La fréquence des génotypes est stable au cours des générations ;
C. La fréquence des homozygotes A2A2 est 2p ;
D. La fréquence des hétérozygotes A1A2 est 2pq ;
E. La connaissance des valeurs de p et q est insuffisante pour calculer
la fréquence des génotypes.

Q16 L'anémie falciforme est une maladie autosomique récessive qui apparaît chez
les Afro-américains avec une fréquence égale à 1/625. En se rapportant à la loi de
Hardy-Weinberg, la fréquence des sujets porteurs hétérozygotes pour l'anémie
falciformes dans cette population est :
A. 0.4 ;
B. 4.4 ;
C. 7.7 ;
D. 9.4 ;
E. 0,07 .

Q17 Le pelage noir est un caractère autosomique dominant chez les cobayes ; la
couleur blanche étant récessive. Une population de Hardy-Weinberg échantillonnée
contient 336 individus noirs et 64 blancs.

Q17-1 La fréquence de l’allèle dominant noir est estimée à :


A. 0,04 ;
B. 0,40 ;
C. 0,60 ;
D. 0,70.
E. 1,2
SVT : LA GÉNÉTIQUE DES POPULATIONS

Q17-2 Le pourcentage d’individus noirs hétérozygotes attendu est :


A. 40% ;
B. 48 % ;
C. 49% ;
D. 53%.
E. 0,16

49
IMMUNOLOGIE

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 Préciser la réponse fausse :


A. Les kinines sont des anticorps qui apparaissent dans le plasma une
fois le corps humain est envahi par des microbes,
B. Les kinines résultent de la rupture d'une protéine plasmatique. Elles
provoquent la dilatation des vaisseaux sanguins lors de
l’inflammation,
C. Le facteur du complément s'active au cours de la réponse
immunitaire innée,
D. L'activation du facteur du complément entraîne la formation du
complexe d'attaque membranaire, la stimulation de la phagocytose
et l'attraction de certains leucocytes,
E. Les polynucléaires se répartissent en basophiles, neutrophiles et
éosinophiles.

Q2 Préciser la réponse fausse :


A. Les monocytes quittent la circulation sanguine pour s'installer dans
les tissus où ils-se transforment en macrophages,
B. Les mastocytes sont parmi les premières cellules de l'immunité qui
interviennent dans la réponse immunitaire non spécifique,
C. L'histamine diminue la perméabilité des parois des vaisseaux
sanguins,
D. Les chimiokines sont responsables de l'attraction des cellules du
système immunitaire vers le lieu de l'inflammation,
E. Les neutrophiles, les cellules dendritiques et les macrophages sont
des cellules phagocytaires.

Q3 Les cellules immunitaires immunocompétentes sont stockées dans les organes


lymphoïdes suivants :
A. Le thymus, la rate, les ganglions lymphatiques,
SVT : IMMUNOLOGIE

B. Le thymus, la rate, les amygdales,


C. Les amygdales, la rate, les ganglions lymphatiques,
D. Les ganglions lymphatiques, le thymus, la moelle osseuse, le sang.
E. La moelle osseuse, le sang, les ganglions lymphatiques.

50
Q4 Préciser la fausse réponse concernant l’immunité innée :
A. Ne possède pas de mémoire immunitaire,
B. Est la première ligne de défense de l’organisme vivant,
C. Implique des phagocytes comme les macrophages et les
neutrophiles,
D. Demande la mise en place d’un moyen d’aide au système
immunitaire.
E. Ne fait pas intervenir les lymphocytes B et T.

Q5 Le sida :
A. Est une immunodéficience innée provoquée par un virus à ADN,
B. Est provoqué par un bactériophage,
C. Est dû à une destruction des lymphocytes T8 par le VIH,
D. Pourrait se transmettre de la mère atteinte de sida à son enfant à
naitre,
E. Peut être définitivement traité par l’utilisation d’une trithérapie.

Q6 Les lymphocytes :
A. Sont des cellules qui se forment dans la rate et les ganglions
lymphatiques,
B. Ne se forment dans les organes lymphoïdes qu’après le contact avec
l’antigène,
C. Se multiplient suite à la reconnaissance d’un antigène,
D. Sont des cellules immunitaires de taille plus grande que les
macrophages,
E. Se multiplient suite à la reconnaissance du MAF.

Q7 Les plasmocytes se forment suite à la différenciation des :


A. Monocytes,
B. Lymphocytes T8,
C. Lymphocytes B,
D. Macrophages,
E. Neurophiles

Q8 Les lymphocytes T8 reconnaissent :


A. Des antigènes présentés par des cellules présentatrices d’antigène
SVT : IMMUNOLOGIE

via le CMH-I,
B. Des antigènes présentés par des lymphocytes T au niveau du leurs
TCR,
C. Des antigènes présentés par des lymphocytes B au niveau de leurs
BCR,
D. Des antigènes libres,
E. Des antigènes présentés par des cellules présentatrices de
l'antigène via le CMH-II.

51
Q9 Les lymphocytes T4 :
A. Interviennent lors de la réponse immunitaire innée,
B. S’associent à des antigènes libres,
C. Secrètent des immunoglobulines,
D. Secrètent des médiateurs immunitaires,
E. Sécrètent des protéines du complément.

Q10 La vaccination repose sur de la formation de :


A. Lymphocytes mémoires avant tout contact de l'organisme avec
l'antigène,
B. Lymphocytes mémoires après un premier contact de l'organisme
avec l'antigène,
C. Macrophages mémoires avant tout contact de l'organisme avec
l'antigène,
D. Macrophages mémoires après un premier contact de l'organisme
avec l'antigène,
E. Lymphocytes mémoires après un deuxième contact de l'organisme
avec l'antigène.

Q11 Pendant la réponse immunitaire spécifique, les macrophages interviennent


durant :
A. La phase d'induction uniquement,
B. La phase d’amplification uniquement,
C. Les phases d'induction et d'amplification,
D. La phase d’induction et la phase effectrice,
E. La phase effectrice uniquement.

Q12 La phagocytose peut être effectuée par :


A. Les granulocytes et les mastocytes,
B. Les lymphocytes T4 et les granulocytes,
C. Les lymphocytes T8 et les granulocytes,
D. Les macrophages et les neutrophiles.
E. Les lymphocytes T4 et les lymphocytes T8
SVT : IMMUNOLOGIE

Q13 Le sérum antitétanique :


A. Est utilisé pour un traitement d'urgence contre le tétanos,
B. Contient différents types d'anticorps,
C. Contient des toxines atténuées,
D. Est utilisé pour prévenir contre l'atteinte par le bacille tétanique,
E. Est utilisé pour un traitement d'urgence contre la diphtérie.

52
Q14 Le lymphocyte T4 reconnait l’antigène grâce à son récepteur
A. TCR qui se lie au déterminant antigénique présenté par le CMHI,
B. TCR qui se lie au déterminant antigénique présenté par le CMHII,
C. BCR qui se lie au déterminant antigénique présenté par CMHI,
D. BCR qui se lie au déterminant antigénique présenté par CMHI,
E. TCR qui se lie au déterminant antigénique présenté par le CMHI de
la cellule infectée.

Q15 Le VIH est un rétrovirus cela signifie :


A. Que son matériel génétique est sous forme d’ADN, et se transforme
en ARN dans la cellule hôte,
B. Que son matériel génétique est sous forme d’ARN bicaténaire,
C. Qu’il possède de l’ARN et une rétrotranscriptase,
D. Que son matériel génétique est sous forme d’ADN monocaténaire,
E. Que son matériel génétique est sous forme d’ADN bicaténaire.

Q16 Les immunoglobulines sont responsables de:


A. L’attraction des leucocytes vers le site d’infection,
B. La production des cellules immunitaires ;
C. La neutralisation des antigènes,
D. La différenciation des cellules B en plasmocytes,
E. La liaison avec le complexe majeur d’histocompatibilité.

Q17 Les molécules du CMH-I (Complexe Majeur d'Histocompatibilité):


A. Sont présentes sur les cellules présentatrices d’antigène,
B. Sont présentes sur les hématies,
C. Présentent les antigènes aux lymphocytes T4,
D. Sont présentes sur les cellules dendritiques uniquement,
E. Sont formées de deux chaines alpha et deux chaines Béta.

Q18 Les lymphocytes T cytotoxiques :


A. Existent avant toute pénétration de l’antigène,
SVT : IMMUNOLOGIE

B. Produisent des anticorps contre le virus,


C. Produisent la perforine qui contribue à la destruction de la cellule
infectée,
D. Contribuent à augmenter la charge virale en détruisant les cellules
infectées,
E. Reconnaissent les antigènes présentés par les molécules de CMH-II.

53
Q19 La réponse allergique:
A. Nécessite l'intervention des cellules T8,
B. Est considérée comme une réponse immunitaire non spécifique
contre les allergènes,
C. Est causée par la libération de l’histamine suite à la fixation de
l'allergène sur les IgE portés par les plasmocytes,
D. Est causée par la libération de l’histamine suite à la fixation de
l'allergène sur les IgE fixés sur les mastocytes,
E. Résulte de l'hyperactivité des lymphocytes B.

Q20 Si le sang d'un individu contient les anticorps anti-A et anti-B:


A. Son groupe sanguin est A,
B. Son groupe sanguin est B,
C. Son groupe sanguin est AB,
D. Son groupe sanguin est O,
E. Toutes les réponses sont fausses.
SVT : IMMUNOLOGIE

54
PHYSIQUE
56
LES ONDES

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 On exprime la vitesse de propagation du son dans un gaz diatomique par la


𝟏,𝟒 𝑷
relation suivante : 𝑽 = √ avec 𝑷 la pression du gaz et  la masse volumique du
𝝆
gaz qu’on considère parfait et vérifie la loi des gaz parfaits.

On peut exprimer la vitesse du son dans un gaz diatomique par la relation suivante :

A. 𝑉 = √
1,4 𝑅 𝑇
𝑀

B. 𝑉 = √1,4𝑅𝑀 𝑇

C. 𝑉 = √1,4
𝑀𝑇
𝑅

D. 𝑉 = √1,4
𝑅𝑀
𝑇

Q2 On exprime la vitesse d’un gaz diatomique par la relation :


𝟏,𝟒 𝑹 𝑻
𝑽=√ , Pour la même distance de propagation 𝑳 = 𝟏𝟎 𝒎 et à une température
𝑴

 = 𝟐𝟎°𝑪 , le retard temporel  de la propagation du son dans le gaz dihydrogène 𝑯𝟐


par rapport à sa propagation dans le gaz dioxygène 𝑶𝟐 vaut :

A. 𝜏 = 2,3 𝑠
B. 𝜏 = 2,3 10−3 𝑠
C. 𝜏 = 2,3 10−2 𝑠
D. 𝜏 = 3,2 10−3 𝑠
PHYSIQUE : LES ONDES

Données :
𝑀(𝐻) = 1 𝑔. 𝑚𝑜𝑙 −1 ; 𝑀(𝑂) = 16 𝑔. 𝑚𝑜𝑙 −1 ; 𝑅 = 8,31 𝑃𝑎. 𝑚3 . 𝑚𝑜𝑙 −1 . 𝐾 −1
10 1,85
√1,48,31293 1,85 103 ; 1,85  5,4; √2 1,4 ; 4,25,4  22,68 ; 2,46  0,75 ;
2  880 1,4 = 2,46 103

57
Q3 On exprime la vitesse d’un gaz diatomique par la relation :
𝟏,𝟒 𝑹 𝑻
𝑽=√ , À l’entrée d’un tube contenant le gaz dihydrogène 𝑯𝟐 à la température
𝑴

 = 𝟐𝟎°𝑪, on crée une onde à l’aide d’un vibreur vibrant à la fréquence de 𝟖𝟖𝟎 𝑯𝒛 .

La distance  séparant deux couches successives du gaz, dans le tube, vibrant en


opposition de phase est :

A.  = 17,4 𝑐𝑚
B.  = 75 𝑐𝑚
C.  = 152 𝑐𝑚
D.  = 12 𝑐𝑚

Données :
𝑀(𝐻) = 1 𝑔. 𝑚𝑜𝑙 −1 ; 𝑅 = 8,31 𝑃𝑎. 𝑚3 . 𝑚𝑜𝑙 −1 . 𝐾 −1
10 1,85
√1,48,31293 1,85 103 ; 1,85  5,4; √2 1,4 ; 4,25,4  22,68 ; 2,46  0,75 ;
2  880 1,4 = 2,46 103

Q4 On réalise la diffraction d’un faisceau laser en utilisant une fente de largeur


𝒂 = 𝟒𝟎 𝒎 et un écran blanc placé à une distance 𝑫 = 𝟐𝒎 de la fente. La largeur de
la tache centrale est 𝑳 = 𝟔 𝒄𝒎. L’écart angulaire  (en rad) est :

A.  = 2,5 10−2
B.  = 1,5 10−2
C.  = 10−2
D.  = 5 10−2

Q5 On crée, à l’instant 𝒕 = 𝟎, à l’une des extrémités S d’une corde, de longueur 𝑳,


une onde progressive de célérité 𝑽. La figure ci-contre représente l’aspect d’une corde
à l’instant de date 𝒕 = 𝟑, 𝟓 𝒔.
PHYSIQUE : LES ONDES

58
La célérité v de propagation de l’onde le long de la corde est :
A. 𝑉 = 1 𝑚. 𝑠 −1
B. 𝑉 = 1 𝑐𝑚. 𝑠 −1
C. 𝑉 = 0,2 𝑚. 𝑠 −1
D. 𝑉 = 0,1 𝑚. 𝑠 −1

Q6 On crée, à l’instant 𝒕 = 𝟎, à l’une des extrémités S d’une corde, de longueur 𝑳,


une onde progressive de célérité 𝑽. La figure ci-contre représente l’aspect d’une corde
à l’instant de date 𝒕 = 𝟑, 𝟓 𝒔.

La durée du mouvement du point M est :


A. 𝛥𝑡 = 1 𝑠
B. 𝛥𝑡 = 1,5 𝑠
C. 𝛥𝑡 = 2 𝑠
D. 𝛥𝑡 = 2,5 𝑠

Q7 On crée, à l’instant 𝒕 = 𝟎, à l’une des extrémités S d’une corde, de longueur 𝑳,


une onde progressive de célérité 𝑽. La figure ci-contre représente l’aspect d’une corde
à l’instant de date 𝒕 = 𝟑, 𝟓 𝒔.

Le point Q commence à vibrer à


la date 𝒕𝟏 :
A. 𝑡1 = 3,5 𝑠
PHYSIQUE : LES ONDES

B. 𝑡1 = 4,5 𝑠
C. 𝑡1 = 5,5 𝑠
D. 𝑡1 = 6,5 𝑠

59
Q8 A l’instant t=0, On produit à l'aide de la
plaque (P) d'un vibreur, à la surface libre de l'eau
d'une cuve à ondes, des ondes progressives
périodiques de fréquence N=10Hz. Les ondes se
propagent sans amortissement ni réflexion. La
figure ci-contre donne l'aspect de la surface de l'eau
à l’instant t1 donné.
On donne : d=8cm.

L’instant t1 vaut :
A. t1=0,20 s
B. t1=0,30 s
C. t1= 0,40 s
D. t1= 0,50 s

Q9 On effectue une expérience de diffraction à l'aide d'un laser émettant une


lumière monochromatique de longueur d'onde λ. À quelques centimètres du laser, on
place successivement des fils verticaux de diamètre connu. La figure de diffraction est
observée sur un écran placé à une distance D = 2 m des fils. Pour chacun des fils, on
mesure la largeur L de la tache centrale. On calcule alors l'écart angulaire θ du faisceau
diffracté et on trace la courbe L=f(1/a) de la figure 2.
On donne : 2,25=4x0,563 et 563=112,5x5
PHYSIQUE : LES ONDES

La longueur d’onde de la lumière utilisée est :


A. 420 nm
B. 513 nm
C. 563 nm
D. 620 nm

60
Q10 On effectue une expérience de diffraction à l'aide d'un laser émettant une
lumière monochromatique de longueur d'onde λ. À quelques centimètres du laser, on
place successivement des fils verticaux de diamètre connu. La figure de diffraction est
observée sur un écran placé à une distance D = 2 m des fils. Pour chacun des fils, on
mesure la largeur L de la tache centrale. On calcule alors l'écart angulaire θ du faisceau
diffracté et on trace la courbe L=f(1/a) de la figure 2.

On donne : 2,25=4x0,563 et 563=112,5x5

Pour un fil de diamètre a inconnu, on mesure une largeur de tache égale à 2,25 cm.
La valeur du diamètre a est :
A. 0,3 mm
B. 0,1 mm
C. 0,05 mm
D. 0,025 mm

Q11 On crée, à un instant choisi comme origine des dates t=0, en un point S de la
surface de l’eau une onde
mécanique progressive
sinusoïdale de fréquence
N.
La courbe de la figure ci-
contre représente les variations en fonction du temps de l’élongation yM d’un point M
du milieu de propagation situé à la distance L = 7,5cm du point S.
PHYSIQUE : LES ONDES

La longueur d’onde de cette perturbation est :


A. 2 cm
B. 3 cm
C. 4 cm
D. 5 cm

61
Q12 On crée, à un instant choisi comme origine des dates t=0, en un point S de la
surface de l’eau une onde mécanique progressive sinusoïdale de fréquence N.
La courbe de la figure ci-contre représente les variations en fonction du temps de
l’élongation yM d’un point M du milieu de propagation situé à la distance L = 7,5cm du
point S.

𝝅
L’équation du mouvement de la source est yS(t) = 6.10-3 cos(2πNt - 𝟐 ) (en m ). L’équation
du mouvement du point M est :
𝜋
A. yS(t) = 6.10-3 cos(30πt - )
2

B. yS(t) = 6.10-3 cos(30πt )


C. yS(t) = 6.10-3 cos(50πt)
𝜋
D. yS(t) = 6.10-3 cos(50πt - )
2

Q13 La célérité du son dans l’air est proportionnelle avec (T)1/2 (degré de la
température absolue). Sachant que la vitesse Vs=340m/s à 15°. La célérité du son à 41°
est :

A. 335 m/s
B. 354 m/s
C. 0,356 Km/s
D. 0,355 Km/s

Q14 Une onde ultra-sonique de fréquence 50 Hz se propage dans l’eau avec une
célérité de 15 Km/s, la valeur de la longueur d’onde est :
PHYSIQUE : LES ONDES

A. 300 Km/s
B. 47,47 Km
C. 0,3 Km
D. 150 m

62
Q15 Une radiation lumineuse a une longueur d'onde, λ 0 dans le vide de 600 nm.
Dans l'eau l'indice de réfraction n est de 1,33. Sachant que C = 3.10 8 m/s, quelle est la
longueur d'onde dans l'eau

A. 4,51 nm
B. 0,451 nm
C. 451 nm
D. 451 m

Q16 Une onde périodique a une longueur d'onde k= 2,3 mm et une fréquence de
1kHz. Sa vitesse de propagation est :

A. 2,3 Km/h
B. 8,28 Km/h
C. 23 m/s
D. 8,28 m/s

Q17 La fréquence du son audible par l'homme est entre 20Hz et 20kHz, sa longueur
d'ondes est :

A. 1,65 .10-3cm < λ< 16,5m


B. 16,5 .10-3cm <λ< 16,5cm
C. 16,5 10-3m < λ< 1,65m
D. 16 ,5.10-3m <λ< 16,5m

Q18 La vitesse de propagation d’une onde le long d’un fil de longueur L est V 0, si la
longueur du fil devient 3L, La vitesse sera :

A. v’=3v0
B. v’= v0/3
C. v’= v0
D. v’=6 v0
PHYSIQUE : LES ONDES

Q19 Une radiation lumineuse a une longueur d’onde λ 0 dans le vide. Dans un milieu
transparent d’indice de réfraction n, cette longueur d’onde est :

A . λ0
B. n λ0
C. λ0/n
D. n2 λ0

63
Q20 On éclaire une fente de largueur a par une onde lumineuse de longueur d’onde
λ. L’écart angulaire à mi-largeur θ est :

A. θ=λa
B. θ=λ/a
C. θ=λ/2a
D. θ=λD/a

Q21 Une radiation lumineuse a une longueur d’onde λ= 500 nm et de fréquence


6.1014Hz. Si v est sa vitesse de propagation qu’elle est la réponse juste :

A. V= 3,10-4 Km/h C. V= 2,3 m/s


B. V= 2,10-4 m/s D. V= 3,108 m/s

Q22 On réalise une diffraction d’une lumière monochromatique de longueur d’onde


, par une fente de largeur a. on obtient sur un écran situé à une distance D, une tâche
centrale de largeur L. La largeur L de la tache centrale est :

A. 2.L.a=.D
B. L.a=2..D
C. L.D=2..a
D. autre

Q23 On place entre la fente et l’écran un corps transparent d’indice de réfraction n.


on obtient une tache centrale de largeur L’:

A. L=n.L’
B. L=L’
C. L’=nL
D. autre
PHYSIQUE : LES ONDES

64
Q24 Une onde se propage le long d’un fil à la vitesse V=3m/s. La figure ci-contre
représente l’aspect de l’onde à un instant t1.

L’onde part de la source S à t=0, la valeur de l’instant t1 est :


A. t1=2,2s
B. t1=2,4s
C. t1=2,6s
D. autre

Q25 Une onde se propage le long d’un fil à la vitesse V=3m/s. La figure ci-contre
représente l’aspect de l’onde à un instant t1.

La durée de l’onde est :


A. t=0,2s
B. t=0,4s
C. t=0,6s
D. autre

Q26 Une lame vibrant verticalement à la fréquence N, impose à l’extrémité O d’une


corde OA de longueur L=1m, tendue horizontalement un mouvement transversal
rectiligne et sinusoïdal.
La célérité́ de propagation des ébranlements le long de la corde est v=20 m/s.
La valeur de la tension de la corde 𝐓=𝟒N.
Un dispositif approprié permet d’éliminer toute réflexion au niveau de l’autre
PHYSIQUE : LES ONDES

extrémité́ de la corde.
La masse linéique 𝛍 de la corde est.
A. 0,1kg/m
B. 0,01kg/m
C. 0,1g/m
D. 0,01g/m

65
Q27 Une lame vibrant verticalement à la fréquence N, impose à l’extrémité O d’une
corde OA de longueur L=1m, tendue horizontalement un mouvement transversal
rectiligne et sinusoïdal.
La célérité́ de propagation des ébranlements le long de la corde est v=20 m/s.
Le diagramme de la figure ci-contre représente le mouvement d’un point M1 situé à
une distance x1 du point O.

La longueur d’onde de cette onde est :


A. 40cm
B. 30cm
C. 20cm
D. 10CM

Q28 Une lame vibrant verticalement à la fréquence N, impose à l’extrémité O d’une


corde OA de longueur L=1m, tendue horizontalement un mouvement transversal
rectiligne et sinusoïdal.
La célérité́ de propagation des ébranlements le long de la corde est v=20 m/s.
Le diagramme de la figure ci-contre représente le mouvement d’un point M1 situé à
une distance x1 du point O.
PHYSIQUE : LES ONDES

La valeur de la distance x1 est :


A. 25cm
B. 45cm
C. 65cm
D. 85cm

66
Q29 Un faisceau cylindrique de lumière blanche, émis par une source S, arrive
perpendiculairement à la face d’un prisme (P) en verre. Le faisceau lumineux issu du
prisme arrive sur un écran (E). On observe alors sur cet écran un spectre lumineux.
Données :
La célérité́ de la lumière dans le vide : C = 3.108 m.s-1.
La longueur d’onde de la radiation rouge dans le prisme est : λr = 474 nm.
La fréquence de la radiation rouge est : υr = 3,91.10 14 Hz
Les longueurs d’onde de la radiation jaune sont : λ0j=589 nm dans le vide et λj=355 nm
dans le prisme.

La fréquence υj de la radiation jaune dans le prisme est :


A. 5,1.1014 Hz
B. 8,4.1014 Hz
C. 9,7.1014 Hz
D. 6,5.1014 Hz

Q30 Un faisceau cylindrique de lumière blanche, émis par une source S, arrive
perpendiculairement à la face d’un prisme (P) en verre. Le faisceau lumineux issu du
prisme arrive sur un écran (E). On observe alors sur cet écran un spectre lumineux.
Données :
La célérité́ de la lumière dans le vide : C = 3.108 m.s-1.
La longueur d’onde de la radiation rouge dans le prisme est : λr = 474 nm.
La fréquence de la radiation rouge est : υr = 3,91.10 14 Hz
Les longueurs d’onde de la radiation jaune sont : λ0j=589 nm dans le vide et λj=355 nm
dans le prisme.

La vitesse de propagation de radiation rouge dans le prisme :


A. 1,7.108 m/s
B. 1,85.108 m/s
C. 1,6.108 m/s
PHYSIQUE : LES ONDES

D. 1,5.108 m/s

67
Q31 Un faisceau cylindrique de lumière blanche, émis par une source S, arrive
perpendiculairement à la face d’un prisme (P) en verre. Le faisceau lumineux issu du
prisme arrive sur un écran (E). On observe alors sur cet écran un spectre lumineux.
Données :
La célérité́ de la lumière dans le vide : C = 3.108 m.s-1.
La longueur d’onde de la radiation rouge dans le prisme est : λr = 474 nm.
La fréquence de la radiation rouge est : υr = 3,91.10 14 Hz
Les longueurs d’onde de la radiation jaune sont : λ0j=589 nm dans le vide et λj=355 nm
dans le prisme.

La vitesse de propagation de radiation jaune dans le prisme :


A. 1,8.108 m/s
B. 1,9.108 m/s
C. 1,7.108 m/s
D. vj = 1,6.108 m/s

Q32 Une lame vibrante horizontale, fixée à l’extrémité S d’une corde élastique,
génère le long de celle-ci une onde progressive sinusoïdale de célérité v.
Le mouvement de S débute à l’instant t0=0. Les figures (1) et (2) ci-dessous
représentent l’élongation d’un point M de la corde, situé à une distance d de S, et
l’aspect de la corde à un instant t1=0,16s. Le front d’onde se trouve à l’instant t1 à la
distance SF=80cm de S.

Les valeurs de la longueur d’onde et de la célérité de propagation de l’onde le long de


la corde sont :
PHYSIQUE : LES ONDES

A. v = 0,25 m/s λ= 0,40m


B. V = 5 m/s λ= 0,40m
C. V = 5 m/s λ= 0,80m
D. V = 0,25 m/s λ= 0,08m

68
Q33 Une lame vibrante horizontale, fixée à l’extrémité S d’une corde élastique,
génère le long de celle-ci une onde progressive sinusoïdale de célérité v. Le mouvement
de S débute à l’instant t0=0. Les figures (1) et (2) ci-dessous représentent l’élongation
d’un point M de la corde, situé à une distance d de S, et l’aspect de la corde à un instant
t1=0,16s. Le front d’onde se trouve à l’instant t1 à la distance SF=80cm de S.

La valeur de la distance SM est :


A. d = 0,20 m
B. d = 0,40 m
C. d = 0,60 m
D. d = 0,8 m

Q34 Une lame vibrante horizontale, fixée à l’extrémité S d’une corde élastique,
génère le long de celle-ci une onde progressive sinusoïdale de célérité v. Le mouvement
de S débute à l’instant t0=0. Les figures (1) et (2) ci-dessous représentent l’élongation
d’un point M de la corde, situé à une distance d de S, et l’aspect de la corde à un instant
t1=0,16s. Le front d’onde se trouve à l’instant t1 à la distance SF=80cm de S.

L’élongation du point M de la corde par rapport à la source S est :


A. yM(t)=yS(t-0,04)
B. yM(t)=yS(t-0,05)
PHYSIQUE : LES ONDES

C. yM(t)=yS(t-0,08)
D. yM(t)=yS(t-0,8)

69
Q35 Deux sondes E1 et E2 émettent, au même instant, des ondes ultrasonores de
même fréquence respectivement dans l’air et dans l’eau de mer (figure 1). Le capteur
R1 capte les ondes se propageant dans l’air et le capteur R2 capte les ondes se
propageant dans l’eau de mer. Soit Δt le retard temporel des ondes reçues par R1 par
rapport à celle reçues par R2, pour une valeur de d. la courbe de la figure (2) représente
les variations de Δt en fonction de d.
On note Va la vitesse de propagation des ultrasons dans l’air et Ve celle des ultrasons
dans l’eau de mer.
Données : Va=340m/s ; 1/34 = 2,94.10-2 ; 11 x 2,27 = 25 ; 14,92 x 67 = 103.

Q35-1-Le retard temporel Δt à pour expression :


1 1
A. 𝛥𝑡 = 𝑑( − )
𝑉𝑎 𝑉𝑒
1 1
B. 𝛥𝑡 = 𝑑( + )
𝑉𝑎 𝑉𝑒

C. 𝛥𝑡 = 𝑑(𝑉𝑒 − 𝑉𝑎 )
D. autre

Q35-2-La valeur de vitesse de propagation des ultrasons dans l’eau de mer est :
A. 𝑉𝑒 = 670m/s
B. 𝑉𝑒 = 1392m/s
C. 𝑉𝑒 = 1429m/s
D. 𝑉𝑒 = 1500m/s
PHYSIQUE : LES ONDES

70
Q36 On éclaire une fente de largeur a par une lumière monochromatique de
fréquence N émise par un laser. La figure de diffraction est observée sur un écran placé
à une distance D de la fente. La largeur de la tache centrale est notée L.
 Avec un laser émettant une lumière verte de fréquence Nv = 5,36.1014 Hz, on obtient
une tache centrale de largeur Lv = 8,6mm.
Avec un laser émettant une lumière rouge de fréquence Nr = 4,74.10 14 Hz, on obtient
une tache centrale de largeur Lr. Données : tan(θ) =θ (rad) ; 268/237= 1,13.

La valeur de la largeur de la tache centrale obtenue avec la lumière rouge est :


A. Lr = 10 mm
B. Lr = 9,7 mm
C. Lr = 8,2 mm
D. Lr = 6,8 mm

Q37 On éclaire une fente de largeur a par une lumière monochromatique de


fréquence N émise par un laser. La figure de diffraction est observée sur un écran placé
à une distance D de la fente. La largeur de la tache centrale est notée L.
 Avec un laser émettant une lumière verte de fréquence Nv = 5,36.1014 Hz, on obtient
une tache centrale de largeur Lv = 8,6mm.
Avec un laser émettant une lumière rouge de fréquence Nr = 4,74.10 14 Hz, on obtient
une tache centrale de largeur Lr. Données : tan(θ) =θ (rad) ; 268/237= 1,13.

L’écart angulaire pour la lumière rouge et l’écart angulaire pour la lumière verte sont
liés par la relation :
A. θr = 1,13.θv
B. θr = 0,88.θv
C. θr = 1,90.θv
D. θr = 2,26.θv
PHYSIQUE : LES ONDES

71
Q38 Une radiation a dans le vide, une longueur d’onde λ0=600nm et, dans un
milieu transparent, une longueur d’onde λ=400nm. Donnée : la célérité de la lumière
dans le vide C=3.108m/s.
Dans le vide, la fréquence de cette radiation a pour valeur :

A. N0 = 5.1014 Hz
B. N0 = 5.1015 Hz
C. N0 = 5.1013 Hz
D. N0 = 5.1010 Hz

Q39 Une radiation a dans le vide, une longueur d’onde λ0=600nm et, dans un
milieu transparent, une longueur d’onde λ=400nm. Donnée : la célérité de la lumière
dans le vide C=3.108m/s.
L’indice de réfraction du milieu est :

A. n = 2,0
B. n = 1,8
C. n = 1,5
D. n = 1,33

Q40 En médecine on utilise différents types de lasers en fonction des effet


recherchés, Chaque laser est caractérisé par une longueur d’onde. Un laser type CO 2
(10,6μm) est utilisé en chirurgie pour découper proprement certain tissus, un laser de
type Argon Ar (0,488μm) est utilisé en ophtalmologie dans certaine pathologie
rétinienne. Données C = 3.108m/s.

Cocher la ou les réponse (s) exacte (s) parmi :


A. La fréquence associée au laser de type CO2 est N=30GHz
B. Le laser du chirurgien est plus énergétique que celui de
l’ophtalmologue
C. Les radiations émises par les deux lasers appartiennent au
PHYSIQUE : LES ONDES

domaine visible
D. Le laser type Argon émet une radiation de couleur bleue

72
Q41 On schématise sur le document ci-dessous à une date t1 une onde transversale
se propageant le long d’une corde. L’axe Ox est confondu avec la corde au repos. O
est la source de l’onde à t=0. Cette perturbation se propage le long de la corde à la
vitesse v=20cm/s.
On donne xA=100cm, xB=110cm, xC=130cm et xM=160cm.

La valeur de la date t1 :
A. 4,5s
B. 5s
C. 6,5s
D. 7s

Q42 On schématise sur le document ci-dessous à une date t1 une onde transversale
se propageant le long d’une corde. L’axe Ox est confondu avec la corde au repos.
O est la source de l’onde à t=0. Cette perturbation se propage le long de la corde à la
vitesse v=20cm/s.
On donne xA=100cm, xB=110cm, xC=130cm et xM=160cm.

La durée de l’onde :
PHYSIQUE : LES ONDES

A. 0,5s
B. 1s
C. 1,5s
D. 2s

73
Q43 On observe sur un écran la figure de diffraction ci- joint d’un faisceau laser de
longueur d’onde par une fente de largeur a et de longueur b située à une distance L
de l’écran.

Si la fente est verticale, la figure de diffraction est :


A. Verticale
B. Oblique
C. Horizontale
D. Autre

Q44 Un sujet lance un cri devant une montagne à une distance D, l'intervalle de
temps entre l'envoie et la réception du son, est Δt 3,5s sachant que la vitesse du son
dans l'air est 330m/s,
La distance D séparant le sujet de la montagne est:

A. 1155 m
B. 580 m
C. 577 m
D. 5000 m

Q45 Une onde lumineuse à une fréquence de 4,5.1014 Hz dans l'air et une longueur
d'onde X, sachant que C=3.108 m/s, la couleur de cette lumière est :
PHYSIQUE : LES ONDES

A. rouge
B. bleu
C. verte
D. jaune

74
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 Le nucléide d’uranium 238 se transforme en nucléide de plomb 206 à travers


une suite de désintégrations α et β-. On modélise ses transformations nucléaires par
l’équation bilan suivante :
𝟐𝟑𝟖 𝟐𝟎𝟔
𝟗𝟐𝑼 ---------------> 𝟖𝟐𝑷𝒃 + x. −𝟏𝟎𝒆 + y. 𝟒𝟐𝑯𝒆
Les valeurs des nombres x, y et la composition du noyau d’uranium 238 :

A. P=92 ; N=164 x=4 y= 8


B. P=91 ; N=146 x=8 y= 6
C. P=92 ; N=146 x=8 y= 2
D. P=92 ; N=146 x=4 y= 9
E. P=91 ; N=140 x=8 y= 3

Q2 Le cobalt 𝑪𝒐𝟔𝟎
𝟐𝟕 est radioactif β- donne un noyau 𝑨
𝒁𝑵𝒊

déterminez la valeur A et Z :

A. A=60 Z=26
B. A=61 Z=27
C. A=60 Z=28
D. A=59 Z=27

Q3 On trouve de l’uranium et le plomb dans les roches avec des proportions qui
dépendent de la date de leurs formations. On suppose que le plomb dans quelques
roches provient uniquement de la désintégration de l’uranium 238 avec le temps. Soit
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

un échantillon de roche qui contenait à l’instant de sa formation qu’on considère


comme origine des dates, un nombre de noyau d’uranium 𝟐𝟑𝟖
𝟗𝟐𝑼.

Données :
R= 0,5 Le rapport de masse d’uranium 238 mu(t) sur la masse du plomb mPb(t)
M(238U) = 238 g.mol-1 ;M(206Pb) = 206 g.mol-1 ;Demi-vie de l’uranium (238U) : t1/2 =
4,5.109 ans. Ln(2)=1.41 ; ln(1,5)=0.4 ; 238/206=1.1 ;

75
L’âge de la roche minérale est proche de :
A. 2,9.108 ans
B. 1,9.109 ans
C. 2,5.109 ans
D. 2,9.109 ans

𝟐𝟏𝟐 𝟐𝟎𝟔
Q4-1 Le noyau de Polonium 𝟖𝟒𝑷𝒐, se désintègre en un noyau de Plomb 𝟖𝟐𝑷𝒃.

Au cours de cette désintégration, il y’a émission d’une particule sous forme :

A. Neutron
B. α
C. Electron
D. β

Q4-2 On considère un échantillon radioactif de Polonium 210, de demi-vie t1/2. Son


activité initiale est a0, et son activité à un instant t est a(t).

A l’instant t1 =3t1/2 Le rapport a1/a0 vaut :


A. 1/4
B. 1/6
C. 1/8
D. 1/16

Q5 Étude de la désintégration du nucléide de potassium 40 : le noyau de potassium


40 est radioactif, duquel il résulte le noyau d’Argon 𝟒𝟎
𝟏𝟖𝑨𝒓.

On donne ln(1.2)=0.2 ; Masse molaire : M(K) = M(Ar)


Demi-vie de potassium : t1/2 = 1,3.109 ans
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

L’analyse d’un échantillon d’une roche en basalte, a révélé qu’il contient à un instant
t, une masse mK=0,25 mg de potassium et mAr=1,25 mg. On considère que la roche de
basalte est formée à l’instant t0=0 et que l’argon 40 qu’elle contient résulte
seulement de la désintégration du potassium 40.

76
L’expression de l’âge de cette roche vérifie la relation ainsi sa valeur vaut :
𝑡1/2 𝑚𝐾
A. t= . Ln(1+ )
𝑙𝑛2 𝑚𝐴𝑟
t=3,7.10 8 ans
𝑡1/2 𝑚𝐴𝑟
B. t= . Ln(1- )
𝑙𝑛2 𝑚𝐾
t=2.10 8 ans
𝑡1/2 𝑚𝐴𝑟
C. t= . Ln(1+ )
𝑙𝑛2 𝑚𝐾
t=8.10 8 ans
𝑙𝑛2 𝑚𝐴𝑟
D. t= . Ln(1- )
𝑡1/2 𝑚𝐾
t=10 6 ans

Q6 L’astate 211 radioactif α, est utilisé en médecine nucléaire pour diagnostiquer


et suivre l’évolution de quelques tumeurs cancéreuses. La désintégration du noyau
d’astate 𝟐𝟏𝟏 𝒙
𝟖𝟓𝑨𝒕, produit l’isotope de l’élément bismuth 𝒚𝑩𝒊 .
La figure ci-contre représente les variations de Ln(N)
en fonction du temps t, avec N le nombre de noyaux
d’astate 211 restant à l’instant t.

La valeur de la demi-vie t1/2 de 𝟐𝟏𝟏


𝟖𝟓𝑨𝒕 en heure est :
A. 2ln2
B. 3ln2
C. 5ln2
D. 10ln2

Q7 On considère un échantillon de chlore 36 de masse 𝒎𝟎 à l’instant 𝒕 = 𝟎.


La mesure de l’activité de cet échantillon à un instant 𝒕𝟏 donne la valeur 𝒂𝟏 . On
considère 𝑴 la masse molaire du chlore 36 et 𝑵𝑨 le nombre d’Avogadro.

L’expression de la date 𝒕𝟏 est :


TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

𝑁𝐴 .𝑚0
A. . 𝑙𝑛 ( )
.𝑀.𝑎1
.𝑀.𝑎1
B. . 𝑙𝑛 ( )
𝑁𝐴 .𝑚0
1 𝑁𝐴 .𝑚0 .
C. . 𝑙𝑛 ( )
 𝑀.𝑎1
1 𝑀.𝑎1
D. . 𝑙𝑛 ( )
 𝑁𝐴 .𝑚0 .

77
Q8 La mesure de l’activité d’un échantillon d’eau de surface à un instant t a
donné la valeur a1 = 11,9.10-6 Bq et celle d’un autre échantillon de même volume
d’eau souterraine immobile la valeur a2 = 1,19.10-6 Bq. On suppose que le chlore 36
est le seul responsable de la radioactivité dans l’eau, et que son activité dans les eaux
de surface est égale à son activité dans les eaux souterraines à l’instant de la
formation des nappes d’eau souterraines qui est considéré comme origine des dates.
On donne ln(10)=2,3 ; 102/0,69=23 ;Demi-vie du chlore : t1/2 = 3.105 ans

L’âge de la nappe d’eau souterraine étudiée est :


A. 106 ans
B. 105 ans
C. 105 ans
D. 104 ans

Q9 Un échantillon de sol contient du tritium radioactif. A la date t = 0, l’activité de


cet échantillon est a0 = 2,0.106 Bq . A l’instant de date t1= 4ans, cette activité devient
égale à a1=1,6.106Bq . on donne ln(0,8)= -0,22 ; 𝒆−𝟎,𝟔𝟔 =0,5

L’activité a2 de cet échantillon à l’instant t2 12,4 ans devient :


A. 105
B. 106
C. 107
D. 108

Q10 Des archéologues ont trouvé une statue en bois dont l’activité est 86 Bq.
Sachant que l’activité d’un morceau de bois contemporain de même masse et de même
type de bois dont est faite la statue est 160 Bq.
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

On donne la Demi-vie du carbone 14 : t1/2 = 5570 ans

La valeur de l’âge approximatif de la statue de bois est :

A. 5570 ans
B. 5800 ans
C. 6700 ans
D. 5000 ans

78
𝟒𝟎
Q11 Un échantillon de potassium 𝟏𝟗𝑲 à une activité radioactive initial a0, et à un
instant t son activité est a(t). La désintégration de 𝟒𝟎 𝑨
𝟏𝟗𝑲 donne un gaz rare 𝐙𝑿 et un

rayonnement β+.
L’activité a(t) vérifie l’équation différentielle suivante :

A.

B.

C.

D.

𝟒𝟎
Q12 Un échantillon de potassium 𝟏𝟗𝑲 à une activité radioactive initial a0, et à un
instant t son activité est a(t). La désintégration de 𝟒𝟎 𝑨
𝟏𝟗𝑲 donne un gaz rare 𝐙𝑿 et un

rayonnement β+.
À t=3.t1/2 le rapport a/a0 est égale à :

A. 1/64
B. 1/32
C. 1/16
D. 1/8

TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

79
Q13 Un laboratoire de recherche nucléaire reçoit un échantillon d’un composé
radioactif Strontium 𝟗𝟎
𝟑𝟖𝑺𝒓. La masse de cet échantillon au moment de la réception est

m0 = 1g.
Données : la demi-vie de 𝟗𝟎 7
𝟑𝟖𝑺𝒓 est t1/2=3.10 s= 28 ans ; ln(2)=0,7 ; ln(3)=1,1 ; ln(5)=1,6 ;

ln(10)=2,3 ; NA=6,02.1023mol-1.

Q13-1 Le temps td écoulé pour que 99,9% de masse m0 ait disparue est de l’ordre de :

A. 265 ans
B. 270 ans
C. 276ans
D. 280𝑎𝑛𝑠

Q13-2 L’activité a0 de l’échantillon du 𝟗𝟎


𝟑𝟖𝑺𝒓au moment de la réception est de l’ordre de :

A. 104GBq
B. 106GBq
C. 103GBq
D. 105GBq

Q13.3-La masse de l’échantillon de 𝟗𝟎


𝟑𝟖𝑺𝒓 restant à l’instant t=84ans :

A. 20mg
B. 85mg
C. 90mg
D. 125mg
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

80
𝟐𝟑𝟖
Q14 Le plutonium 𝟗𝟒𝑷𝒖 est radioactif α. Un échantillon de plutonium contient à
t0=0, N0 noyaux de plutonium 𝟐𝟑𝟖
𝟗𝟒𝑷𝒖. On note Nd le nombre de noyaux de plutonium

𝟐𝟑𝟖 𝒅𝑵𝒅
𝟗𝟒𝑷𝒖 désintégrés à l’instant t. La courbe ci-contre représente les variations de 𝒅𝒕 en

fonction de Nd.
Donnée ln(2) = 0,7.

Q14-1 La valeur de la constante radioactive du plutonium 𝟐𝟑𝟖


𝟗𝟒𝑷𝒖 est :

A. 4,0.10-10 s-1
B. 2,5.10-10 s-1
C. 3,2.10-10 s-1
D. 2,5.10-11 s-1

Q14-2 La valeur du nombre de noyaux de plutonium présent dans l’échantillon à t 0 = 0


est :

A. 6,2.1018
B. 2,4.1018
C. 3,0.1020
D. 2,4.1020
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

Q14-3 La durée nécessaire pour la désintégration de la moitié des noyaux de plutonium


𝟐𝟑𝟖
𝟗𝟒𝑷𝒖 de l’échantillon est :

A. 1,2.1010 s
B. 5,2.1010 s
C. 2,8.109 s
D. 5,5.109 s

81
Q15 L’iode radioactif est une forme d’iode chimiquement identique à l’iode non
radioactif. L’iode est absorbé par la glande thyroïde pour produire l’hormone
thyroïdienne.
𝟏𝟑𝟏
L’iode radioactif 𝟓𝟑𝑰 est un émetteur β-. Le noyau fils est le xénon Xe. L’iode 131 est
capté par les cellules thyroïdiennes. Il s’y concentre et les irradie, ce qui permet leur
destruction.

Données : Demi vie de : t1/2=7.105 s ; M( 𝟏𝟑𝟏 -1


𝟓𝟑𝑰 )=131g.mol ;

NA=6.1023mol-1 ; Ln(2)=0,7 ; 600/131=4,5 ;

Q15-1 L’activité a0 en Bq d’un échantillon d’iode 𝟏𝟑𝟏


𝟓𝟑𝑰 de masse m=1g vaut

A. 5,5.10-15
B. 6,5.1015
C. 4,5.10-15
D. 4,5.1015

Q15-2 Lors d’analyse par scintigraphie, on injecte une solution d’iode d’activité
13,5.106 Bq. La masse m0 d’iode radioactif injectée est :

A. 4,5.109g
B. 0,3.1010g
C. 3.10-9g
D. 3.5.10-9g

Q16 On considère l’équation de désintégration radioactive du plutonium 238 :


𝟐𝟑𝟖 𝟐𝟑𝟒
𝟗𝟒Pu → 𝟗𝟐U + 𝟒𝟐He
238 238
Soit t1/2 la demi-vie du noyau de 94 Pu et Soit N0 (Pu) le nombre de noyaux de 94 Pu à
238 234
l’instant t=0. A un instant t1 on a : N( 94 Pu ) = 4N( 92 U ).
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

L’instant t1 vérifie la relation :


t1/ 2
t1 =
A. 4
t 1 = 4t 1/ 2
B.
Ln5
t1 = t1/ 2 ( - 2)
C. Ln2
5
t1 = 4t1/ 2 .Ln
D. 2

82
Q17 Pour déterminer l’âge d’un objet ancien en bois on utilise la datation par le
carbone 14. Dans un échantillon de cet objet on a 10 désintégrations par minute dans
1g du bois.
Données : 1g de bois récent contient 7.1010 atomes de carbone 14. ;
On donne λ=4.10-12s-1 = 1/8000 ans-1 ; 1/24=4,2.10-2 ; ln(2)=0,7 ; ln(3)=1,1 ;ln(7)=1,9 ;
ln(10)=2,3
Q17-1 L’activité radioactive de cet échantillon est :

A. 1,5Bq
B. 1/6Bq
C. 0,6Bq
D. 1Bq

Q17-2 Le nombre de noyaux radioactive dans 1g du bois ancien :

A. 5,2.1012
B. 4,2.1010
C. 6.1010
D. 7.1010

Q17-3 L’âge de l’objet ancien est de l’ordre de :

A. 5600 ans
B. 2800 ans
C. 4000 ans
D. 1200 ans

Q18 L’iode est un isotope radioactif β- de constante de désintégration


λ= 9.92 10-7 s-1 ; 1j= 8,6.104 s et 1s=0,11.10-4 j. Sa demi-vie est :

A. 280 h
B. 280 J
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

C. 8,08 j
D. 8,08 h

Q19 La masse initiale m0 d’une matière radioactive de période T est réduit à m0/8
pour une durée de :

A. T C. 3T
B. 2T D. 0,5T

83
𝟐𝟐𝟐
Q20 La désintégration du 𝟖𝟔𝑹𝒏 donne une particule α et un noyau qui est aussi
radioactif α, le noyau fil après les deux désintégrations est :

A. 218
84𝑃𝑜

B. 222
82𝑃𝑜

C. 214
82𝑃𝑏

D. 214
84𝑃𝑏

𝟐𝟐𝟔
Q21 Le radium 𝟖𝟖𝑹𝒂 est un élément radioactif qui donne un noyau de
𝟐𝟎𝟔
𝟖𝟐𝑷𝒃 après une série de désintégrations α et β-.
Le nombre de désintégration α et β- est :

A. 4α et 5β-
B. 5α et 5β-
C. 4α et 4β-
D. 5α et 4β-

Q22 Le 𝟑𝟐 𝟑𝟐
𝟏𝟓𝑷 est radioactif de demi-vie t1/2=14,2 jours. On a un échantillon de 𝟏𝟓𝑷 de

12mg, on donne ln(4)=1,4 La durée nécessaire pour que 9mg se désintègre est

A. 14,2jours
B. 28,4jours
C. 7,1jours
D. 21,3jours

Q23 L’uranium (Z=92) est radioactif α de constante radioactive λ 1. Le noyau fils


obtenu est radioactif β-. A partir de l’uranium 238 et après une première désintégration
α et 2 désintégrations β- successives, le noyau obtenu est l’uranium 234 radioactif.
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

Q23-1 Pour l’uranium 234 le nombre Z est :

A. 88
B. 90
C. 91
D. 92

84
Q23-2 L’uranium 234 se désintègre par émission α pour donner du thorium 230
radioactif de constante radioactive λ2. A l’équilibre dit séculaire les activités de
l’Uranium 238 et Thorium 230 sont égales. Leurs demi-vies physiques respectives sont
notées t1/2(1) et t1/2(2).
À cet équilibre le rapport des nombres de noyaux r=N(Th 230)/N(U238) est égale à :

A. 230/238
B. λ1/ λ2
C. λ2/ λ1
D. t1/2(1)/ t1/2(2).

Q23-3 Les demi-vies t1/2(1)= 4,5.109 années et t1/2(2)= 75000 années.


On donne 75/45=1,6 . Le rapport r est égale à :

A. 1,6 105
B. 1,6 106
C. 16.10-5
D. 1,6 .10-5

Q24 Le thorium 230 est radioactif α. Il donne du radium Ra(226). Le nombre de


noyaux initiaux du Th(230) est N0. Après un temps t=x.t1/2, il ne reste plus que Nt= N0/16
de noyaux de thorium actif.
Dans ce cas, le coefficient x est égale à :

A. 2
B. 4
C. 8
D. 16

Q25 A partir de l’uranium 238, après x désintégration α et y désintégration β - le


noyau obtenu est le Pb206 (Z=82) stable.
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

Les valeurs de x et y calculées sont :

A. x=20 y=10
B. x=16 y=8
C. x=8 y=6
D. x=4 y=2

85
Q26 Lors d’une scintigraphie thyroïdienne, on injecte à t 0 = 0, à un patient un
échantillon d’iode 123 d’activité 7MBq. L’iode 123 se répartie à 30% dans la thyroïde
et 70% dans le reste de l’organisme. On néglige le temps de fixation des noyaux dans
la thyroïde. Soit a0 l’activité dans le thyroïde à t0 = 0.
Données : ln(2)=0,69 ; e-13,8 = 2-20 = 10-6.

Q26-1 L’expression du nombre de noyaux d’iode 123 présent dans la thyroïde à


l’instant t = t1/2 est :
𝟐.𝒂𝟎 .𝒕𝟏/𝟐
A. N =
𝒍𝒏 (𝟐)
𝒂𝟎 .𝒕𝟏/𝟐
B. N =
𝒍𝒏 (𝟐)
𝒂𝟎 .𝒕𝟏/𝟐
C. N =
𝟐.𝒍𝒏 (𝟐)
𝒂𝟎
D. N =
𝟐.𝒍𝒏 (𝟐)
𝒕𝟏/𝟐
E. N =
𝟐.𝒍𝒏 (𝟐)

Q26-2 On considère que l’activité d’un échantillon radioactif devient négligeable


(échantillon inactif) après une durée de 20 demi-vie. Après l’injection, la valeur de
l’activité de l’échantillon lorsqu’il devient inactif est :

A. a = 5,6 Bq
B. a = 1,4 Bq
C. a = 3,4 Bq
D. a = 4,1 Bq
E. a = 2,1 Bq

𝟐𝟔𝑭𝒆 est radioactif  . On dispose, à l’instant t0=0, d’un échantillon de fer


Le fer 𝟓𝟗
Q27 -

59, d’activité a0. Chaque dix jours, on mesure l’activité a(t) de cet échantillon.
𝒂(𝒕)
On remarque que 𝒂(𝒕+𝟏𝟎) =1,17. (t en jours).
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

Données : Ln(1,17)=0,157
Q27-1 Le noyau fils formé lors de cette désintégration est :

A. 59
24𝐶𝑟

B. 59
25𝑀𝑛

C. 58
27𝐶𝑜

D. 59
27𝐶𝑜

E. 60
26𝐹𝑒

86
Q27-2 La valeur de la constante radioactive du 𝟓𝟗
𝟐𝟔𝑭𝒆 est :

A. =1,57.10-4 jours-1
B. =1,57.10-2 jours-1
C. =1,57.10-7 s-1
D. =1,57.10-2 s-1
E. =1,57.10-6 jours-1

𝟐𝟏𝟐
Q28 Le noyau de Bismuth 𝟖𝟑𝑩𝒊 est radioactif. L’écriture suivante donne deux
…..(𝟏)….. …..(𝟐)…..
𝟐𝟏𝟐 𝟐𝟏𝟐 𝑨𝟐
désintégrations successives de ce noyau : 𝟖𝟑𝑩𝒊 → 𝒁𝟏𝑷𝒐 → 𝟖𝟐𝑷𝒃.

Le type de la désintégration (1) et les valeurs de Z1 et A2 sont :

A.  Z1=84 A2= 208


B. - Z1=84 A2= 208
C. + Z1=82 A2= 208
D.  Z1=81 A2= 208
E. - Z1=84 A2= 212

Q29 Une roche radioactive de masse m0=1tonne contient à l’instant t0=0, (0,5%)
d’Uranium 235.
Données :
 Demi-vie de l’Uranium 235 : t1/2=7.108 ans = 2,2.1016s
 ln(2)=0,7 ; 47*0,128 = 6,02 ; 64/11=5,82 ; Na = 6,02.1023 mol-1 ; M(U) = 235g/mol.
Q29-1 Le nombre de noyaux d’Uranium 235 dans la roche à l’instant t 0=0 est :

A. 2,35.1024
B. 1,28.1025
C. 6,02.1025
D. 7,25.1026
E. 8,50.1026
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

Q29-2 L’activité a0 de l’Uranium 235 dans la roche à l’instant t=0 est :

A. 7.108 Bq
B. 6.108 Bq
C. 4,07.108 Bq
D. 3.107 Bq
E. 1,5.107 Bq

87
Q29-3 À l’instant t=28.108ans, l’activité de l’Uranium 235 est :

A. a = 0,5.a0
B. a = 0,25.a0
C. a = 0,125.a0
D. a=6,25.10-2.a0
E. a = 3,125.10-2a0

𝒚
Q30 Le noyau de Radium 𝟐𝟐𝟔
𝟖𝟖𝑹𝒂 se désintègre en donnant un noyau fils 𝒙𝑹𝒏 et une

particule .
Q30-1 Les valeur de x et y sont :

A. x= 88 ; y= 226
B. x= 87 ; y= 226
C. x= 87 ; y=222
D. x= 86 ; y= 222
E. x= 89 ; y= 226

𝒚
Q30-2 La composition du noyau fils 𝒙𝑹𝒏 est :

A. 86p ; 222n
B. 86p ; 136n
C. 87p ; 135n
D. 89p ; 137n
E. 88p ; 138n

𝟐𝟑𝟎
Q31 Le noyau du thorium 𝟗𝟎𝑻𝒉 subit une série de désintégrations successives de
types  et - qui conduisent à la formation du noyau de plomb, stable. L’équation
globale des désintégrations subie par le thorium s’écrit :
TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

𝟐𝟑𝟎
𝟗𝟎𝑻𝒉 → 𝟐𝟎𝟔
𝟖𝟐𝑷𝒃 + x. + y.
-

On dispose d’un échantillon contenant N0 noyaux de thorium à l’instant t0 = 0.


L’échantillon contient à un instant t, après une série de désintégrations 0,25mmol de
thorium 𝟐𝟑𝟎 𝟐𝟎𝟔
𝟗𝟎𝑻𝒉 et 0,75mmol de 𝟖𝟐𝑷𝒃.

On donne : la constante radioactive du thorium :  = 8,7.10-6ans-1 ; Ln(2) = 0,7.

88
Q31.1-Les valeurs de x et y sont :
A. x = 4 ; y =6
B. x = 2 ; y=4
C. x = 4 ; y =4
D. x = 6 ; y =4
E. x = 4 ; y=2

Q31-2 La valeur de la demi-vie du thorium est :


A. 1,4.104 ans
B. 5,5.104 ans
C. 8.104 ans
D. 4.105 ans
E. 8.105 ans

Q31-3 L’âge de l’échantillon est :


A. 2,7.104 ans
B. 1,6.105 ans
C. 1,6.104 ans
D. 2,4.105 ans
E. 2,2.106 ans

TRANSFORMATIONS NUCLÉAIRES

89
ÉLECTRICITÉ

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 Le montage de la figure 1. À l’instant t0 = 0, on place l’interrupteur K en position


(1). La courbe de la figure (2) représente l’évolution de la tension u c(t) aux bornes du
condensateur.
Donnée : I0 = 0,5mA.

La valeur de la capacité du condensateur est :

A. C = 5 F
B. C = 20 F
C. C = 55 F
D. C = 120 F
E. C = 500 F

Q2 On considère un circuit RC constitué d’un


condensateur de capacité C=500 µF et un
conducteur ohmique de résistance R. La courbe
représente l’évolution de uc(t).
La tension aux bornes du condensateur s’écrit :
uc(t) = A.e-t/RC avec A une constante.
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

Q2.1- Les valeurs de A et de R sont :

A. A = 6V R=50
B. A=10V R=100
C. A=10V R=200
D. A=10V R=1 k
E. A =5V R=0,5 k

90
Q2-2- L’intensité du courant électrique à l’instant t0 = 0 est :

A. 320mA
B. -200mA
C. -10mA
D. 200mA
E. 250mA

Q2-3- L’énergie électrique emmagasinée dans le condensateur à un instant t s’exprime


𝟏
par la relation : 𝛏𝐞 = 𝟐 . 𝐂. 𝐮𝟐𝐜 . La valeur de e à l’instant t = 0,25s est :

A. e = 9,0 mJ
B. e = 3,4 mJ
C. e = 5,0 mJ
D. e = 6,8 mJ
E. e = 1,2 mJ

Q3 Le montage de la figure (1) permet de charger en même temps deux


condensateurs de capacité C1 et C2 tel que C1  C2. Les deux conducteurs ohmiques ont
la même résistance R1 = R2 = R. À l’instant t0 = 0, on ferme l’interrupteur K. un système
d’acquisition permet d’enregistrer l’évolution des tensions u c1(t) et uc2(t) (figure 2).

Q3.1- Les valeurs des constantes du temps 1 et 2 des R1C et R2C sont :
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

A. 1=0,3s 2=1,2s
B. 1=0,3s 2=0,6s
C. 1=0,3s 2=1,5s
D. 1=0,6s 2=1,5s
E. 1=0,9s 2=1,5s

91
Q3.2- Les capacités C1 et C2 des deux condensateurs sont liées par la relation :

A. C2 = 5.C1
B. C2 = 0,2.C1
C. C2 = 0,5.C1
D. C2 = 1,5.C1
E. C2 = 2,3.C1

Q4 On considère le montage schématisé sur la figure ci-contre. À l’instant t = 0, on


place l’interrupteur K en position (1). Un système d’acquisition donne, l’expression
numérique de l’intensité du courant qui circule dans le circuit :
𝟏𝟎𝟎𝟎
i(t) = 6.10-3.𝐞− 𝟑𝟑
.𝐭
(A).
Données : E = 6,0 V ; R = 0,95 K.

Q4.1- Les valeurs de la résistance r et de la capacité C sont :

A. r = 50  ; C = 10 F
B. r = 20  ; C = 33 F
C. r = 10  ; C = 55 F
D. r = 50  ; C = 33 F
E. r = 50  ; C = 50 F

Q4.2- La valeur de l’énergie électrique e (mJ) emmagasinée dans le condensateur


quand : Uc = 0,75%.E

A. e= 0,33
B. e= 2,64
C. e= 5,02
D. e= 8,65
E. e= 9,27
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

Q4.3- Lorsque le condensateur devient totalement chargé, on bascule K en position (2),


à un instant pris comme nouvelle origine des dates (t 0 = 0).
L’expression numérique de la tension aux bornes du condensateur est :

92
1000
A. uC(t) = 6.(1-𝑒
− .𝑡
31,35 )
1000
B. uC(t) = 6.𝑒
− .𝑡
31,35

1000
C. uC(t) = 4.𝑒 − 50
.𝑡

1000
D. uC(t) = 4.(1-𝑒
− .𝑡
55,33 )
1000
E. uC(t) = 6.𝑒 − 25
.𝑡

Q5 On considère un circuit électrique en série comportant une bobine d’inductance


L et de résistance r, un conducteur ohmique de résistance R=50, un générateur de
tension de f.e.m E et un interrupteur K. À l’instant t = 0, on ferme K. Un système
d’acquisition donne les courbes d’évolution de la tension Uc(t) aux bornes du
conducteur ohmique et l’énergie magnétique m(t) emmagasinée dans la bobine.

Q5.1- L’équation différentielle vérifiée par l’intensité du courant qui traverse le circuit
est :
𝑑𝑖 𝐿 𝐸
A. + .𝑖 =
𝑑𝑡 𝑅+𝑟 𝐿
𝑑𝑖 𝑅+𝑟 𝐿
B. + .𝑖 =
𝑑𝑡 𝐿 𝐸
𝑑𝑖 𝐿
C. + .𝑖 = 0
𝑑𝑡 𝑅+𝑟
𝑑𝑖 𝑅+𝑟 𝐸
D. + .𝑖 =
𝑑𝑡 𝐿 𝐿
𝑑𝑖 𝑅+𝑟
E. + .𝑖 = 0
𝑑𝑡 𝐿
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

Q5.2- La valeur de la f.é.m. E est :

A. E = 4,5 V
B. E = 6 V
C. E = 10 V
D. E = 12 V
E. E = 24 V

93
Q5.3- La valeur des caractéristiques de la bobine sont :

A. r=10 ; L=0,2H
B. r=10 ; L=0,3H
C. r=8 ; L=0,3H
D. r=8 ; L=0,2H
E. r=4 ; L=0,4H

Q6 La capacité équivalente de l’association série de deux capacités C1 et C2 est :

A. C1+C2
𝑪𝟏 + 𝑪𝟐
B.
𝑪𝟏 𝑪𝟐

C. C1˟C2
𝑪𝟏 𝑪𝟐
D.
𝑪𝟏 + 𝑪𝟐

E. autre

Q7 On considère un circuit RC constitué d’une résistance R et d’une capacité C=2µF,


alimenté par une tension continue E=12V. La courbe de charge de la capacité en
fonction du temps est donnée par la figure ci-dessous.

D’après cette courbe, la valeur de la résistance est :


PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

A. 500 KΩ
B. 50 Ω
C. 0,5 KΩ
D. 50 KΩ
E. 50 Ω

94
Q8 Un appareil de chauffage utilise un résistor de résistance R. on applique entre
ses bornes une tension U=200v, sa puissance est P=200W.La valeur de R est :

A. 20Ω
B. 200Ω
C. 20kΩ
D. 9,09Ω
E. autre

Q9 Un courant, d’intensité i(t)=10t/(4+5t) (i en A et t en s), passe par une bobine


d’inductance L et de résistance négligeable. La tension entre les bornes de la bobine
est UL=0,2V à t=2s. La valeur de L est :

A. L=0,7 H
B. L=0,8 H
C. L=1 H
D. L=1,2 H
E. L=0,1 H

Q10 Un condensateur de capacité C=1,4 µF est chargé sous une tension de 3V, puis
on le décharge dans une bobine idéale d’inductance L. l’énergie emmagasinée dans le
circuit est :

A. 6,3J
B. 6,3µJ
C. 6,3mJ
D. 12,6µJ
E. autre

Q11 On monte en série un générateur de force électromotrice E de résistance


interne négligeable et un condensateur de capacité C et un conducteur ohmique R.
Le temps nécessaire pour charger le condensateur jusqu’à Uc=0,99E. On donne
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

Ln(10)=2,3

A. RC
B. 2,3RC
C. 3RC
D. 4,6RC
E. autre

95
Q12 On charge un condensateur C sous tension U0=6V, puis on le décharge dans un
dipôle (conducteur ohmique R=40Ω, bobine L=6.10-2H, r=10 Ω) la valeur du pseudo
période est T=3 ms. La valeur de la capacité du condensateur est :

A. 3,6mF
B. 0,12mF
C. 3,6µF
D. 0,22µF
E. autre

Q13 On monte en série une bobine L=1,1H, r=10 Ω et un conducteur ohmique R=50Ω
et un générateur de force électromotrice E=6v. on ferme le circuit pour un certain
temps. La tension aux bornes de la bobine est :

A. 100mV
B. 200mV
C. 1,2V
D. 103mV
E. faux

Q14 La durée de temps pour charger un condensateur C est égale à 30 ms dans un


circuit électrique RC de résistance R égale à 150Ω. La capacité du condensateur sera
donc :

A. 30µF
B. 40µF
C. 50µF
D. 60µF
E. autres

Q15 À un instant t=0, on relie un condensateur de capacité C=10 µF, chargé d'une
tension initiale Uo= 10 V à une bobine idéale d'inductance L =0,5 mH.
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

L'intensité du courant sinusale dans le circuit est :

A. 1,4A
B. 1,2A
C. 0,8A
D. 0,4A
E. autres

96
Q16 Un condensateur chargé sous une tension E=10V se décharge à travers un
conducteur ohmique de résistance R=0,1KΩ. Sa charge atteint 37% de sa valeur
maximale à t=1ms. La capacité de ce condensateur est :

A. 0,1μF
B. 10μF
C. 0,1F
D. 10mF
E. autres

Q17 Pour mesurer expérimentalement la capacité C d'un condensateur, on le charge


à courant constant d'intensité I = 2 mA. Au bout de t = 5 s, on mesure aux bornes du
condensateur une tension UC = 1V.

La capacité C du condensateur vaut :

A. 1mF
B. 5mF
C. 10mF
D. 20mF
E. 2mF

Q18 On monte en série un conducteur ohmique de résistance R et un condensateur


de capacité C. L’ensemble est alimenté par une tension continue E délivrée par un
générateur. À un instant t1, La tension aux bornes du condensateur est uc=𝟐/𝟑.E .

A. t1 = 3RC
B. t1 = RC/3
C. t1 = 𝟐/𝟑.RC
D. t1 = RC.ln(3)
E. autres
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

97
Q19 Un circuit RL est formé par un générateur (E), un bobine (L;r) et une résistance
R=80Ω. la courbe ci-contre représente les Variations de l’intensité i(t).

En régime permanant, la puissance dissipée par effet joule dans la bobine est 100mW
et dans la résistance est 800mW

Q19.1-La valeur de i à t=0,25ms est :

A. 63mA
B. 100mA
C. 189mA
D. 252mA
Q19.2- La valeur de r en Ω est :

A. 20
B. 15
C. 10
D. 5
Q19.3- Le coefficient d’auto induction L en mH est :

A. 25
B. 12,5
C. 22,5
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

D. 21,5
Q19.4- La valeur de la f e m E du générateur en V est

A. 10
B. 9
C. 8,5
D. 6

98
Q20 On considère un circuit RC en série avec un générateur idéal de tension de fem
E=10V. Le condensateur est déchargé initialement, à t=0 on ferme le circuit.
L’équation horaire du courant traversant le circuit est i(t)=10.e-t. (i en mA et t en ms).
On donne 𝒆−𝟐 =0,13 ; 𝒆−𝟑 = 0,05 ; 0,862= 0,73

Q20.1-La valeur de R et de C :

A. R=1K ; C=1mF
B. R=1K ; C=1F
C. R=100K ; C=100F
D. R=10K ; C=10F

Q20.2-À t=2 l’énergie emmagasinée dans le condensateur est :

A. 3,7 .10-5J
B. 6,7.10-6J
C. 1,8.10-7J
D. 0,8.10-7J

Q20.3- On ajoute en série avec le condensateur C un autre condensateur de capacité


C’. On obtient un circuit de constante du temps ’=/3.
La valeur de C’:

A. C’=2F
B. C’=2nF
C. C’=0,5F
D. C’=2mF

Q20.4- En branche en série avec le condensateur C une bobine d’inductance L, on


obtient un oscillateur de période propre T0=2ms. Le coefficient d’auto induction L est :

A. L=0,01H
B. L=0,1H
C. L=0,2mH
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

D. L=0,2H

99
Q21 On considère le montage ci-contre : R=2k, C1=5F, C2=10F, C3=15F, C4=20F
et E=12V. La constante du temps du circuit est :

A. 30ms
B. 15ms
C. 5ms
D. 21ms

Q22 On considère le circuit de la figure ci-contre, tel que R=1kΩ et le condensateur


initialement déchargé. À l’instant t=0, on place k
en position (1) et à l’instant t1=50s, on bascule
en position (2). Au cours de la décharge du
condensateur, la tension vérifie l’équation :
ln(Uc)= -2,5.(t-t1)+1,6
avec Uc en (V) et t en (s). On donne e‐1,6=0,2

Q22.1-La capacité du condensateur est égale (en


μF) À :

A. 100
B. 400
C. 200
D. 300
Q22.2- La tension Uc(t1) est égale (en V) à :

A. 3
B. 4
C. 5
D. 6

Q23 On considère une bobine de résistance r=8Ω et de coefficient d’auto-induction


PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

L=0,2H parcourue par un courant variable i(t) = 1,5-2000t (i en (A) et t en (ms))


La tension de la bobine à t0=0 est :

A. Ub(0)= 9,2V
B. Ub(0)= 10,4V
C. Ub(0)= 11,6V
D. Ub(0)= 12,8V

100
Q24 On monte en série une bobine de résistance r=10 Ω et d’inductance L=1,1 H, un
conducteur ohmique de résistance R=50Ω et un générateur de force électromotrice E=
6V puis on ferme le circuit pendant une longue durée. La tension aux bornes de la
bobine est :

A. 100 mV
B. 12 V
C. 2 V
D. 6 V
E. 1V

Q25 Une bobine de résistance r=6Ω et d’inductance L est parcourue par un courant
d’intensité : i(t)=4-2.t, t en seconde et i(t) en ampère. Sachant que la tension aux
bornes de la bobine est : UF =10,8V à l’instant t=1s, la valeur de l’inductance vaut :

A. 0,2H
B. 0,6H
C. 0,8 H
D. 1 H

Q26 On charge totalement à travers un conducteur ohmique de résistance R un


condensateur de capacité C=50μF à l’aide d’un générateur idéal de tension de force
électromotrice E (fig. 1). Un système d’acquisition nous permet de visualiser les
courbes uC(t) et uR(t) représentées sur la figure 2.

PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

Q26.1-L’expression de la tension uR(t) est :


−𝒕
A. UR= E(1 - 𝒆 𝝉 )
−𝒕
B. UR= E(1 + 𝒆 𝝉 )
−𝒕
C. UR= E. 𝒆 𝝉
−𝒕
D. UR= 1 - 𝒆 𝝉

101
Q26.2- L’instant t1 où les deux courbes se coupent vérifie :

A. t1= 2𝞽
B. t1= 𝞽ln2
C. t1= 𝞽(1+ln2)
𝝉
D. t1 =
𝒍𝒏𝟐

Q27 Le circuit suivant est constitué d’un générateur (E=4V) et un conducteur


ohmique (R=0,4 KΩ) et un condensateur (C=1 µF) et une bobine (L=0,4 H). Après la
charge en bascule l’interrupteur à la position 2 à un instant considéré comme origine
de temps t=0. Un système d’acquisition nous permet de visualiser les courbes u C(t) et

uR(t) représentées sur la figure.

L’Energie emmagasinée dans le condensateur est :


A. 5 µJ
B. 4 µJ
C. 7 µJ
D. 8 µJ

Q28 Dans le schéma suivant on a : R =10kΩ ; C=1µF ; E=6V.


Le condensateur n’est pas chargé initialement (à t = 0) A t = 0 on ferme K.
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

102
Juste après la fermeture du circuit 1, l’intensité du courant est :
A. 0,1 mA
B. 0,2 mA
C. 0,3 mA
D. 0,4 mA

Q29 Dans le schéma suivant on a : R =10kΩ ; C=1µF ; E=6V.


Le condensateur n’est pas chargé initialement (à t = 0 ) A t = 0 on ferme K.

La charge finale du condensateur est :


A. 3µC
B. 6µC
C. 5mC
D. 6mC

Q30 Dans le schéma suivant on a : R =10kΩ ; C= C1 =1µF ; C2=3C ; E=6V.


Les condensateurs ne sont pas chargés initialement (à t = 0) A t = 0 on ferme K.
Soit 𝞽1 la constante du temps du circuit 1 et 𝞽2 la constante du temps du circuit 2.

La valeur du rapport 𝞽1/𝞽2 :


A. 0,5s
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

B. 0,5
C. 0,25
D. 0,25s

103
Q31 Le condensateur équivalent du circuit entre A et B :

A. 4µF
B. 6µF
C. 8µF
D. 0,54µF

Q32 Le circuit suivant est constitué d’un


générateur (E=10V) et un condensateur
(C=10 µF) et une bobine et L=4mH. Après la
charge du condensateur en bascule
l’interrupteur à la position 2 à un instant
considéré comme origine de temps t=0.
L’énergie magnétique El emmagasinée dans
𝑻𝟎
la bobine à l’instant t = est :
𝟔

A. 0,375mJ
B. 0,775mJ
C. 0,975mJ
D. 1,275mJ
E. 1,525mJ
PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

104
Q33 On relie un condensateur de capacité C, initialement chargé par un conducteur
ohmique de résistance R=100KΩ. L’évolution de la charge q est représentée dans la
figure ci-contre.

La valeur absolue de l’énergie dissipée par effet joule dans le conducteur ohmique
entre t1=0s et t2=5s est :

A. 20mJ
B. 2mJ
C. 0,2mJ
D. 20J
E. autre

PHYSIQUE : ÉLECTRICITÉ

105
MÉCANIQUE

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 On lance vers le haut une petite boule à une vitesse initiale V0= 8m/s à l’instant
t=0s. La boule monte verticalement pour atteindre la hauteur maximale H, puis
retombe vers le sol. On donne : les frottements sont négligeables, g = 10 m/s2

Le temps tH (s) nécessaire par la boule pour atteindre le point H :

A. 1
B. 0,8
C. 0,6
D. 0,4
E. 0,2

Q2 On lance vers le haut une petite boule à une vitesse initiale V0= 8m/s à l’instant
t=0s. La boule monte verticalement pour atteindre la hauteur maximale H, puis
retombe vers le sol. On donne : les frottements sont négligeables, g = 10 m/s2

Le point H se trouve à la hauteur h :

A. 2,5 m
B. 3,0 m
C. 3,2 m
D. 3,5 m
E. 4,2 m

Q3 Un corps S1 est lâché à t=0, d’une hauteur h par rapport au sol, à la vitesse
V=0m/s. Après deux secondes, un deuxième corps S2 est lâché dans les mêmes
conditions que le premier (même endroit, sans vitesse initiale) on donne g = 10 m/s2
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

Quatre secondes après lâchage de S1, la distance qui sépare S1 et S2 est égale à :

A. 30 cm
B. 30 m
C. 60 m
D. 60 dm
E. 60 cm

106
Q4 un skieur de masse m désire franchir l’espace entre deux tremplins symétriques
ABI et CDJ (figure ci-contre) Pour cela, il aborde le premier tremplin
⃗ A tangente à (AB). Tous les frottements sont négligeables au
en A avec une vitesse 𝒗
cours de son mouvement.

Données: g=10m/s2 ; 𝒗A = 20 m/s ; = 30° ; sin(60) = 0,866 ; BI = h = 10m.

La valeur de la Vitesse du skieur en B est :


A. vB=10,1m/s
B. vB=12,4m/s
C. vB=14,1m/s
D. vB=18,2m/s

Q5 un skieur de masse m désire franchir l’espace entre deux tremplins symétriques


ABI et CDJ (figure ci-contre) Pour cela, il aborde le premier tremplin
⃗ A tangente à (AB). Tous les frottements sont négligeables au
en A avec une vitesse 𝒗
cours de son mouvement.

Données: g=10m/s2 ; 𝒗B = 14 m/s ; = 30° ; sin(60) = 0,866 ; BI = h = 10m.


⃗C
Le skieur chute sur le deuxième tremplin dans la position C avec une vitesse 𝒗
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

tangente à (CD). On donne 0,866 = 169/196

Le mouvement est étudié dans le repére (I , 𝒊 ; 𝒋 ) supposé galiléen.


A. BC = 7,2m
B. BC = 10,5m
C. BC = 13,2m
D. BC = 16,9m

107
Q6 Un skieur de masse m désire franchir l’espace entre deux tremplins symétriques
ABI et CDJ (figure ci-contre) Pour cela, il aborde le premier tremplin
⃗ A tangente à (AB). Tous les frottements sont négligeables au
en A avec une vitesse 𝒗
cours de son mouvement.

⃗C
Le skieur chute sur le deuxième tremplin dans la position C avec une vitesse 𝒗
tangente à (CD). Le mouvement est étudié dans le repère (I , 𝒊 ; 𝒋 ) supposé galiléen.

L’expression de l’ordonnée du sommet S de la trajectoire du skieur est :


𝒗𝟐 𝟐
𝑩. .𝒔𝒊𝒏 (𝜶)
A. ys =
𝒈
𝒗𝟐
𝑩. .𝒔𝒊𝒏(𝜶)
B. ys = +𝒉
𝟐.𝒈
𝒗𝟐 𝟐
𝑩. .𝒔𝒊𝒏 (𝜶)
C. ys = +𝒉
𝟐.𝒈
𝒗𝑩 .𝒔𝒊𝒏𝟐 (𝜶)
D. ys = +𝒉
𝒈
𝒗𝑩 .𝒔𝒊𝒏(𝜶)
E. ys = +𝒉
𝟐.𝒈

Q7 On considère l’oscillateur (solide (S) – ressort). Le ressort d’axe horizontal, de


masse négligeable et de raideur K. On étudie le mouvement du centre d’inertie G du
solide (S) de masse m dans un repère (O, 𝒊 ) lié à la terre supposée galiléen. On écarte
(S) de sa position d’équilibre et on l’abandonne sans vitesse initiale. À l’instant t=0,
choisi comme origine des dates, l’abscisse de G est x0G = -2 cm et la coordonnée de sa
vitesse dans le repère (O, 𝒊 ) est 𝒗0G = 0,2m/s.
On choisit l’état où le ressort n’est pas déformé comme référence de l’énergie
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

potentielle élastique Epe et le plan horizontal contenant G comme état de référence


de l’énergie potentielle de pesanteur Epp.
Données : m = 100 g ; K = 10N/m ; les frottements sont négligeables.
La valeur de l’énergie mécanique de l’oscillateur est :
A. Em = 4 mJ B. Em = 12 mJ
C. Em = 7 mJ D. Em = 5 mJ

108
Q8 On considère l’oscillateur (solide (S) – ressort). Le ressort d’axe horizontal, de
masse négligeable et de raideur K. On étudie le mouvement du centre d’inertie G du
solide (S) de masse m dans un repère (O, 𝒊 ) lié à la terre supposée galiléen. On écarte
(S) de sa position d’équilibre et on l’abandonne sans vitesse initiale. À l’instant t=0,
choisi comme origine des dates, l’abscisse de G est x0G = -2 cm et la coordonnée de sa
vitesse dans le repère (O, 𝒊 ) est 𝒗0G = 0,2m/s.
On choisit l’état où le ressort n’est pas déformé comme référence de l’énergie
potentielle élastique Epe et le plan horizontal contenant G comme état de référence
de l’énergie potentielle de pesanteur Epp.
Données : m = 100 g ; K = 10N/m ; les frottements sont négligeables.

L’expression numérique de l’équation horaire de mouvement du solide (S) en mètre


(m) :
𝟓𝝅
A. x(t) = 2.√𝟐10-2cos(10.t - )
𝟐
𝟓𝝅
B. x(t) = 2.√𝟐10-2cos(10.t + )
𝟒

C. x(t) = √𝟐10-2cos( 10..t )


𝝅
D. x(t) = 2.√𝟐10-2cos( 10.t + )
𝟑

Q9 On considère l’oscillateur (solide (S) – ressort). Le ressort d’axe horizontal, de


masse négligeable et de raideur K. On étudie le mouvement du centre d’inertie G du
solide (S) de masse m dans un repère (O, 𝒊 ) lié à la terre supposée galiléen. On écarte
(S) de sa position d’équilibre et on l’abandonne sans vitesse initiale. À l’instant t=0,
choisi comme origine des dates, l’abscisse de G est x0G = -2 cm et la coordonnée de sa
vitesse dans le repère (O, 𝒊 ) est 𝒗0G = 0,2m/s.
On choisit l’état où le ressort n’est pas déformé comme référence de l’énergie
potentielle élastique Epe et le plan horizontal contenant G comme état de référence
de l’énergie potentielle de pesanteur Epp.
Données : m = 100 g ; Em= 4 mJ ; K = 10N/m ; les frottements sont négligeables.
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

La valeur de la vitesse de passage de G par la position d’équilibre dans le sens positif


est :
A. 𝑣 éq = 2,82 m/s
B. 𝑣é𝑞 = 0,28 𝑚/𝑠
C. 𝑣 éq = 1,20 m/s
D. 𝑣 éq = 0,52 m/s

109
Q10 La période d’un pendule élastique constitué d’un ressort de raideur K et d’une
masse m=2kg est T0=2s. La constante k est donc :

A. 16 N/m
B. 30 N/m
C. 25 N/m
D. 20 N/m

Q11 On considère un mobile M(x,y) ponctuel dans un plan orthonormé (O,i,j), avec x
et y sont les coordonnées du point M en fonction du temps : x=3t et y=4t+3 (x et y en
mètre et t en seconde)
La distance parcourue par le mobile est :
A. 7,6m
B. 8m
C. 5,5m
D. 10m

Q12 On lance une boule de plombe de masse m sans vitesse initiale, du centre O de
l’axe verticale (o,k) dirigé vers le bas. La boule tombe sur le sol à l’instant t après avoir
parcourue une distance d=5m :

A. 1s
B. 5s
C. 8s
D. 10s

Q13 Un pendule simple constitué d’une bille de masse m, suspendue à l’extrémité


d’un fil non-extensible de masse négligeable et de longueur L. Ce pendule effectue
des oscillations libres d’amplitude faible. La période propre de cette oscillation est
T0=2s, on donne g=10m/s2.
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

La longueur du fil est :


A. 25 cm
B. 50 cm
C. 80 cm
D. 100 cm

110
Q14 On fixe à l’extrémité libre d’un ressort de masse négligeable, à spires non
jointives et de raideur K, un solide (S) de masse m. L’autre extrémité est fixée à un
support fixe.
Le solide (S) est susceptible de glisser sur un plan horizontal sans frottement.

On écarte le solide (S) de sa position


d’équilibre en sens négatif, d’une distance
X0, et on l’abandonne sans vitesse initiale à
l’instant t=0.

On choisit la position d’équilibre du solide (S) x=0 comme référence de l’énergie


potentielle d’élasticité Epe et on symbolise la période propre par T0

L’expression de la vitesse maximale du G est :


2𝜋
A. 𝑋0
𝑇0
𝑇0
B. 𝑋0
2𝜋
2𝜋
C. 𝑇0
𝑋0
2𝜋
D. ( )𝑋02
𝑇0

Q15 Un oscillateur mécanique horizontal est formé


d’un corps solide (S) de masse m=200g et de centre
d’inertie G, fixé à l’extrémité libre d’un ressort à spire
non jointives de masse négligeable et de raideur K.
L’autre extimité du ressort est fixée à un support. On
repère la position de G à chaque instant par l’abscisse
x dans le repère (O,i). On néglige les frottements.
On choisit la position x=0 de G (ressort non allongé)
comme référence de l’énergie potentielle élastique Epe
et le plan horizontale passant par G comme référence
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

de l’énergie potentielle de pesanteur. La courbe ci-joint


représente l’évolution de Epe en fonction de x2.
La valeur de la vitesse au point M(-1cm) est :
A. VG=2 m/s
B. VG=17,5 cm/s
C. VG=25,5 cm/s
D. VG=30,5 m/s

111
Q16 On lance vers le haut du point
A un corps solide (S), de masse
m=500g avec une vitesse initiale
VA=5m/s sur un plan incliné d’un
angle α=30° par rapport au plan
horizontal. On considère la force de
frottement constante et son intensité f=0,5N entre A et B.
Le solide quitte le rail en point B avec une vitesse V B et continu son mouvement,
seulement sous l’effet de son poids. On considère le repère orthonormé (O,i,j) et on
choisit l’instant de départ du solide le rail origine de temps. On donne g=10m/s 2

La valeur algébrique de l’accélération du mouvement G centre d’inertie entre A et B :


A. 3m/s2
B. -1,5m/s2
C. -2m/s2
D. -6m/s2

Q17 On lance vers le haut du point


A un corps solide (S), de masse
m=500g avec une vitesse initiale
VA=5m/s sur un plan incliné d’un angle
α=30° par rapport au plan horizontal.
On considère la force de frottement
constante et son intensité f=0,5N entre A et B, avec d=AB=2m.
Le solide quitte le rail en point B avec une vitesse V B et continu son mouvement,
seulement sous l’effet de son poids. On considère le repère orthonormé (O,i,j) et on
choisit l’instant de départ du solide le rail origine de temps. On donne g=10m/s 2
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

La vitesse en point B est

A. 0,25 m/s
B. 0,5 m/s
C. 1,0 m/s
D. 1,5 m/s

112
Q18 Lorsque le solide (S) quitte le
rail en point B, à un instant considéré
comme origine des temps, avec une
vitesse VB=1m/s
Par rapport au plan horizontal
inclinée d’un angle θ = 30°. On étudie
le mouvement de G dans le repère galiléen (B, i ', j') , et on néglige l’action de l'air au
cours du mouvement.
On donne g=10m/s2 ; AB=2m ; tan3i=0,57

L’équation de la trajectoire :
A. y= -5,5x2 + 0,57x+1
B. y= -3,3x2 + 0,57x+1
C. y= -6,6x2 + 0,57x+1
D. y= -5,5x2 + 0,57x+1

Q19 Un oscillateur mécanique est formé d’un solide (S) de masse m =100g et de
centre d’inertie G fixé à l’extrémité libre d’un ressort horizontal à spire non jointives
de masse négligeable et de raideur K, l’autre extrémité du ressort est fixé à un support.
2
On néglige les frottements et on prend π =10. La courbe suivante représente la
variation de la vitesse de G en fonction du temps. On choisit comme origine de l’énergie
potentielle élastique la position d’équilibre de (S) (x=0).

PHYSIQUE : MÉCANIQUE

L’amplitude des oscillations de G est :


A. Xm=0,3cm
B. Xm=3cm
C. Xm=4cm
D. Xm=5cm

113
Q20 Un oscillateur mécanique est formé d’un solide (S) de masse m =100g et de
centre d’inertie G fixé à l’extrémité libre d’un ressort horizontal à spire non jointives
de masse négligeable et de raideur K, l’autre extrémité du ressort est fixé à un support.
2
On néglige les frottements et on prend π =10. La courbe suivante représente la
variation de la vitesse de G en fonction du temps. On choisit comme origine de l’énergie
potentielle élastique la position d’équilibre de (S) (x=0).

L’énergie mécanique du système oscillant :


A. 4,5mJ
B. 9mJ
C. 10mJ
D. 12mJ

Q21 On réalise un essai de freinage d’une voiture de masse m =1t et de centre


d’inertie G sur une piste horizontale rectiligne. Lors d’un parcours AB =50m de sa
trajectoire, on enregistre en A une vitesse VA =30 m/s et en B une vitesse VB=25 m/s .

On considère que les forces de frottement sont équivalentes à une force de freinage
unique d’intensité f constante et de sens opposée à la vitesse

La valeur algébrique de l’accélération de G est :


A. aG= -2m/s2
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

B. aG= -2,5m/s2
C. aG= -2,75m/s2
D. aG= -3m/s2

114
Q22 On réalise un essai de freinage d’une voiture de masse m =1t et de centre
d’inertie G sur une piste horizontale rectiligne. Lors d’un parcours AB =50m de sa
trajectoire, on enregistre en A une vitesse VA =30 m/s et en B une vitesse VB=25 m/s .

On considère que les forces de frottement sont équivalentes à une force de freinage
unique d’intensité f constante et de sens opposée à la vitesse

L’intensité de la force de frottement est :


A. f=1000N
B. f=2500N
C. f=2750N
D. f=2850N

Q23 Un oscillateur mécanique horizontale (corps solide-ressort) est formé d’un


corps solide (S), de masse m=160g et de centre d’inertie G, fixé à l’extrémité libre d’un
ressort à spire non jointives de masse négligeable et de raideur K. L’autre extrémité du
ressort est fixée à un support. On repère la position de G à chaque instant t par
l’abscisse x dans le repère (O,i).
𝑿𝒎
On choisit la position x= de G (Xm étant l’amplitude des oscillations) comme
𝟐

référence de l’énergie potentielle élastique Epe et le plan horizontale passant par G


comme référence de l’énergie potentielle de pesanteur.
On néglige les frottements. La courbe ci-joint représente la variation de x en fonction
du temps.
𝟐𝝅𝒕
(x=Xmcos( +φ))
𝑻

PHYSIQUE : MÉCANIQUE

La valeur de la raideur du ressort :


A. 10N/m
B. 15N/m
C. 20N/m
D. 25N/m

115
Q24 Un oscillateur mécanique horizontale (corps solide-ressort) est formé d’un
corps solide (S), de masse m=160g et de centre d’inertie G, fixé à l’extrémité libre d’un
ressort à spire non jointives de masse négligeable et de raideur K. L’autre extrémité du
ressort est fixée à un support. On repère la position de G à chaque instant t par
l’abscisse x dans le repère (O,i).
𝑿𝒎
On choisit la position x= de G (m X étant l’amplitude des oscillations) comme
𝟐

référence de l’énergie potentielle élastique Epe et le plan horizontale passant par G


comme référence de l’énergie potentielle de pesanteur.
On néglige les frottements. La courbe ci-joint représente la variation de x en fonction
du temps.
𝟐𝝅𝒕
(x=Xmcos( +φ))
𝑻
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

La vitesse à l’origine des temps est :


A. -0,33m/s
B. -0,4m/s
C. 0,33m/s
D. 0,4m/s

116
Q25 Le wagon de queue d’un train se détache alors qu’il aborde une côte à la vitesse
V =30m/s. La masse du wagon et des voyageurs est de 170 tonnes, la voie fait un angle
α= 10° avec l’horizontale. Les roues du wagon sont freinées par un frottement solide
d’intensité constante f =221 kN. Une fois immobilisé. On donne sin(10°)=0,17 et g =10
m/s2

Le frottement solide est présent lors de la montée avec la même intensité.


L’accélération du mouvement du wagon est :

A. -0,3m/s2
B. -2m/s2
C. -3m/s2
D. 0,4m/s2

Q26 Le wagon de queue d’un train se détache alors qu’il aborde une côte à la vitesse
V. La masse du wagon et des voyageurs est de 170 tonnes, la voie fait un angle α= 10°
avec l’horizontale. Les roues du wagon sont freinées par un frottement solide
d’intensité constante f =221 kN. Une fois immobilisé. On donne sin(10°)=0,17 et g =10
m/s2

Le frottement solide est présent lors de la descente avec la même intensité.


L’accélération du mouvement du wagon est :
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

A. 0,3m/s2
B. 0,2m/s2
C. 0,25m/s2
D. 0,4m/s2

117
Q27 On lâche un corps sans vitesse initiale d’une hauteur h=20m du sol. On néglige
les frottements et on prend g=10 m/s2. Le corps arrive au sol avec une vitesse v :

A. v=20,48m/s
B. v=15,25m/s
C. v=30,03m/s
D. v=46,00m/s

Q28 Dans un repère (xoy) son axe (oy) est dirigé vers le haut, on lance à t=0 un corps
vers le haut du point O(0,0) avec une vitesse V0 en formant l’angle β avec le plan
horizontale. L’expression de Vy est :

A. gt +V0 cos(β)
B. gt +V0 sin(β)
C. gt -V0 sin(β)
D. gt +V0 sin(β)
E. faux

Q29 À partir de la surface de la lune (gL= 1,66m/s2) un astronaute lance une bille de
masse m vers le haut verticalement du point A situé à la hauteur h=1,5m avec une
vitesse initiale V0=2m/s à un instant considéré comme origine du temps. La hauteur
maximale atteinte par la bille est :

A. 1205cm
B. 2,41m
C. 1,5m
D. 2705cm

Q30 On lance un projectile de masse M d’un point O avec une vitesse 𝑉0 faisant un
angle 𝜶=𝟑𝟎° avec l’horizontale pour atteindre un objectif P(Figure). L’objectif P situé
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

au même niveau horizontal, est atteint


après 𝟒𝟎𝒔 du lancement du point O.
On néglige la résistance de l’air et on
prend 𝒈=𝟏𝟎𝒎.𝒔−𝟐 que l’on considère
constante.

118
La vitesse 𝑉0 au point O est :
A. 400m/s
B. 350m/s
C. 200m/s
D. 270m/s

Q31 On lance un projectile de masse M d’un point O avec une vitesse 𝑉0 faisant un
angle 𝜶=6𝟎° avec l’horizontale pour atteindre un objectif P(Figure). L’objectif P situé
au même niveau horizontal, est atteint
après 𝟒𝟎𝒔 du lancement du point O.
On néglige la résistance de l’air et on
prend 𝒈=𝟏𝟎𝒎.𝒔−𝟐 que l’on considère
constante.
La distance OP est :
A. 7800m
B. 7920m
C. 8000m
D. 8090m

Q32 Un oscillateur mécanique horizontal est formé d’un corps solide (S) de masse
m=200g et de centre d’inertie G, fixé à l’extrémité libre d’un ressort à spire non
jointives de masse négligeable et de raideur K. L’autre extimité du ressort est fixée à
un support. On repère la position de G à chaque instant par l’abscisse x dans le repère
(O,i). On néglige les frottements.
On choisit la position x=0 de G (ressort non allongé) comme référence de l’énergie
potentielle élastique Epe et le plan horizontale passant par G comme référence de
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

l’énergie potentielle de pesanteur. La courbe ci-joint représente l’évolution de Epe en


fonction de x2.

119
La période de l’oscillation est :
A. T0=2s
B. T0=0,5s
C. T0=0,2s
D. T0=0,3s
PHYSIQUE : MÉCANIQUE

120
CHIMIE
122
CHIMIE

Cocher la ou les propositions correctes :

Q1 Un mélange de volume V=100mL contient initialement n1(H2O2) = 3.10-3mol


d’eau oxygénée, n2(I-) = 5.10-3mol d’ion iodure et n3(H+) = 4.10-3mol d’ion hydrogène.
La réaction chimique qui se produit est modélisée par l’équation :
H2O2 (aq) + 2.I-(aq) + 2.H+(aq) → I2(aq) + 2.H2O (L).
Le suivi temporel de la formation de diiode I2(aq) a permis de tracer la courbe
I2 = f(t) ci-contre.

La valeur de l’avancement final (mol)


de la réaction est :
A. xf = 4.10-3
B. xf = 3.10-3
C. xf = 2,5.10-3
D. xf = 2.10-3
E. xf = 5.10-3

Q2 Un mélange de volume V=100mL contient initialement n1(H2O2) = 3.10-3mol


d’eau oxygénée, n2(I-) = 5.10-3mol d’ion iodure et n3(H+) = 4.10-3mol d’ion hydrogène.
La réaction chimique qui se produit est modélisée par l’équation :
H2O2 (aq) + 2.I-(aq) + 2.H+(aq) → I2(aq) + 2.H2O (L).
Le suivi temporel de la formation de diiode I2(aq) a permis de tracer
la courbe I2 = f(t) ci-contre.

La valeur du temps de demi-réaction


(min) est :
A. t1/2 = 20
B. t1/2 = 18
C. t1/2 = 14
CHIMIE

D. t1/2 = 12
E. t1/2 = 10

123
Q3 Un mélange de volume V=100mL contient initialement n1(H2O2) = 3.10-3mol
d’eau oxygénée, n2(I-) = 5.10-3mol d’ion iodure et n3(H+) = 4.10-3mol
d’ion hydrogène. La réaction chimique qui se produit est modélisée par l’equation :
H2O2 (aq) + 2.I-(aq) + 2.H+(aq) → I2(aq) + 2.H2O (L).
Le suivi temporel de la formation de diiode I2(aq) a permis de tracer la courbe I2 = f(t)
ci-contre.
La valeur de la vitesse volumique de
réaction à t0=0 est :
(en mmol.L-1.min-1).
A. v0 = 1
B. v0 = 2
C. v0 = 3,5
D. v0 = 5
E. v0 = 10

Q4 À 25°c, dans un ballon une masse m de carbonate de calcium CaCO 3 (S) et on y


verse à t0 = 0, le volume VA = 158mL d’une solution aqueuse d’acide lactique de
concentration CA = 8,0.10-2mol/L.
La transformation qui se produit est modélisée par l’équation :
CaCO3(S) + 2.C3H6O3(aq) → CO2(g) + Ca2+(aq) + 2.C3H5O3-(aq) + H2O(L)
La courbe ci-contre représente
l’évolution de l’avancement de la
réaction en fonction du temps x=f(t).
Données :
 temps de demi-réaction t1/2 = 18s.
 le volume molaire des gaz
Vm = 24L/mol ;
 La masse molaire
M(CaCO3) = 100g/mol

La valeur de l’avancement final (mmol) de la réaction est :


A. xf = 12,6
B. xf = 6,32
C. xf = 4,3
CHIMIE

D. xf = 3
E. xf = 1,5

124
Q5 À 25°c, dans un ballon une masse m de carbonate de calcium CaCO 3 (S) et on y
verse à t0 = 0, le volume VA = 158mL d’une solution aqueuse d’acide lactique de
concentration CA = 8,0.10-2mol/L.
La transformation qui se produit est modélisée par l’équation :
CaCO3(S) + 2.C3H6O3(aq) → CO2(g) + Ca2+(aq) + 2.C3H5O3-(aq) + H2O(L)
La courbe ci-contre représente l’évolution de l’avancement de la réaction en fonction
du temps x=f(t).

Données :
 temps de demi-réaction
t1/2 = 18s.
 le volume molaire des gaz
Vm = 24L/mol ;
 La masse molaire
M(CaCO3) = 100g/mol.

La valeur de la masse m est :


A. m = 30 g
B. m = 3 g
C. m = 0,3 g
D. m = 3 mg
E. m = 30 mg

Q6 À 25°c, dans un ballon une masse m de carbonate de calcium CaCO3 (S) et on y


verse à t0 = 0, le volume VA = 158mL d’une solution aqueuse d’acide lactique de
concentration CA = 8,0.10-2mol/L.
La transformation qui se produit est modélisée par l’équation :
CaCO3(S) + 2.C3H6O3(aq) → CO2(g) + Ca2+(aq) + 2.C3H5O3-(aq) + H2O(L)
La courbe ci-contre représente l’évolution de l’avancement de la réaction en fonction
du temps x=f(t).

Données :
 temps de demi-réaction
CHIMIE

t1/2 = 18s.
 le volume molaire des gaz
Vm = 24L/mol ;
 La masse molaire
M(CaCO3) = 100g/mol.

125
La valeur du volume de dioxyde de carbone (ml) formé à l’instant t=t1/2 est :
A. 151
B. 72
C. 51,6
D. 18
E. 36

Q7 L’acide acétylsalicylique de formule brute C9H8O4, connu sous le nom d’Aspirine


est utilisé dans de nombreux médicaments pour ses propriétés antalgiques et anti-
inflammatoires.
On dissout un comprimé d’aspirine dans un volume V= 100mL d’eau pure pour obtenir
une solution aqueuse (S). La conductivité de la solution (S) vaut  = 109 mS.m-1.
La transformation chimique qui se produit est modélisée par l’équation :
C8H7O2COOH(aq) + H2O(L)  C8H7O2COO-(aq) + H3O+(aq)

Données :
 1 = ( C8H7O2COO- ) = 3,6.10-3S.m2mol-1 ; 2 = ( H3O+ ) = 35,0.10-3S.m2mol-1
 On néglige l’effet des ions HO- sur la conductivité de la solution (S).
 M( C9H8O4)=180g/mol ; Ke = 10-14
 Log(2,82) = 0,45 ; 2,82 x 38,6 = 109 ; 9 x 27,8  250

La valeur de la concentration molaire effective en ions oxonium dans la solution (S)


est : (en m.mol/L)
A. 2,82
B. 1,41
C. 38,6
D. 19,3
E. 0,109

Q8 L’acide acétylsalicylique de formule brute C9H8O4, connu sous le nom d’Aspirine


est utilisé dans de nombreux médicaments pour ses propriétés antalgiques et anti-
CHIMIE

inflammatoires.

126
On dissout un comprimé d’aspirine dans un volume V= 100mL d’eau pure pour obtenir
une solution aqueuse (S). La conductivité de la solution (S) vaut  = 109 mS.m-1.
La transformation chimique qui se produit est modélisée par l’équation :
C8H7O2COOH(aq) + H2O(L)  C8H7O2COO-(aq) + H3O+(aq)

Données :
 1 = ( C8H7O2COO- ) = 3,6.10-3S.m2mol-1 ; 2 = ( H3O+ ) = 35,0.10-3S.m2mol-1
 On néglige l’effet des ions HO- sur la conductivité de la solution (S).
 M( C9H8O4)=180g/mol ; Ke = 10-14
 Log(2,82) = 0,45 ; 2,82 x 38,6 = 109 ; 9 x 27,8  250

La valeur du pH de la solution (S) est :


A. pH = 2,10
B. pH = 2,41
C. pH = 2,55
D. pH = 3,21
E. pH = 3,96

Q9 L’acide acétylsalicylique de formule brute C9H8O4, connu sous le nom d’Aspirine


est utilisé dans de nombreux médicaments pour ses propriétés antalgiques et anti-
inflammatoires.
On dissout un comprimé d’aspirine dans un volume V= 100mL d’eau pure pour obtenir
une solution aqueuse (S).

Données :
 M( C9H8O4)=180g/mol ; Ke = 10-14
 Log(2,82) = 0,45 ; 2,82 x 38,6 = 109 ; 9 x 27,8  250

On titre le volume VA=50mL de la solution (S) par une solution aqueuse d’hydroxyde
de sodium (Na+(aq) + HO-(aq)) de concentration molaire CB = 5,0.10-2mol/L. Le volume
versé à l’équivalence est VBE = 27,8 mL.

La valeur de la masse d’aspirine (mg) contenue dans le comprimé étudié est :


A. 0,5
CHIMIE

B. 125
C. 1000
D. 250
E. 500

127
Q10 L’acide acétylsalicylique de formule brute C9H8O4, connu sous le nom d’Aspirine
est utilisé dans de nombreux médicaments pour ses propriétés antalgiques et anti-
inflammatoires.
On dissout un comprimé d’aspirine dans un volume V= 100mL d’eau pure pour obtenir
une solution aqueuse (S).

Données :
 M( C9H8O4)=180g/mol ; Ke = 10-14 ; k= 3,2x1010

On titre le volume VA=50mL de la solution (S) par une solution aqueuse d’hydroxyde
de sodium (Na+(aq) + HO-(aq)) de concentration molaire CB = 5,0.10-2mol/L.
Le volume versé à l’équivalence est VBE = 27,8 mL.

La valeur de la constante d’acidité KA du couple acide/base associé à l’acide


acétylsalicylique est :
A. KA = 2,0.10-5
B. KA = 6,3.10-5
C. KA = 3,2.10-4
D. KA = 6,3.10-6
E. KA = 4,0.10-7

Q11 Une solution aqueuse (S), d’acide monochloroéthanoïque de formule


ClCH2COOH, de volume V, de concentration molaire C=10-2mol/L et de pH=2,43.
Données : 100,57 = 3,7 ; 10-0,43 = 0,37 ; 100,43 = 2,7.

La valeur du taux d’avancement final de la réaction est :

A.  = 0,27
B.  = 0,37
C.  = 0,42
D.  = 0,47
E.  = 0,52
CHIMIE

128
Q12 Une solution aqueuse (S), d’acide monochloroéthanoïque de formule
ClCH2COOH, de volume V, de concentration molaire C=10-2mol/L et de pH=2,43.
Données : 100,57 = 3,7 ; 10-0,43 = 0,37 ; 100,43 = 2,7.

Les concentrations molaires des espèces ClCH2COOH(aq) et ClCH2COO-(aq) dans la


solution (S) vérifient l’égalité :

A.  ClCH2COOH  = 5. ClCH2COO-


B.  ClCH2COOH  = 2,5. ClCH2COO-
C.  ClCH2COOH  = 1,7. ClCH2COO-
D.  ClCH2COOH  = 10. ClCH2COO-

Q13 On introduit initialement dans un bécher une solution aqueuse d’acide


méthanoïque HCO2H et une solution aqueuse d’éthanoate de sodium Na+(aq) +
CH3CO2-(aq).
Les deux solutions ont même volume V et même concentration molaire C.
La transformation chimique qui se produit est modélisée par l’équation :
HCO2H(aq) + CH3CO2-(aq)  HCO2-(aq) + CH3CO2H(aq) ; de constant d’équilibre K=10.

Données
 KA1(CH3CO2H / CH3CO2-)= 1,8.10-5
 √𝟏𝟎 = 3,16 * 76 x 416 =3,16.104

L’expression du taux d’avancement final à l’état d’équilibre du système est :


𝟏+√𝑲
A.  =
√𝑲

B.  =
√𝑲
𝟏+√𝑲

C.  =
√𝑲
𝟏−√𝑲
𝟏−√𝑲
D.  =
√𝑲
𝟏−√𝑲
E.  =
𝟏+√𝑲
CHIMIE

129
Q14 On introduit initialement dans un bécher une solution aqueuse d’acide
méthanoïque HCO2H et une solution aqueuse d’éthanoate de sodium Na+(aq) + CH3CO2-
(aq). Les deux solutions ont même volume V et même concentration molaire C.
La transformation chimique qui se produit est modélisée par l’équation :
HCO2H(aq) + CH3CO2-(aq)  HCO2-(aq) + CH3CO2H(aq) ;
de constant d’équilibre K=10.

Données
 KA1(CH3CO2H / CH3CO2-)= 1,8.10-5
 √𝟏𝟎 = 3,16 * 76 x 416 =3,16.104

La valeur du taux d’avancement final de la réaction est :


A.  = 0,45
B.  = 0,60
C.  = 0,55
D.  = 0,76
E.  = 0,20

Q15 On introduit initialement dans un bécher une solution aqueuse d’acide


méthanoïque HCO2H et une solution aqueuse d’éthanoate de sodium Na+(aq) + CH3CO2-
(aq). Les deux solutions ont même volume V et même concentration molaire C. La
transformation chimique qui se produit est modélisée par l’équation :
HCO2H(aq) + CH3CO2-(aq)  HCO2-(aq) + CH3CO2H(aq); de constant d’équilibre K=10.

Données
 KA1(CH3CO2H / CH3CO2-)= 1,8.10-5
 √𝟏𝟎 = 3,16 * 76 x 416 =3,16.104

La valeur de la constante d’acidité du couple HCO2H/HCO2- est :


A. KA2 = 4,5.10-5
B. KA2 = 6,8.10-5
C. KA2 = 7,2.10-5
D. KA2 = 1,8.10-4
CHIMIE

130
Q16 Certains produits pharmaceutiques sont fabriqués à partir de l’éthanamine
(l’éthylamine), de formule chimique C2H5NH2 qui est une base selon Bronsted.
On prépare une solution aqueuse (SB) d’éthanamine de concentration molaire
CB= 2,0.10-2mol/L et de pH = 11,5

La transformation chimique qui a eu lieu lors de la préparation de la solution (S B) est


modélisée par l’équation :

A. C2H5NH2 + H2O  C2H5NH- + H3O+


B. C2H5NH2 + H2O  C2H5NH3+ + HO-
C. C2H5NH2 + H3O+  C2H5NH3+ + H2O
D. C2H5NH2 + H2O  C2H5NH- + HO-

Q17 Certains produits pharmaceutiques sont fabriqués à partir de l’éthanamine


(l’éthylamine), de formule chimique C2H5NH2 qui est une base selon Bronsted.
On prépare une solution aqueuse (SB) d’éthanamine de concentration molaire
CB = 2,0.10-2mol/L et de pH = 11,5.

L’expression du taux d’avancement final de la réaction est :


𝟏𝟎−𝑷𝑯
A.  =
𝑪𝑩
𝟏𝟎𝑷𝑯−𝑷𝑲𝒆
B.  =
𝑪𝑩
𝟏𝟎𝒑𝑲𝒆−𝑷𝑯
C.  =
𝑪𝑩
𝟏𝟎−𝑷𝑯
D.  =
𝑪𝑩 .𝒑𝑲𝒆
𝑷𝑯
E.  =
𝑪𝑩 .𝒑𝑲𝒆

Q18 Certains produits pharmaceutiques sont fabriqués à partir de l’éthanamine


(l’éthylamine), de formule chimique C2H5NH2 qui est une base selon Bronsted.
CHIMIE

On prépare une solution aqueuse (SB) d’éthanamine de concentration molaire


CB = 2,0.10-2mol/L et de pH = 11,5.
Données : pKe = 14 ; 100,5  3,16 ; 10-0,5  0,316 ; 162  256 ; 128  6  21.

131
La valeur du taux d’avancement final de la réaction est :
A.  = 0,08
B.  = 0,10
C.  = 0,16
D.  = 0,30
E.  = 0,45

Q19 Certains produits pharmaceutiques sont fabriqués à partir de l’éthanamine


(l’éthylamine), de formule chimique C2H5NH2 qui est une base selon Bronsted.
On prépare une solution aqueuse (SB) d’éthanamine de concentration molaire
CB = 2,0.10-2mol/L et de pH = 11,5.
Données :  = 0,16 ; pKe = 14 ; 162  256 ; 128  6  21.

La valeur du quotient de réaction Qr,éq à l’état d’équilibre du système est :


A. Qr,éq = 6.10-4
B. Qr,éq = 8.10-4
C. Qr,éq = 3.10-4
D. Qr,éq = 5.10-5

Q20 On forme une pile plomb/Etain en associant :


 Une lame d’étain Sn, plongée partiellement dans V=100mL d’une solution aqueuse
de chlorure d’étain II : Sn2+ + 2Cl- de concentration initiale C1=[ Sn2+ ]=0,1mol.L

 Une lame de plomb Pb, plongée partiellement dans V=100mL d’une solution
aqueuse de nitrate de plomb II : Pb2+ + 2NO3- de concentration initiale C2=
[Pb2+]=0,01mol.L

Les deux lames sont liées par un résistor et un interrupteur monté en série et les deux
solutions par un pont salin.
A t=0, on ferme l’interrupteur et un courant d’intensité supposée constante I=10mA
circule dans le circuit. On donne : 1F =9,65.10 4 C.mol-1
CHIMIE

La constante d’équilibre associée à l’équation :

vaut k=2,18
L’avancement de la réaction à l’équilibre est :

132
A. 𝑥𝑒 =
𝐶2+ 𝐾𝐶1
1−𝐾
V

B. 𝑥𝑒 =
𝐶1+ 𝐾𝐶2
1+𝐾
V

𝐾𝐶1+ 𝐶2
C. 𝑥𝑒 = 1+𝐾
V

D. 𝑥𝑒 =
𝐾𝐶1 −𝐶2
1+𝐾
V

Q21 On réalise un mélange équimolaire de méthanoate d’éthyle et d’eau.


Dans des conditions expérimentales déterminées, on est aboutie à tracer le graphe de
l’évolution avec le temps de la quantité de matière de l’ester. (Schéma ci-contre)

Le temps de la demi-réaction est :


A. 20 min
B. 25 min
C. 50 min
D. 75 min

Q22 Une solution aqueuse d’acide chloridrique a un pH=1, on y ajoute 100 ml d’eau
à 50 ml d’HCl. On donne log(30)=1,48 ; log(15)= 1,17 ; log(5)= 0,69

Le pH de cette solution devient :

A. 0,69
CHIMIE

B. 1,48
C. 2,69
D. 3,48

133
Q23 On a une solution Sa d’acide acétique de concentration Ca=2.10-2 mol/L, et
pH=3,2. On donne 10-6,2=6,31.10-7 ; 0,5. 10-1,2= 3,15.10-2
Le taux d’avancement est :

A. 4%
B. 2%
C. 0,2%
D. 3,1%

Q24 On dissout un comprimé de 500 mg de vit C(C6H8O6) dans 100 mL d’eau, la


solution (S1) obtenue a un pH : pH1=2
On donne M(H)=1 g/mol ; M(O)=16 g/mol; M(C)=12 g/mol

La constant d’équilibre (K1) est proche de :


A. 54. 10-2
B. 54. 10-3
C. 54. 10-4
D. 54. 10-5

Q25 On dissout un comprimé de 500 mg de vit C(C6H8O6) dans 100 mL d’eau, la


solution (S1) obtenue a pH1=2,8
On dilue 10 fois la solution S1 et on obtient alors une solution S2 de pH2= 3,3.
Soit 𝞽1 le taux d’avancement de la solution S1 et 𝞽2 le taux d’avancement de la solution
S2 .

𝝉𝟐
Le rapport du est :
𝝉𝟏
10−𝑝𝐻1
A.
10−𝑝𝐻2
10−𝑝𝐻2
B.
10−𝑝𝐻1

C. 10𝑝𝐻1−𝑝𝐻2+1
D. 10𝑝𝐻1−𝑝𝐻2−1
CHIMIE

Q26 On dose un volume V 1 =20mL d’une solution aqueuse de sulfate de fer II par
une solution aqueuse de permanganate de potassium (en milieu acide) de
concentration C2 =2.10-2 mol/l. Le volume à l’équivalence est V 2 =20mL.

134
La concentration de la solution de sulfate de fer II est:
A. 0.2 mol/l
B. 0.1 mol/l
C. 0.05 mol/l
D. 0.02 mol/l

Q27 Une bouteille d’un litre de vinaigre à 6° contient 60g d’acide éthanoïque. Le pH
de ce vinaigre est pH=2,3. On donne M (CH3 COOH) = 60g/mol ; 10-2,3 =5.10-3

[𝑪𝑯𝟑𝑪𝑶𝑶𝑯]
Le rapport :
[𝑪𝑯𝟑𝑪𝑶𝑶−]
A. 200
B. 150
C. 100
D. 50

Q28 Soit une solution d’acide fort de concentration C1=0,21mol/L.


Quelle est le volume d’eau qu’il faut ajouter à 1L de cette solution pour que la
concentration devient C2=0,07mol/L.

A. 0,1L
B. 2,5L
C. 2L
D. 3L
E. 3,5L

Q29 Pour préparer une solution d’acide chlorhydrique de pH=2, on dissout un


volume V du gaz HCL dans 200g d’eau. On donne le volume molaire V m=22,4L/mol.

A. 48cm3
B. 45,5cm3
C. 47,5cm3
D. 44cm3
CHIMIE

E. 44,8cm3

Q30 Le pH d’une solution d’acide fort est :


A. pH=LnH3O+
B. pH=LogH3O+

135
C. pH=Log(1/H3O+)
D. pH=LogHO-

Q31 On considère les constantes ka des couples acide-base suivants :


Ka(NH4+/NH3)=6,3.10-10 ; Ka(H2S/HS-)=10-7 ; Ka(HF/F-)=6,3.10-4

Classer les acides des couples précédents selon la force d’acidité.

A. NH4+ H2S  HF
B. NH4+ HF  H2S
C. HF  H2S  NH4+
D. H2S NH4+  HF

Q32 à 25°c et sous une pression de 1bar, quelle est l’équation de la réaction de
l’oxygène et du propane.

A. 2C3H8g+3O2g→6COg+8H2L
B. 2C3H8g+3O2g→6COL+8H2g
C. 2C3H8g+10O2g→6CO2g+8H2OL
D. C3H8g+7Og→3COg+H2OL

Q33 La réaction d'un ester avec de l'eau est dite :


A. Une estérification.
B. Une saponification.
C. Une hydrolyse.
D. Une oxydation
E. Une déshydratation

Q34 Le nom de la molécule ci-contre écrite en formule semi-développée est :


CHIMIE

136
A. Butanoate d'éthyle.
B. Ethanoate-2-méthylbutyle.
C. 2-Ethyl Butanoate d'éthyle.
D. 2-Méthyl Butanoate d'éthyle.
E. Méthyl propanoate d'éthyle

Q35 La demi-équation de la réduction des ions bichromates Cr2072- dans un milieu


acide est :

A. Cr2O72- +14 H+ + 6e- → 2Cr³++7H₂O


B. Cr2O72- +14 H+ + 5e- → 2Cr³++7H₂O
C. Cr2O72- +8 H+ + 5e- → 2Cr³++7H₂O
D. Cr2O72- +14 H+ → 2Cr³++7H₂O
E. Cr2O72- +8 H+ → 2Cr³++7H₂O

Q36 La solution aqueuse d’hydroxyde de sodium de concentration C=10 -2 mol/l et


pH=12.

Sachant que le pKe=14, si on dilue 10 fois cette solution son pH devient :

A. 10
B. 11
C. 12
D. 12.5
E. 13

Q37 Le couple acide base (AH/A-) est caractérisé par la constante pKa=9.2 ;
𝑨−
le rapport des concentrations dans une solution avec pH=8.2 est de
𝑨𝑯

A. 0.01
B. 10
C. 0.1
CHIMIE

D. 1
E. 0.82

137
Q38 On prépare une solution aqueuse (S) d’hydroxyde de sodium NaOH en
dissolvant une masse m=6g de NaOH dans de l’eau pur pour obtenir 500 ml de ce
soluté.
Sachant que la masse molaire de NaOH est de 40 g/mol, la concentration finale de la
solution (S) est de :

A. 0.15
B. 0.30
C. 0.45
D. 0.60
E. 0.75

Q39 L’arôme de la banane est dû à l’existence d’éthanoiate 2-méthyl-butyle, de


formule topologique :

A.

B.

C.

D.

Q40 La réaction entre l’eau de Javel et le jus de citron est une réaction
A. Ox-Red
B. Saponification
C. Hydrolyse
D. Acide/base
E. Autre

Q41 La réaction d’estérification est :


A. Une réaction rapide et totale
CHIMIE

B. Une réaction rapide et limitée


C. Une réaction exothermique
D. Une réaction endothermique

138
Q42 Les caractéristiques du dosage sont :

A. Totale et lente
B. Sélective, rapide et totale
C. Sélective et lente
D. Le produit consommé est le titrant

Q43 On considère la réaction : ;


basé sur les couple acido-basique A1/B1 et A2/B2 et de constante d’équilibre
respectivement K1 et K2.

L’expression de la constante d’équilibre K est :


𝐾𝐴1
A. 𝐾 =
𝐾𝐴2
𝐾𝐴2
B. 𝐾 =
𝐾𝐴1

C. 𝐾 = 𝐾𝐴1 ∗ 𝐾𝐴2
𝐾𝐴1
D. 𝐾 −1 =
𝐾𝐴2

E. autre

Q44 Une solution aqueuse d’acide trifluoroacétique a un pH=1, on ajoute 100 ml


d’eau pure à 50 ml de cette solution. On donne log(30)=1,48 ; log(15)= 1,17 ; log(5)=
0,69.

Le pH de la solution obtenue est :

A. 2,4
B. 1.4
C. 0.8
D. 3.2
E. 5.6
CHIMIE

139
Q45 On neutralise 40 ml d’acide acétique de concentration 3.10-3 mol/l par une
solution de KOH de concentration 2.10-2 mol/l. Le volume versé à l’équivalence de
KOH est :

A. 0,1ml
B. 0,18ml
C. 2ml
D. 3ml
E. 6ml

Q46 On ajoute 300 ml d’eau pure à 500 ml d’une solution aqueuse de NaCl de
concentration 4.10-4 mol/l.

La nouvelle concentration de NaCl devient en mol/l

A. 1,3.10-4
B. 4.10-4
C. 1,5.10-4
D. 2,3.10-4
E. 0,33

Q47 Une plie débite un courant électrique d’intensité constante, durant une heure.
On donne 1F= 96500 C/mol; Ni/Ni2+//Ag+/Ag ; l’avancement après une heure
= 18.10-5 mol ; 965=27*36
La valeur de l’intensité est :

A. 60 mA
B. 33,5 mA
C. 11,2 mA
D. 9,7 mA
E. 5 mA
CHIMIE

140
Q48 On forme une pile plomb/Etain en associant :
 Une lame d’étain Sn, plongée partiellement dans V=100mL d’une solution aqueuse
de chlorure d’étain II : Sn2+ + 2Cl- de concentration initiale C1=[ Sn2+ ]=0,1mol.L

 Une lame de plomb Pb, plongée partiellement dans V=100mL d’une solution
aqueuse de nitrate de plomb II : Pb2+ + 2NO3- de concentration initiale C2=
[Pb2+]=0,01mol.L
Les deux lames sont liées par un résistor et un interrupteur monté en série et les deux
solutions par un pont salin.
A t=0, on ferme l’interrupteur et un courant d’intensité supposée constante I=10mA
circule dans le circuit. On donne : 1F =9,65.10 4 C.mol-1
La constante d’équilibre associée à l’équation :

vaut k=2,18

La date teq à laquelle le système chimique est en équilibre est :

A. 4,7.104 s
B. 4,7.103 s
C. 3,7.104 s
D. 3,7.103 s

Q49 On considère une pile constituée de deux couple Ox/Red : Zn2+/Zn et Al3+/Al.
Lors le fonctionnement de la pile, l’équation qui modélise la transformation spontanée
est :

,
On laisse la pile fonctionne durant 12h, l’intensité électrique affiché est de 10 mA.
On donne 36˟26=965 et 1F= 96500 C

La quantité de matière de zinc formé est :

A. 0,9mmol
B. 1,5mmol
CHIMIE

C. 1,8mmol
D. 1,0mmol
E. 2,2mmol

141
Q50 Une solution (S) d’acide propanoique C3H6COOH de volume V=1L et de
concentration 10-2mol/l a été préparé à partir de la réaction d’une quantité pur d’acide
propanoique et de l’eau. On donne 10-1,5= 0,031 et 10-0,5= 0,31

Le pH de la solution (S) est 3,5. La valeur du taux d’avancement est :

A. 5,5%
B. 1,1%
C. 2,1%
D. 3,1%
E. 6%

Q51 Une solution (S) d’acide propanoique C3H6COOH de volume V=1L et de


concentration 10-2mol/l a été préparé à partir de la réaction d’une quantité pur d’acide
propanoique et de l’eau. Le pH de la solution (S) est 3,5. On donne 10-3,5= 3,10-4
La valeur de la constante d’équilibre est:

A. 1,1.10-5
B. 10-5
C. 2,1.10-5
D. 3,1.10-4
E. 9,1.10-6

Q52 On mélange deux solutions acides : (S1) de volume 200 ml et de pH=2 et (S2) de
volume 400 ml pH=3, ; On donne log (0,38)=0,42. La valeur du pH du mélange est :

A. 0,48
B. 1
C. 3
D. 5,2
E. 9
CHIMIE

142
Q53 On forme une pile plomb/Etain en associant :
 Une lame d’étain Sn, plongée partiellement dans V=100mL d’une solution aqueuse
de chlorure d’étain II : Sn2+ + 2Cl- de concentration initiale C1=[ Sn2+ ]=0,1mol.L

 Une lame de plomb Pb, plongée partiellement dans V=100mL d’une solution
aqueuse de nitrate de plomb II : Pb2+ + 2NO3- de concentration initiale C2=
[Pb2+]=0,01mol.L
Les deux lames sont liées par un résistor et un interrupteur monté en série et les deux
solutions par un pont salin.
A t=0, on ferme l’interrupteur et un courant d’intensité supposée constante I=10mA
circule dans le circuit. On donne : 1F =9,65.10 4 C.mol-1
La constante d’équilibre associée à l’équation :

; vaut k=2,18

Le sens d’évolution de la réaction est :


A. Pas d’évolution
B. Sens 2
C. Équilibre
D. Sens 1

CHIMIE

143
CHIMIE

144
MATHÉMATIQUE
146
LES SUITES NUMÉRIQUES

Cocher la proposition correcte :

Q1 (𝑼𝒏 ) est une suite arithmétique tel que 𝑼𝟏𝟏 = −𝟑𝟏 et 𝑼𝟕 = −𝟏𝟗,

la valeur de 𝑼𝟐𝟎 est :

A. 58
B. -85
C. -58
D. 85
E. -50

Q2 (𝑼𝒏 )est une suite arithmétique tel que 𝑼𝟏 + 𝑼𝟐 + ⋯ + 𝑼𝟖 = 𝟏𝟐𝟖


et 𝑼𝟑 + 𝑼𝟓 = 𝟐𝟖,

la raison de (𝑼𝒏 )est :

A. 4
B. −4
1
C.
4
1
D. −
4

E. autre

Q3 (𝑼𝒏 )est une suite arithmétique décroissante tel que 𝑼𝟎 = 𝟏et 𝑼𝟐𝟏 + 𝑼𝟐𝟐 = 𝑼𝟐𝟑 ,

la raison de (𝑼𝒏 )est :

A. −2
1
B. −
LES SUITES NUMÉRIQUES

2
1
C.
2

D. 2
E. autre

147
Q4 (𝑼𝒏 ) est une suite géométrique telle que 𝑼𝟓 = 𝟑 et 𝑼𝟏𝟎 = −𝟏 sa raison est :

1
A. 6
√3
1
B. 5
√3
−1
C. 5
√3
−1
D. 4
√3
5
E. −√3

Q5 (𝑼𝒏 ) est une suite géométrique de raison négatif tel que


𝑼𝟏 = −𝟔 et𝑼𝟓 = −𝟒𝟖𝟔,

la raison de(𝑼𝒏 )est :

A. −9
B. 81
−1
C.
3

D. −3
3
E. −√3

Q6 (𝑼𝒏 ) est une suite géométrique de raison positifs tel que


𝑼𝟎 = 𝟏 et𝟔𝟒 × 𝑼𝟐 × 𝑼𝟒 = 𝟏,

la raison de (𝑼𝒏 )est :

1
A.
8
1
B. −
2
1
C.
2

D. 2
E. autre

(−𝟏)𝒏+𝟏
LES SUITES NUMÉRIQUES

Q7 La limite de la suite 𝑼𝒏 = est égal à :


𝟑𝒏𝟐 +𝟓𝒏+𝟑

A. +∞
1
B.
3

C. −∞
1
D. −
3

E. 0

148
Q8 (𝑼𝒏 ) est une suite géométrique de premier terme 𝑼𝟎 = 𝟐 et de raison 𝒒 = 𝟒,

le nombre 𝑼𝟏 × 𝑼𝟐 ×. . .× 𝑼𝒏 =

A. 4𝑛(𝑛+1)
B. 2𝑛(𝑛+1)
C. 2𝑛(𝑛+2)
D. 22𝑛(𝑛+1)
E. 𝑛!

𝟐 𝟐𝒏+𝟐 𝟏
Q9 (𝑼𝒏 )et (𝑽𝒏 )deux suites telle que 𝑼𝟏 = et 𝑼𝒏+𝟏 = 𝑼𝒏 et 𝑽𝒏 = 𝒏 𝑼𝒏 ,
𝟑 𝟑𝒏

Donc (𝑽𝒏 ) est une suite :

𝟐
A. Géométrique de raison 𝟑
𝟐
B. Arithmétique de raison 𝟑
𝟏
C. Arithmétique de raison 𝟒
𝟏
D. Géométrique de raison 𝟑
E. Ni arithmétique ni géométrique

𝟐×𝟏𝟎𝒏 −𝟑𝒏
Q10 La limite de la suite 𝑼𝒏 = 𝒍𝒏 ( ) est égal à :
𝟏𝟎𝒏 +𝟐𝒏

A. 2
B. 𝒍𝒏 2
C. − 𝒍𝒏 2
D. +∞
E. 0

𝟔 𝟔
Q11 La limite de la suite 𝑼𝒏 = √𝒏𝟐 + 𝟏 − √𝒏𝟐 − 𝟏 est égal à :

A. n’existe pas
LES SUITES NUMÉRIQUES

B. +∞
C. 0
D. 1
E. −1

149
𝒏𝟐 𝒆𝒏+𝟏 +𝟐𝒏 +𝒄𝒐𝒔(𝒏𝟐 −𝟑)
Q12 La limite de la suite 𝑼𝒏 = est égal à :
𝟑+𝒏𝟐 𝒆𝒏

A. 𝑒
B. 2𝑒
C. +∞
D. 0
1
E.
𝑒

𝑼𝟐𝒏 −𝟑𝑼𝒏 +𝟐
Q13 Sachant que 𝑼𝟎 < 𝟎, La limite de la suite 𝑼𝒏+𝟏 = est égal à :
𝑼𝒏

A. +∞
2
B.
3
−2
C.
3

D. −∞
E. 0

𝑽 +𝟐
Q14 (𝑽𝒏 ) une suite définie par 𝑽𝟎 = 𝟎𝒆𝒕𝑽𝒏+𝟏 = 𝒏 donc sa limite est :
𝑽𝒏 +𝟏

A. −√2
B. +∞
C. 0
D. √2
E. n’existe pas

𝟏
Q15 Pour tout 𝒏 ∈ ℕ∗ soit 𝑺𝒏 = ∑𝒏
𝒌=𝟏 𝟐𝒌 ,

la limite de la suite (𝑺𝒏 ) est :

A. 2
LES SUITES NUMÉRIQUES

B. 0
C. +∞
D. 1
1
E.
2

150
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
Q16 La valeur de la somme 𝑺 = − + − + ⋯+ est :
𝟐 𝟒 𝟖 𝟏𝟔 𝟓𝟏𝟐

3
A.
2

B. 0
171
C.
512
1
D.
2
−3
E.
2

𝟖 𝟖 𝟖 𝟖
Q17 𝒏 ∈ ℕ∗ la valeur de la somme 𝑺𝒏 = + + + ⋯+ est :
𝟑𝟐 𝟑𝟒 𝟑𝟔 𝟑𝟐𝒏

8
A. 9 −
9𝑛−1
1
B. 1 −
9𝑛
1
C. 9 −
9𝑛−1
9
D.
1−9𝑛
8
E. 9 −
9𝑛

Q18 (𝑼𝒏 )𝒏∈ℕ et (𝑽𝒏 )𝒏∈ℕ deux suites numériques définies par 𝑼𝟎 = 𝟏
𝟏 𝟐𝟏
et 𝑼𝒏+𝟏 = 𝑼𝒏 + 𝒏 − 𝟐 et 𝑽𝒏 = −𝟐𝑼𝒏 + 𝟑𝒏 − .
𝟑 𝟐

A. Pour tout entier naturel 𝑛 ≥ 5, 𝑈𝑛 ≤ 𝑛 − 3


B. Pour tout entier naturel 𝑛 ≥ 5, 𝑈𝑛 ≥ 𝑛 − 3
C. la limite de la suite (𝑈𝑛 )est finie
D. la suite (𝑉𝑛 )𝑛∈ℕ est une suite géometrique de
1 25
raison et de premier terme
3 2
25 1 𝑛 3 21
E. Pour tout 𝑛 ∈ ℕ, 𝑈𝑛 = ( ) + 𝑛+
4 3 2 4

𝟐 𝒏
LES SUITES NUMÉRIQUES

Q19 La valeur de 𝒍𝒊𝒎 (𝟏 + 𝒏) est:


𝒏→+∞

A. 2𝑒 −1
B. 𝑒 2
C. +∞
D. 2𝑒
E. 1

151
𝑼𝒏
Q20 (𝑼𝒏 )une suite réelle tq 𝒍𝒊𝒎 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = 𝟐 , alors 𝒍𝒊𝒎 =
𝒏→+∞ 𝒏→+∞ 𝒏

A. 0
B. 1
C. +∞
D. 2
E. 𝑛′𝑒𝑥𝑖𝑠𝑡𝑒𝑝𝑎𝑠
LES SUITES NUMÉRIQUES

152
LES NOMBRES COMPLEXES

Cocher la proposition correcte :

𝟏+𝒊√𝟑
Q1 Soit le nombre complexe 𝒛 =
√𝟑−𝒊

A. la forme algébrique de 𝑧 est 1 − 𝑖


𝜋
B. 𝑎𝑟𝑔(𝑧) ≡ [2𝜋]
2
−1
C. 𝑧 =
𝑧

D. |𝑧| = √2
√ 2
E. |𝑧| =
2

𝟐𝟎
(√𝟐−𝟏)+𝒊(√𝟐+𝟏)
Q2 La valeur de ( ) est :
√𝟐+𝒊

A. −310
B. −210
C. 210
10
D. (√2 + 𝑖)
E. −1

Q3 Soient les points 𝑨(𝟏 + 𝒊√𝟑); 𝑩(𝟓 + 𝒊√𝟑)et 𝑪(−𝟐 + 𝒊√𝟑).

⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
Une mesure de l’angle (𝑨𝑩 𝑨𝑪) est :

𝜋
A.
2

B. 0
LES NOMBRES COMPLEXES

𝜋
C.
6

D. 𝜋
−𝜋
E.
3

153
Q4 𝒛𝟏 et 𝒛𝟐 sont les solutions de l’équation 𝒛𝟐 − (√𝟑 + √𝟐)𝒛 + 𝟔 = 𝟎,
sachant que le discriminant 𝜟 < 𝟎, la valeur de (𝒛𝟏 + 𝒛𝟏 )𝟐 est :

A. −36
B. 36
C. √3 + √2
D. 5 − 2√6
E. 5 + 2√6

Q5 𝒛𝟎 une solution de l’équation 𝒛𝟐 − 𝟐𝒛 + 𝟔 + 𝟐√𝟔 = 𝟎 alors 𝒛𝟎 =

A. 1 + 𝑖(√2 − √3)
B. 1 + 𝑖(√2 + √3)
−3
C.
4
3
D.
4

E. 𝑖

Q6 𝑭 est une transformation qui lie chaque point 𝑴(𝒛)à un point 𝑴′ (𝒛′ )avec
𝟐𝒛′ = (𝟏 − 𝒊√𝟑)𝒛 + 𝟐.

On a :

A. 𝐹 est une translation


B. 𝐹 est une homothétie
−𝜋
C. 𝐹 est une rotation d’angle
6
−𝜋
D. 𝐹 est une rotation d’angle
3
E. autre

Q7 l’affixe du centre de 𝑭 est :


LES NOMBRES COMPLEXES

−𝜋
A. [1; ]
3
𝜋
B. [1; ]
6
−𝜋
C. [2; ]
3

D. 0
E. 2

154
√𝟑+𝒊
Q8 Soit le nombre complexe 𝒛 = 𝟏 + .
𝟐
La valeur de 𝒛𝟐 est :

𝜋
A. [2 + √3; ]
2
𝜋
B. [2 + √3; ]
6
𝜋
C. [2 + √3; ]
3
𝜋
D. [2 − √3; ]
3
𝜋
E. [2 + √3; ]
4

Q9 Le nombre complexe 𝒛𝟏𝟐 est un nombre :

A. Imaginaire pur
B. Reel positif
C. Nul
D. Réel
E. autre

Q10 Les nombres complexes


𝒛𝟏 = 𝒆𝟐𝟎𝟐𝟏𝒊 + 𝒆𝟐𝟎𝟐𝟎𝒊 et 𝒛𝟐 = 𝒆−𝟐𝟎𝟐𝟏𝒊 + 𝒆−𝟐𝟎𝟐𝟎𝒊 sont :

A. strict. positifs
B. strict. négatifs
C. conjugués
D. égaux
E. opposés

Q11 Dans l’ensemble des nombres complexes, l’équation (𝒄𝒐𝒔 𝒙 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 𝒙)𝟓 = 𝟎
admet :
LES NOMBRES COMPLEXES

A. Une seule solution


B. Deux solutions
C. Cinqs solutions
D. Une infinité de solutions
E. Aucune solution

155
𝟏−𝒆𝟐𝒊𝜽
Q12 Soient 𝜽 ∈ ]𝟎; 𝝅[, alors | |=
𝟏−𝒆𝒊𝜽

𝜃
A. 2 𝑐𝑜𝑠 ( )
2
𝜃
B. 2 𝑠𝑖𝑛 ( )
2
𝜃
C. 𝑡𝑎𝑛 ( )
2

D. 𝑐𝑜𝑠 𝜃
E. Autre

Q13 Soit 𝜽 ∈ ℝ alors 𝒄𝒐𝒔𝟐 (𝜽) . 𝒔𝒊𝒏(𝜽) =

1
A. (𝑠𝑖𝑛 3 𝜃 + 𝑠𝑖𝑛 𝜃)
4
1
B. (𝑠𝑖𝑛 3 𝜃 − 𝑠𝑖𝑛 𝜃)
4

C. 𝑠𝑖𝑛 3 𝜃 + 𝑠𝑖𝑛 𝜃
D. 𝑠𝑖𝑛 3 𝜃
E. 𝑠𝑖𝑛 𝜃

𝝅 𝟓𝝅
Q14 Soit 𝒛 = 𝒆𝒊𝜽 tel que 𝜽 ∈ ] ; [ et 𝒁 = 𝒛 − 𝒊𝒛. L’argument de 𝒁 est :
𝟒 𝟒

𝜋
A.
4
−𝜋
B.
4
−3𝜋
C.
4
3𝜋
D.
4

E. 𝜃

𝟏 𝟏
Q15 Soient 𝒂 = 𝒄𝒐𝒔 𝜶 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 𝜶 et 𝒃 = 𝒄𝒐𝒔 𝜷 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 𝜷, alors (𝒂𝒃 + )=
𝟐 𝒂𝒃
LES NOMBRES COMPLEXES

A. 𝑐𝑜𝑠(𝛼 + 𝛽)
B. 𝑠𝑖𝑛(𝛼 + 𝛽)
C. 𝑐𝑜𝑠(𝛼 − 𝛽)
D. 𝑠𝑖𝑛(𝛼 − 𝛽)
E. Autre

156
Q16 Soit le nombre complexe 𝒛 = √𝟐 + √𝟑 − 𝒊√𝟐 − √𝟑 l’écriture complexe de 𝒛𝟐
est :
5𝜋
A. 4𝑒 −𝑖 6
5𝜋
B. 4𝑒 𝑖 6
𝜋
C. 4𝑒 −𝑖 6
𝜋
D. 4𝑒 𝑖 6
𝜋
E. 4𝑒 𝑖 4

𝟐𝝅
𝒊 𝟏−𝒊
Q17 Soient 𝒛 = 𝟐𝒆 𝟑 et 𝒕 =
√𝟐

𝑧2 𝜋
A. 𝑎𝑟𝑔 ( 2 ) ≡ [2𝜋]
𝑡 12

B. ∑8𝑘=0 𝑡 𝑘 = −1
C. 𝑅𝑒(𝑧10 ) = −29
D. 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑛 ∈ ℕ(𝑡 𝑛 ∈ ℝ ⇔ 4|𝑛)
E. Autre

𝟏+𝒊𝒙
Q18 Soit le nombre complexe 𝒛 = tel que 𝒙 ∈ ℝ et soient les points 𝑨(𝒊),
𝟏−𝒊𝒙
𝑩(−𝒊)et 𝑴(𝒙), on a 𝒂𝒓𝒈(𝒛) est congru modulo 𝟐𝝅 à :

⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
A. (𝐵𝑀 𝑀𝐴)

⃗⃗⃗⃗⃗⃗ )
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝑀𝐴
B. (𝑀𝐵

⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
C. (𝑀𝐴 𝑀𝐵)
𝑎𝑟𝑔(𝑖−𝑧)
D.
𝑎𝑟𝑔(𝑖+𝑧)

E. Autre

𝝅
𝒊
Q19 Le conjugué du nombre 𝟏 + 𝒆 𝟏𝟐 est
LES NOMBRES COMPLEXES

𝜋
A. 1 − 𝑒 𝑖12
𝜋
B. 1 + 𝑒 −𝑖12
𝜋
C. −𝑒 𝑖12
𝜋
D. −1 − 𝑒 𝑖12
𝜋
E. 𝑒 −𝑖12

157
Q20 L’équation 𝒛𝟑 + 𝟏 = 𝟎 admet dans l’ensemble ℂ
A. deux solutions
B. unique solution
C. trois solutions
D. Quatre solutions
E. Cinq solutions

Q21 On considère dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé direct


(𝑶; 𝒊; 𝒋), les points 𝑨(𝟏 + 𝒊√𝟑), 𝑩(−𝟏 − 𝒊), 𝑪 ((−𝟐 + 𝒊) − √𝟑). Le triangle 𝑨𝑩𝑪 est :

A. Réctangle en 𝐴
B. Réctangle en 𝐵
C. Réctangle en 𝐶
D. Equilatéral
E. Autre

Q22 On considère dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé direct


(𝑶; 𝒊; 𝒋), les points 𝑴 et 𝑵 d’affixes respectives 𝒛𝑴 = 𝟏 + 𝟐𝒊 et𝒛𝑵 = 𝟑 + 𝟐𝒊. Le milieu
𝝅
𝑰 du segment [𝑴𝑵] a pour image, par la rotation de centre 𝑶 et d’angle 𝟑 , le point 𝑱
dont l’affixe est :
7𝑖𝜋
A. 𝑧 = 𝑒 12
11𝑖𝜋
B. 𝑧 = 2√2𝑒 12

−5𝑖𝜋
C. 𝑧 = 4√2𝑒 12

7𝑖𝜋
D. 𝑧 = 2√2𝑒 12
E. Autre

Q23 On considère les nombres complexes suivants :


𝒂 = −𝟏, 𝒃 = −𝟑 + 𝟐𝒊, 𝒄 = 𝟏 + 𝒊.
𝒃−𝒂 𝟐𝟎𝟏𝟔 𝒄 𝟐𝟎𝟏𝟔
On a ( ) +( ) =
LES NOMBRES COMPLEXES

𝟐√𝟐 √𝟐
7𝑖𝜋
A. 𝑧 = 𝑒 12
11𝑖𝜋
B. 𝑧 = 2√2𝑒 12

−5𝑖𝜋
C. 𝑧 = 4√2𝑒 12

7𝑖𝜋
D. 𝑧 = 2√2𝑒 12
E. Autre

158
Q24 La valeur de la somme ∑𝟐𝟎𝟐𝟐 𝒌
𝒌=𝟎 𝒊 est :

A. 1
B. 𝑖
C. −1
D. −𝑖
E. Autre

LES NOMBRES COMPLEXES

159
LES FONCTIONS NUMÉRIQUES

Cocher la proposition correcte :

𝒙
𝟐 𝒔𝒊𝒏( )−𝟏
𝟐
Q1 La valeur de 𝒍𝒊𝒎
𝝅
est :
𝒙→ 𝟔𝒙−𝟐𝝅
𝟑

1
A.
12
1
B. −
12
√3
C. −
6
√3
D.
12
√3
E.
2

𝒍𝒏(𝒙+𝟏)−𝒙
Q2 La valeur de 𝒍𝒊𝒎 est :
𝒙→𝟎 𝒙𝟐

1
A.
2

B. −∞
1
C. −
2

D. +∞
E. n’existe pas

𝒆𝝅
Q3 La valeur de ∫𝟏 𝒄𝒐𝒔(𝒍𝒏 𝒙) 𝒅𝒙 est :

A. −𝑒 𝜋 − 1
B. 𝑒 𝜋 + 1
LES FONCTIONS NUMÉRIQUES

C. 1 − 𝑒 𝜋
𝑒 𝜋 +1
D. −
2
𝑒 𝜋 +1
E.
2

160
𝒔𝒊𝒏(𝒙)−𝒄𝒐𝒔(𝟐𝒙)
Q4 La valeur de 𝒍𝒊𝒎
𝝅
est :
𝒙→ 𝒔𝒊𝒏(𝟐𝒙)+𝒄𝒐𝒔(𝒙)
𝟐

1
A. −
2

B. 1
C. +∞
1
D.
2

E. n’existe pas

𝟐𝒙𝟐 +𝒔𝒊𝒏(𝟓𝒙−𝟖)
Q5 La valeur de 𝒍𝒊𝒎 est :
𝒙→∞ 𝟑𝒙𝟐 +𝟓𝒙−𝟖

1
A.
2
3
B.
2

C. +∞
2
D.
3
2
E. −
3

Q6 Soit la fonction𝒇définie par


𝒍𝒏(𝟏+𝟑𝒙) 𝟏
𝒇(𝒙) = pour 𝒙 ≠ 𝟎 et 𝒇(𝟎) = 𝒂 + .
𝒆𝟏+𝟐𝒙 −𝒆 𝒆

La valeur de 𝒂 pour que𝒇soit continue en 𝟎 est :


1
A.
𝑒
1
B.
2𝑒
2
C.
𝑒
1
D. −
𝑒

E. 0
LES FONCTIONS NUMÉRIQUES

𝟏 𝟏
Q7 Soit fonction 𝒇 définie par 𝒇(𝒙) = 𝒍𝒏 ( − ).
𝒙 𝒙𝟐
Le domaine de définition de𝒇est :

A. ]0,1[ ∪ ]1, +∞[ B. ]0, +∞[


C. ]1, +∞[ D. ]−1,1[ ∪ ]1, +∞[
E. ]−1,0[ ∪ ]1, +∞[

161
𝟏 𝟏
Q8 Soit fonction 𝒇 définie par 𝒇(𝒙) = 𝒍𝒏 ( − ).
𝒙 𝒙𝟐
La valeur maximale de la fonction 𝒇est :
A. 𝒍𝒏 2 − 3 𝒍𝒏 3
B. 2 𝒍𝒏 2 − 3 𝒍𝒏 3
3
C. 𝒍𝒏 2 + 𝒍𝒏 3
2
3
D. 𝒍𝒏 2 − 𝒍𝒏 3
2

E. autre réponse

𝟏 𝟏
Q9 Soit fonction 𝒇 définie par 𝒇(𝒙) = 𝒍𝒏 ( − ).
𝒙 𝒙𝟐
la courbe de la fonction 𝒇admet une :
A. Branche parabolique de direction (𝑂𝑌)
B. Branche parabolique de direction 𝑦 = 𝑥
C. Asymptote d’équation 𝑦 = 𝑥
D. Asymptote d’équation 𝑦 = 𝑥 + 1
E. Branche parabolique de direction (𝑂𝑋 )

𝝅𝒙
Q10 Soit la fonction 𝒇définie par𝒇(𝒙) = 𝒍𝒏 (𝟐 + 𝒄𝒐𝒔 )
𝟐

L’équation de la tangente à (𝑪𝒇 )en 𝟏 est :


𝜋 𝜋+𝑙𝑛 2
A. 𝑦 = − 𝑥 +
4 4
𝜋
B. 𝑦 = (𝑥 − 1) + 𝑙𝑛 2
4
𝜋
C. 𝑦 = (1 − 𝑥) + 𝑙𝑛 2
4
𝜋 𝜋+2 𝑙𝑛 2
D. 𝑦 = − 𝑥 +
4 4

E. Autre réponse

Q11 Soit la fonction 𝒇 tel que 𝒇(𝒙) + 𝒇(𝒙𝟐 ) = 𝟐𝒙 + 𝟏


LES FONCTIONS NUMÉRIQUES

L’équation de la tangente à (𝑪𝒇 )en 𝟎 est :


1 1
A. 𝑦 = 𝑥 +
4 2
1 1
B. 𝑦 = 𝑥 +
2 2
1
C. 𝑦 = −2𝑥 +
2
1
D. 𝑦 = 𝑥 +
2
1
E. 𝑦 = 2𝑥 +
2

162
𝟑𝒙−𝟏
Q12 Le centre de symétrie de la courbe de la fonction 𝒇définie par𝒇(𝒙) =
𝟑𝒙−𝟔
est le point :
A. Ω(0,2)
B. Ω(2,1)
C. Ω(1,2)
D. Ω(2,2)
E. autre réponse

Q13 L’axe de symétrie de la courbe de 𝒇définie par


𝒇(𝒙) = 𝒙𝟐 + 𝟑𝒙 − 𝒍𝒏(𝒙𝟐 + 𝟑𝒙 + 𝟕)est :

A. 𝑥 = 2
B. 𝑥 = 3
C. 𝑥 = −3
3
D. 𝑥 = −
2
3
E. 𝑥 =
2

𝒍𝒏 𝒙
Q14 La fonction primitive de la fonction est qui prend la valeur −𝟏 au point
𝒙𝟐
d’abscisse 𝟏 est :

1+𝒍𝒏 𝑥
A.
𝑥
𝒍𝒏 𝑥−1
B.
𝑥
𝒍𝒏 𝑥
C.
𝑥2
−1−𝒍𝒏 𝑥
D.
𝑥
1−𝒍𝒏 𝑥
E.
2𝑥

𝟏 𝟐
Q15 La valeur de l’intégrale ∫𝟎 𝒅𝒙 est :
LES FONCTIONS NUMÉRIQUES

𝒙𝟐 −𝟒

𝒍𝒏 3
A.
2
𝒍𝒏 3
B.
4
𝒍𝒏 3
C. −
4
𝒍𝒏 3
D. −
2

E. autre réponse

163
𝝅
Q16 La valeur de l’intégrale ∫𝟎𝟒(𝒕𝒂𝒏(𝒙) + 𝒕𝒂𝒏𝟐 (𝒙) + 𝒕𝒂𝒏𝟑 (𝒙)) 𝒅𝒙est :

𝜋 1
A. −
4 2
𝜋 5
B. −
4 2
3 𝜋
C. − −
2 4
3 𝜋
D. − +
2 4

E. autre réponse

Q17 𝒇 une fonction définie sur ℝ tel que (𝑪𝒇 ) est son graph, on a :

1
A. 𝑓𝑑′ (0) = −
3
′′ (𝑥)
B. 𝑓 ≤ 0 sur ]−∞; −1[
𝑓(𝑥)
C. 𝑙𝑖𝑚− − 3𝑥 −1 = +∞
𝑥→0 𝑥

D. 𝑓 est continue sur ℝ sauf en 𝟎


E. 𝑓 (𝑥) ≥ 3𝑥 sur ℝ

𝒙
Q18 𝒈 la fonction définie par 𝒈: 𝒙 ↦ 𝟐 − √𝒙 + 𝟏 sur ]𝟏𝟎; +∞[.

On a 𝒈−𝟏 ( 𝒙) =
2
A. (√2𝑥 + 1 + 1)
LES FONCTIONS NUMÉRIQUES

2
B. (√2𝑥 − 1 + 1)
2
C. (√2𝑥 − 1 − 1)
D. 2𝑥 − 1
E. autre réponse

164
𝟏 𝒙 𝒕
Q19 Soit 𝒇la fonction définie par 𝒇(𝒙) = ∫ 𝒅𝒕
𝒙−𝟏 𝟏 𝒕+𝟏

on a 𝒍𝒊𝒎𝒇(𝒙) =
𝒙→𝟏

A. −∞
1
B.
2

C. 0
D. −2
E. autre réponse

Q20 Le plan étant rapporter à un repère orthonormé (2cm unité de mesure).


On considère les courbes de 𝒇 et 𝒈 définies par 𝒇(𝒙) = 𝒍𝒏 𝒙 et 𝒈(𝒙) = 𝒙.

La surface du domaine limité par (𝑪𝒇 ) et (𝑪𝒈 ) et les droites d’équation 𝒙 = 𝒆 et 𝒙 =


𝟏 est :

A. 4 𝑙𝑛 3 𝑐𝑚2
16
B. 𝑐𝑚2
3

C. 4 𝑙𝑛 2 𝑐𝑚2
3
D. 4 𝑙𝑛 𝑐𝑚2
2

E. 2(𝑒 − 3)𝑐𝑚2
2

𝟐
Q21 La valeur de l’intégrale ∫𝟏 𝒙√𝒙 − 𝟏 𝒅𝒙 est :
A. 1
17
B.
15
16
C.
15

D. 3
E. −1
LES FONCTIONS NUMÉRIQUES

165
GÉOMÉTRIE & ÉQUATIONS DIFFÉRENTIELLES

Cocher la proposition correcte :

Q1 𝑷𝒎 un plan d’équation 𝒙 − 𝒚 + 𝟐𝒛 − 𝒎 = 𝟎 où 𝒎 > 𝟎 tangent à la sphère


d’équation 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 − 𝟐𝒚 − 𝟐 = 𝟎

La valeur de 𝒎 est :
A. 2√3
√6
B.
6

C. 2√6
D. 6√6
E. √6

Q2 les deux plans 𝑷: 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 = 𝟎 et 𝑸: 𝒙 − 𝒚 + 𝟐𝒛 = 𝟎 se coupent selon la


droite de vecteur directeur :

A. 𝑢
⃗ (−3; −1; −2)
B. 𝑢
⃗ (3; 1; −2)
C. 𝑢
⃗ (−3; 1; −2)
D. 𝑢
⃗ (−3; −1; 2)
E. 𝑢
⃗ (−3; 1; 2)

𝟐𝒙 − 𝒚 + 𝒛 + 𝟏 = 𝟎
Q3 L’ensemble des points 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛)qui vérifient { est :
𝒙 − 𝟐𝒚 + 𝒛 + 𝟏 = 𝟎

A. un point
B. vide
C. une droite de vecteur directeur 𝑢
⃗ (1; −1; −3)
D. une droite de vecteur directeur 𝑢
⃗ (1; 1; −3)
GÉOMÉTRIE & EQU. DIFF

E. un plan

Q4 la projeté orthogonale de 𝑨(𝟏; 𝟏; 𝟏) sur le plan 𝑷: 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟔 = 𝟎 est :


A. 𝐻 (2; 0; 4)
B. 𝐻 (2; 2; 2)
C. 𝐻 (4; 2; 0)
D. 𝐻 (0; 4; 2)
E. 𝐻 (2; 1; 2)

166
𝒙=𝟑−𝒕
Q5 l’intersection de la droite (𝑫): {𝒚 = 𝟐 + 𝟐𝒕 et le plan 𝑷: 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 − 𝟏 = 𝟎
𝒛=𝟏+𝒕
est :

A. 𝐴(1; 0; 1)
B. 𝐴(0; 2; 1)
C. 𝐴(1; 1; 1)
D. (𝐷 )
E. vide

𝒙=𝟏+𝒕+𝒔
Q6 une équation du plan 𝑷 : {𝒚 = 𝟐 − 𝒕 + 𝒔 (𝒕; 𝒔) ∈ ℝ𝟐 est :
𝒛=𝟑+𝒕−𝒔

A. 𝑥 + 𝑦 + 𝑧 − 5 = 0
B. 𝑦 + 𝑧 − 5 = 0
C. 𝑥 − 𝑧 + 2 = 0
D. 𝑦 + 𝑧 − 5 = 0
E. Autre

Q7 l’ensemble des solutions de l’équation différentielle 𝒚′′ + 𝟐𝒚′ − 𝟑𝒚 = 𝟎 est


𝒚(𝒙) égale :

A. 𝑎𝑒 −𝑥 + 𝑏𝑒 −3𝑥
B. 𝑎𝑒 −𝑥 + 𝑏𝑒 3𝑥
C. 𝑎𝑒 𝑥 + 𝑏𝑒 −3𝑥
D. 𝑎𝑒 𝑥 + 𝑏𝑒 3𝑥
E. (𝑎𝑥 + 𝑏)𝑒 −3𝑥

Q8 la fonction 𝒇: 𝒙 ↦ 𝒆𝟐𝒙 est une solution de l’équation différentielle :

𝑦′′ + 2𝑦′ − 3𝑦 = 0
A. {
𝑦 (0) = 1
GÉOMÉTRIE & EQU. DIFF

𝑦′′ + 2𝑦′ − 3𝑦 = 0
B. {
𝑦′(0) = 2
𝑦′′ − 4𝑦′ + 4𝑦 = 0
C. {
𝑦′(0) = 2
2𝑦′ − 3𝑦 = 0
D. {
𝑦′(0) = 2
𝑦′′ − 4𝑦′ + 4𝑦 = 0
E. {
𝑦 (0) = 2

167
Q9 𝒎 est un réel non nul.
La solution générale de l’équation différentielle 𝒚′′ − 𝟐𝒎𝒚′ + 𝟐𝒎𝟐 𝒚 = 𝟎 est :

A. 𝑦(𝑥) = (𝑎𝑥 + 𝑏)𝑒 −3𝑥


B. 𝑦(𝑥) = 𝑎𝑒 𝑚𝑥 + 𝑏𝑒 −𝑚𝑥
C. 𝑦(𝑥) = 𝑎𝑒 𝑚𝑥 + 𝑏
D. 𝑦(𝑥) = (𝑎 𝑐𝑜𝑠(𝑚𝑥) + 𝑏 𝑠𝑖𝑛(𝑚𝑥))𝑒 𝑚𝑥
E. 𝑦(𝑥) = 𝑎 𝑐𝑜𝑠(𝑚𝑥) + 𝑏 𝑠𝑖𝑛(𝑚𝑥)
GÉOMÉTRIE & EQU. DIFF

168
LA PROBABILITÉ

Cocher la proposition correcte :

Q1 Une boite contient 9 jetons (on ne peut pas les identifier par le toucher):
2 jetons rouges portant le numéro 1 et 3 jetons blancs portant les numéros 1, 2, 2
et 4 jetons noirs portant les numéros 1, 1, 2, 2.
On tire au hasard et en même temps 3 jetons de la boite.
X: “les jetons tirés ont des couleurs différentes”
Y: “les jetons tirés portent le même numéro”
Z: “parmi les jetons tirés il y a au moins un jeton blanc”

1
A. 𝑃(𝑋 ) =
6
2
B. 𝑃(𝑌) =
7
16
C. 𝑃(𝑍) =
21
5
D. 𝑃(𝑋 ∩ 𝑌) =
21
16
E. 𝑃(𝑋 ∩ 𝑌) =
21

Q2 Une urne contient trois boules rouges et cinq boules noires, on les tire une à
une.
La probabilité de tirer d'abord toutes les boules rouges puis toutes les boules noires
est :
3
A.
8
15
B.
56
1
C.
8
1
D.
56
15
E.
64

Q3 Une étude sur la propagation de deux types de maladies M1 et M2 dans un


LA PROBABILITÉ

pays a prouvé que 18% sont atteints de la maladie M1, Parmi les malades atteints par
M1 il y a 8% atteints par la maladie M2 et parmi les non atteints par M1 il y a 7%
atteints par M2.
On choisi au hasard une personne de ce pays et on définie les événements suivants :
C: “la personne est atteinte de M1”
D: “la personne est atteinte de M2”

169
A. : La probabilité pour que cette personne soit atteinte
par M1 et par M2 est de 𝟎, 𝟏𝟖
B. La probabilité pour que cette personne soit atteinte
par M2 est de 𝟕, 𝟏𝟖. 𝟏𝟎−𝟐
C. La probabilité pour que cette personne soit atteinte
par M1 et par M2 est de 𝟎, 𝟏𝟒𝟒
D. Sachant que cette personne est atteinte par la maladie
M2, la probabilité pour qu'elle ne soit pas atteinte par
M1 est 𝟎, 𝟐
E. Toutes les réponses proposées sont fausses.

Q4 Trois amis ont passé un examens.


𝟑
La probabilité que Mohamed réussit son examen est 𝟒,
𝟐
la probabilité que Ahmed réussit est 𝟑,
𝟏
et la probabilité que Amine réussit est 𝟑.

La probabilité pour que les trois amis réussissent est :


1
A.
2
1
B.
6
2
C.
9
1
D.
9
1
E.
18

Q5 On lance un dé non équilibré (à six faces numérotées de 1 à 6), 𝒑𝒌 est la


probabilité d’avoir le nombre 𝒌 tel que 𝟏 ≤ 𝒌 ≤ 𝟔, et on considère 𝒑𝟏 ; 𝒑𝟐 ; 𝒑𝟑 ; 𝒑𝟒 ; 𝒑𝟓 ; 𝒑𝟔
𝟏
les premiers tèrmes d’une suite géométrique de raison 𝒒 = 𝟐alors on a : 𝒑𝟏 =
−1
A.
31
5
B.
64
1
C.
6
32
D.
LA PROBABILITÉ

63

E. Autre

170
Q6 On lance trois dés en même temps (chaque dé est un cube non truqué
numéroté de 1 à 6)

La probabilité d’avoir trois numéros tel que leurs somme est 5 est :
5
A.
216
5
B.
36
1
C.
36
1
D.
9

E. Autre

Q7 On dispose de deux urnes 𝑺𝟏 et 𝑺𝟐 contenant cinq boules numérotés de 1 à 5,


on tire aléatoirement et suméltanément deux boules de 𝑺𝟏 et une boule de 𝑺𝟐 ,

la probabilité d’obtenir deux numéros impairs et un pair est:


3
A.
25
12
B.
25

C. 1
3
D.
10
18
E.
25

Q8 On dispose d'une pièce de monnaie non truquée (P et F), et d'une urne


contenant 3 boules blanches et 2 boules noires.
On jette la pièce de monnaie;
 Si le résultat est "Pile" (P) on tire successivement et avec remise deux boules de
l'urne.
 Si le résultat est "Face" (F) on tire successivement et sans remise deux boules de
l'urne.

La probabilité d'obtenir deux boules de mêmes couleurs est:


13
A.
25
23
B.
50
1
C.
LA PROBABILITÉ

25
8
D.
20
1
E.
2

171
LA PROBABILITÉ

172
TESTS PSYCHOTECHNIQUES
174
TESTS PSYCHOTECHNIQUES

Q1 Quel nombre doit remplacer le point d’interrogation ?

123, 124, 126, 132, 133, 136, 142, 143, 147, ?

Q2 Multipliez le second plus petit nombre dans la grille de gauche par le troisième
plus grand nombre de la grille de droite.
GAUCHE DROITE

Q3 Quelle est la tuile manquante ?

TESTS PSYCHOTECHNIQUES

175
Q4 Lequel de ces mots à le sens le plus opposé à hautain ?

Sympathique, humble, méprisant, prudent, ténébreux.

Q5 Quel est l’intrus ?

Pupille, cornée, iris, cochlée, rétine

Q6 Quel nombre doit remplacer le point d’interrogation ?

Q7 Combien y’a-t-il de lignes ci-dessous ?


TESTS PSYCHOTECHNIQUES

176
Q8 Quelle est la section manquante ?

Q9

TESTS PSYCHOTECHNIQUES

177
Q10 Parmi les mots suivants quels sont les 2 ayant le sens le plus proche ?

Consommé, débauché, familier, licencieux, irrespectueux, Triste.

Q11 Quel nombre doit remplacer le point d’interrogation ?

Q12 Combien de minutes avant 12 heures s’il y a 8 minutes il était 9 h passé trois
fois plus de minutes?

Q13 Selon la même logique que dans le tableau de gauche ci-dessus, quel nombre
devrait remplacer le point d'interrogation dans le tableau de droite ?
TESTS PSYCHOTECHNIQUES

Q14 Simplifiez :

178
Q15 Quelle est la pièce manquante ?

Q16 Qu’est-ce qu’un bandana ?


A. une bande ménestrel
B. un bateau maure
C. une danse autochtone
D. un foulard coloré

Q17 un foulard de couleur Bill a £ 60,00 de plus qu'Alan, mais Alan a gagné un pari
sur les chevaux et a triplé son argent, ce qui signifie qu'il a maintenant £ 40,00 de plus
que le montant initial de l'argent que les deux hommes avaient entre eux.
Combien d'argent avaient Bill et Alan ont entre eux avant la victoire d'Alan
TESTS PSYCHOTECHNIQUES

Q18 Simplifiez :
– 10 + 16 ÷ 2 + 6

179
Q19 Trois de ces quatre pièces peuvent être assemblées pour former un carré
parfait. Quelle est la pièce intruse ?

Q20 Qu’est ce qui vient ensuite ?

0.49, 0.49, 0.98, 2.94, ?

Q21 Lorsque la forme ci-dessous est pliée pour former un cube, quel est celui qui
peut être formé ?
TESTS PSYCHOTECHNIQUES

Q22 Trois pièces de monnaie sont jetées en l'air en même temps.


Quelles sont les chances qu'au moins deux des pièces de monnaie finiront sur face ?

180
L’ÉQUIPE ÉDITORIALE
Dr. Med Anouar HARRAD Pr. Ahmed CHAJAI
Professeur d’enseignement supérieur
assistant au centre régional des métiers Professeur du secondaire qualifiant (SVT)
de l’éducation et la formation ; avec 27 ans d'expérience;
Membre au laboratoire Interdisciplinaire Encadrant pédagogique avec 16 ans
de Recherche en Bioressources, d'expérience;
Environnement et Matériaux «LIRBEM»
école normale supérieure de Marrakech ;
Animateur pédagogique des préparations
Chercheur au sein du laboratoire de aux concours depuis 2009;
l’Environnement, Écologie et Agro-
Industrielle. Sultan Moulay Slimane Membre actif dans l'éducation
Université, Beni-mellal associative depuis 28 ans .

Pr. Youness RAKIBI Pr. Nazik ALFEDDY


Professeur du secondaire qualifiant (SVT)
Professeur agrégé, formateur au depuis 2007;
département des SVT, CRMEF Marrakech- Diplômée de l'Université de Bourgogne,
Safi avec 17 ans d'expérience; Dijon;
Formatrice pour les préparations aux
Chercheur en didactique des sciences et concours d’accès aux facultés de
ingénierie pédagogique, FSDM, USMBA médecine générale et de médecine
Fès dentaire;
Formateur pour les préparations aux Formatrice pour l'accès à l'ISPITS;
concours d’accès aux grandes écoles Accompagnement en développement
personnel et gestion du stress lors des
épreuves et concours.

Pr. Med Taoufiq MGHAZLI Pr. Khalid EL BOUDALI

Professeur du secondaire qualifiant Professeur agrégatif en mathématiques


(mathématiques) avec 15 ans depuis 2004
d'expérience;
Formateur pour les préparations aux
Encadrant pédagogique en e-learning ; concours d’accès aux grandes écoles
Formateur pour les préparations aux Depuis 2010
concours d’accès aux grandes écoles ; Formateur international psychotechnique
Membre fondateur de la plateforme Diplômé de ALTER EGO (France)
e.visaschool.ma

Tarik ACHOUCH

Ingénieur en développement
informatique spécialisé dans le
développement et la mise en œuvre
de solutions technologiques pour
l'éducation et la formation.
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