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«Prépucegate» : Guillaume Meurice entre «étonnement» et «colère» après son entretien préalable à une éventuelle sanction

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L’humoriste de France Inter était convoqué ce jeudi 16 mai à un entretien «en vue d’une éventuelle sanction disciplinaire» durant laquelle lui ont été listés les faits qui lui étaient reprochés. La sanction choisie devrait lui être communiquée en début de semaine prochaine.
publié le 16 mai 2024 à 19h26

C’était tout un cortège de membres de l’équipe du Grand Dimanche soir, Charline Vanhoenacker, Aymeric Lompret, la linguiste Laélia Véron ou le réalisateur François Audoin au mégaphone criant «Ne libérez pas Guillaume Meurice !» sur fond de The Final Countdown d’Europe, qui accompagnait jeudi en début d’après-midi l’humoriste jusqu’au service des ressources humaines de France Inter. Deux semaines après l’annonce de sa suspension pour avoir répété à l’antenne sa blague du «nazi sans prépuce» à propos de Benyamin Netanyahou, Guillaume Meurice était convoqué à 14h30 pour un entretien préalable «en vue d’une éventuelle sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’à la rupture anticipée de [son] contrat à durée déterminée pour faute grave».

Selon le délégué syndical SUD Benoît Gaspard, contacté par Libération, le rendez-vous a duré deux heures, et l’humoriste ne devrait connaître qu’en début de semaine prochaine la sanction qui lui a été réservée. Toutes les options sont encore ouvertes : dans l’éventail des possibilités, cela peut aller d’un abandon de la procédure jusqu’à une commission de discipline pour trancher sur un éventuel l

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